Votre avis sur Pourquoi pas nous ? ?
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Une comédie très oubliée, et qui le dois sans doute au fait que son réalisateur est resté anonyme, et à la perte de vitesse, après les années 80, d’Aldo Maccione. Ce métrage est cependant une comédie romantique à la française bien sympathique, attachante, même si ça reste ténu niveau histoire.
En effet, l’intrigue est conventionnelle, et le traitement reste assez plat. On retrouve tous les lieux communs de la comédie romantique, si ce n’est qu’ici l’héroïne ne recherche pas vraiment le grand amour, mais le fuit plutôt ! Tout est un peu trop attendu ou facile, notamment dans le final, avec quelques retournements de sentiments assez abrupts et pas toujours très crédibles. En clair, Pourquoi pas nous n’est pas un film spécialement original et qui se démarque de ce que l’on peut voir régulièrement sur nos écrans en provenance des US. Toutefois, en dépit de sa trame élimée, ce métrage est alerte, on ne s’ennuie pas un instant grâce à un vrai sens du tempo, il y a des moments amusants et bien vus (le poète provencal), et l’émotion est là, grâce à des acteurs performants.
En effet, aussi surprenant que cela paraisse, Aldo Maccione et Dominique Lavanant qui héritent là des deux rôles principaux, maitrisent vraiment leur sujet. Maccione est fin dans ce rôle de catcheur timoré, et Lavanant hérite d’un personnage piquant, de ceux qui ont fait sa renommée en fait. De bonnes prestations avec des rôles attendus dans le genre cependant. Dans les seconds rôles on retiendra la présence d’un Gérard Jugnot un peu anecdotique mais dont la présence est agréable puisqu’elle nous permet de nous sentir en terrain connu ! Les seconds rôles alignent d’ailleurs une impressionnante galerie de personnalités connues à l’époque dans le cinéma français, comme Daniel Russo et la charmante Christiane Jean.
Formellement rien d’exceptionnel. Berny orchestre son spectacle avec des décors corrects mais sans plus, une photographie grisâtre qui n’a pas beaucoup de personnalité, et sa mise en scène, pas déplaisante, n’a rien de spécialement fouillée. Si je dois retenir un point vraiment positif de ce film, du point de vue technique, ce serait la musique, qui elle, en revanche, est réellement typée, et colle bien à l’ambiance romantique, un brin mélancolique, du métrage.
En conclusion, une comédie romantique classique, au déroulé linéaire attendu, mais bien faite et accrocheuse. De bons acteurs, de bons moments, un rythme alerte, de quoi ravir les amateurs du genre, si tant est qu’un duo Maccione-Lavanant séduise autant qu’une rencontre entre deux jeunes starlettes américaines. 3
En effet, l’intrigue est conventionnelle, et le traitement reste assez plat. On retrouve tous les lieux communs de la comédie romantique, si ce n’est qu’ici l’héroïne ne recherche pas vraiment le grand amour, mais le fuit plutôt ! Tout est un peu trop attendu ou facile, notamment dans le final, avec quelques retournements de sentiments assez abrupts et pas toujours très crédibles. En clair, Pourquoi pas nous n’est pas un film spécialement original et qui se démarque de ce que l’on peut voir régulièrement sur nos écrans en provenance des US. Toutefois, en dépit de sa trame élimée, ce métrage est alerte, on ne s’ennuie pas un instant grâce à un vrai sens du tempo, il y a des moments amusants et bien vus (le poète provencal), et l’émotion est là, grâce à des acteurs performants.
En effet, aussi surprenant que cela paraisse, Aldo Maccione et Dominique Lavanant qui héritent là des deux rôles principaux, maitrisent vraiment leur sujet. Maccione est fin dans ce rôle de catcheur timoré, et Lavanant hérite d’un personnage piquant, de ceux qui ont fait sa renommée en fait. De bonnes prestations avec des rôles attendus dans le genre cependant. Dans les seconds rôles on retiendra la présence d’un Gérard Jugnot un peu anecdotique mais dont la présence est agréable puisqu’elle nous permet de nous sentir en terrain connu ! Les seconds rôles alignent d’ailleurs une impressionnante galerie de personnalités connues à l’époque dans le cinéma français, comme Daniel Russo et la charmante Christiane Jean.
Formellement rien d’exceptionnel. Berny orchestre son spectacle avec des décors corrects mais sans plus, une photographie grisâtre qui n’a pas beaucoup de personnalité, et sa mise en scène, pas déplaisante, n’a rien de spécialement fouillée. Si je dois retenir un point vraiment positif de ce film, du point de vue technique, ce serait la musique, qui elle, en revanche, est réellement typée, et colle bien à l’ambiance romantique, un brin mélancolique, du métrage.
En conclusion, une comédie romantique classique, au déroulé linéaire attendu, mais bien faite et accrocheuse. De bons acteurs, de bons moments, un rythme alerte, de quoi ravir les amateurs du genre, si tant est qu’un duo Maccione-Lavanant séduise autant qu’une rencontre entre deux jeunes starlettes américaines. 3
Petite comèdie de moeurs sympathique des annèes 80 qui met en scène une libraire au strabisme latent et un catcheur velu au coeur tendre! Elle, c'est Dominique Lavanant et lui, Aldo Maccione, « la classe » du ring, doux et gentil comme un agneau! Les sobriquets de ce catcheur de seconde zone ne manquent pas : Cro-Magnon, King Kong...C'est une histoire d'amour plutôt originale même si elle tient tout entière ou presque dans son synopsis! Heureusement, Michel Berny a rèussi à mettre en place deux acteurs qui sont sincères! Les autres ne sont guère intèressants hormis la jolie Christiane Jean qui range les livres de façon « spectaculaire » . Comprenne qui peut [...] Tournage à Carpentras et Paris (cf. la balade en barque sur le lac du bois de Boulogne) où l'aficionado de "La dernière sèance" reconnaîtra le temps d'une scène le fameux Palace de Beaumont-sur-Oise! Musique agrèable de Vladimir Cosma qui colle bien avec le personnage d'Aldo! La chanson, « Veni qui » , est à cet ègard touchante! Tout comme la scène où Aldo se fait humilier en public...
Eh bien, on peut dire que cette comédie est passée aux oubliettes !!!
Et pourquoi ? Je me le demande bien. J'ai passé un bon moment devant cette comédie très sympathique !
Typique des comédies 70/80.
On y retrouve Aldo Maccione, Dominique Lavanant, Gérard Jugnot, Henri Guybet, Daniel Russo, Maurice Biraud, Hubert Deschamps, ... Bref, un casting plus qu'honorable !
Pour résumer : Marcello (Aldo) est catcheur et, à cause d'une pilosité énorme, joue les homme de cro-magnon sur le ring. Lors d'un show, il chute sur une femme (lavanant) assise au premier rang, lui casse la jambe et en tombe amoureux ! Lui est très timide et elle suppose pouvoir passer sa vie seule et surtout, sans homme.
Après s'être montrée odieuse avec le pauvre homme épris d'amour et dont les poils font fuir la gente féminine, elle finit par reprendre contact avec lui pour s'excuser...
Le film vaut le coup d'oeil, ne serait-ce que pour voir Aldo Maccione jouer les grand timide, un rôle à contre courant pour lui !
Lavanant est bien dans son rôle de refoulée. Rôle qui lui colla pas mal à la peau.
Je donnerais donc la moyenne à ce film sans prétention mais qui vaut toujours mieux que ces comédies écervelées qu'on nous sert à l'heure actuelle. Comprenne qui saura...
Et pourquoi ? Je me le demande bien. J'ai passé un bon moment devant cette comédie très sympathique !
Typique des comédies 70/80.
On y retrouve Aldo Maccione, Dominique Lavanant, Gérard Jugnot, Henri Guybet, Daniel Russo, Maurice Biraud, Hubert Deschamps, ... Bref, un casting plus qu'honorable !
Pour résumer : Marcello (Aldo) est catcheur et, à cause d'une pilosité énorme, joue les homme de cro-magnon sur le ring. Lors d'un show, il chute sur une femme (lavanant) assise au premier rang, lui casse la jambe et en tombe amoureux ! Lui est très timide et elle suppose pouvoir passer sa vie seule et surtout, sans homme.
Après s'être montrée odieuse avec le pauvre homme épris d'amour et dont les poils font fuir la gente féminine, elle finit par reprendre contact avec lui pour s'excuser...
Le film vaut le coup d'oeil, ne serait-ce que pour voir Aldo Maccione jouer les grand timide, un rôle à contre courant pour lui !
Lavanant est bien dans son rôle de refoulée. Rôle qui lui colla pas mal à la peau.
Je donnerais donc la moyenne à ce film sans prétention mais qui vaut toujours mieux que ces comédies écervelées qu'on nous sert à l'heure actuelle. Comprenne qui saura...
L'intention de la comédie est bonne, qui imagine de faire se rencontrer et probablement s'aimer deux êtres plus ou moins disgracieux (elle louche, il est excessivement velu). Pourquoi pas nous? Oui pourquoi pas, pour nous changer des bluettes courantes du cinéma.
Las, Dominique Lavanant, dans un rôle de farouche libraire, et Aldo Maccione, dans celui d'un catcheur maladroit, ne composent que des pantins superficiels, facilement moqués pour les besoins d'une comédie à l'humour pesant. Leurs complexes à tous les deux, de nature à étoffer les personnages, à leur donner une profondeur, sont pris à la légère, de sorte que Jacqueline et Marcello, dont l'union est retardée jusqu'au bout du film par diverses péripéties, maladresses et hésitations, ne sont pas touchants comme ils l'auraient mérité et comme il aurait été souhaitable pour qu'on prenne la comédie au sérieux.
Il faut dire, à la décharge d'Aldo Maccione (pas très inspiré par ce contre-emploi sentimental et timide) et de Dominique Lavanant, que le realisateur Michel Berny n'est pas doué. Sa mise en scène est navrante de pauvreté. Elle engendre la médiocrité de l'interprétation (excluons la prestation honorable de Lavanant) et la sottise de l'humour. Toutes les situations sentimentales, toutes les intentions délicates sont gachées par une approche dépourvue d'ambition et d'intelligence.
Las, Dominique Lavanant, dans un rôle de farouche libraire, et Aldo Maccione, dans celui d'un catcheur maladroit, ne composent que des pantins superficiels, facilement moqués pour les besoins d'une comédie à l'humour pesant. Leurs complexes à tous les deux, de nature à étoffer les personnages, à leur donner une profondeur, sont pris à la légère, de sorte que Jacqueline et Marcello, dont l'union est retardée jusqu'au bout du film par diverses péripéties, maladresses et hésitations, ne sont pas touchants comme ils l'auraient mérité et comme il aurait été souhaitable pour qu'on prenne la comédie au sérieux.
Il faut dire, à la décharge d'Aldo Maccione (pas très inspiré par ce contre-emploi sentimental et timide) et de Dominique Lavanant, que le realisateur Michel Berny n'est pas doué. Sa mise en scène est navrante de pauvreté. Elle engendre la médiocrité de l'interprétation (excluons la prestation honorable de Lavanant) et la sottise de l'humour. Toutes les situations sentimentales, toutes les intentions délicates sont gachées par une approche dépourvue d'ambition et d'intelligence.