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Sortit dans les années 80, "Maniac Cop" réalisé par "William Lustig" (Déjà à l'oeuvre avec "Maniac" en 1980 considéré encore comme l'un des tous meilleurs film de tueurs en série) est un mix improbable entre film Policier (Classique) et film D'Horreur (A l'ancienne). "Matt Cordell", un ancien officier de police envoyé en prison, se fait agresser par des co-détenus pleins de rancune. Il est laissé pour mort. Quelques années plus tard, "Matt Cordel", revenu d'entre les morts et mu par une envie de vengeance se met à tuer les citoyens déguisé en policier. Grosse série B dans la plus grande tradition Américaine, "Maniac Cop" est un délire assez efficace (A défaut d'être exceptionnel), qui réussit le pari risqué de mélanger les genres et dont le protagoniste vedette ("Matt Cordell") renvoie directement vers les "Slashers" des années 80 et notamment l'icônique "Jason Voorhees" du mythique "Vendredi 13". On retrouve aussi 2 acteurs connus, "Bruce Campbell" ("Ash" dans "Evil Dead") sans oublier "Robert Z'Dar" (Grande "Stars" des "Nanars) dans le rôle titre dont le physique plutôt impressionnant et le faciès unique (Lié à un problème d'hypertrophie aux os du visage) apporte un coté carrément surréaliste au personnage de "Matt Cordell". Classique, efficace, doté de scènes D'Horreur "Soft Gores" et d'une pointe D'Action, "Maniac Cop" reste une Honnête série Z qui jouit aujourd'hui d'une petite réputation "Culte" !
Maniac Cop est un bon petit film d'horreur sans prétention.
D'autant plus que les apparitions de Bruce Campbell et de Sam Raimi sont vraiment les bienvenues.
A voir pour passer un bon moment.
D'autant plus que les apparitions de Bruce Campbell et de Sam Raimi sont vraiment les bienvenues.
A voir pour passer un bon moment.
Un film une authentique série B qui a pris un coup de vieux,mais au demeurant pas trop mal.L'histoire est intéressante et l'atmosphère plutôt prenante.Pas désagréable sans être révolutionnaire!
Transposer les films de morts-vivants à un flic qui fait peur, cela a le mérite en 1988 d'être original tout en surfant sur la vague film d'horreur vite fait. Vaut pour Bruce Campbell et la carrure du flic, assez impressionnante.
J'affectione particulièrement cette saga. L'idée de base y est bien exploitée (la peur peur de l'uniforme...cyniquement prémonitoire), le scénario gonflé (qui a dit que les héros devaient tenir tout le film ?) et plein d'idées (normal c'est du L.Cohen) et le casting impeccable (Atkins, Davi, Campbell...). Seul reproche récurrent: le maquillage du maniac cop, changeant et jamais vraiment convaincant.
Le 1er Maniac cop démarre comme un giallo puis se mue en une série B policière d'ambiance particulièrement efficace avec ses pics de violence et de tension.
Le 1er Maniac cop démarre comme un giallo puis se mue en une série B policière d'ambiance particulièrement efficace avec ses pics de violence et de tension.
Et « Maniac Cop » par ci, et « Maniac Cop » par là. Et encore « Maniac Cop » par ci, et encore « Maniac Cop » par là. Et encore, et toujours. On m’en a tellement causé de ce film et comme je l’avais sous la main, je me suis décidé à le regarder. Tout ça pour aboutir finalement à une très franche déception. En effet, ce film ne vaut plus un kopeck. A l’époque où il est sorti, ça devait être le pied de le mater. Mais à présent, la limonade n’est plus du tout la même. Pourtant, ça démarrait pas trop mal. La première demi-heure envoie vraiment la purée. Certes, les scènes de meurtres s’enchaînent sans aucun lien, mais on s’en badigeonne le zigouigoui avec le pinceau de l’indifférence, mais passées ces trente premières minutes, ça se met à dérailler sévère. Il faut dire que « Maniac Cop » est fortement pénalisé par son flagrant manque de moyens et aussi de talents. En témoignent des dialogues risibles, un doublage français à rire à gorge déployée et des acteurs complètement à côté de leurs souliers. Ajoutons à ça une réalisation foireuse, multipliant les cadres hasardeux et des personnages aussi épais que du papier essuie-tout et vous obtenez un nanar. Mais là, c’est un mauvais nanar. Je ne retiens qu’une seule chose de positif concernant ce film: l’atmosphère hyper sombre et poisseuse. Ça par contre, ça m’a plu. Dans ma tête, c’était très clair. Si « Maniac Cop », premier du nom me plaisait, je me faisais les deux suites. Mais finalement non, je vais m’arrêter au premier. J’aurais bien voulu l’aimer ce « Maniac Cop », sans déconner, mais là, c’est juste pas possible. Tant pis.
Un film d’horreur très violent au scenario totalement rocambolesque, sauvé du naufrage total par une réalisation intelligente et un casting sympathique (Bruce Campbell!).
Associé à Larry Cohen (scénariste de Phone Game et réalisateur de séries b), William Lustig tente, de loin, de refaire le coup de son cultissime Maniac. Ici, cependant, le serial killer serait un policier à la force herculéenne et proche d'un Jason... En outre, il ne se focalise plus sur le meurtrier mais sur l'enquête (le mot est fort tant les incohérences abondent) de policiers qui la mènent avec 35 wagons de retard. Le pitch du film n'est pas mauvais, le métrage en lui-même ne l'est pas non plus, Lustig utilisant sa caméra avec soin tant dans les plans fixes que dans les séquences mettant en avant son horrible tueur en série. Contre-plongées, sensations de grandeur monstrueuse, effets de tension, le metteur en scène utilise divers procédés pour rendre son méchant bonhomme dantesque.
Là où le bas blesse, c'est le traitement de l'intrigue qui trop souvent exagère dans les incohérences : un innocent est-il condamné à rester en prison malgré les preuves le disculpant ? En outre, Lustig semble mettre tout son intérêt dans ce policier fantomatique, laissant de côté les autres personnages. Il combine pourtant avec talent le thriller et le film d'horreur, c'est dommage. Côté casting, on a de la chance : Tom Atkins (Fog, New-York 1997), Bruce Campbell (Evil Dead), Richard Roundtree ou encore une apparition de Sam Raimi (réalisateur de Evil Dead et Spiderman).
Maniac Cop a marqué les cinéphiles de la série b mais je lui préfère son Maniac. Plus ambitieux, plus introspectif et foutrement plus dérangeant. 2,5/5
Là où le bas blesse, c'est le traitement de l'intrigue qui trop souvent exagère dans les incohérences : un innocent est-il condamné à rester en prison malgré les preuves le disculpant ? En outre, Lustig semble mettre tout son intérêt dans ce policier fantomatique, laissant de côté les autres personnages. Il combine pourtant avec talent le thriller et le film d'horreur, c'est dommage. Côté casting, on a de la chance : Tom Atkins (Fog, New-York 1997), Bruce Campbell (Evil Dead), Richard Roundtree ou encore une apparition de Sam Raimi (réalisateur de Evil Dead et Spiderman).
Maniac Cop a marqué les cinéphiles de la série b mais je lui préfère son Maniac. Plus ambitieux, plus introspectif et foutrement plus dérangeant. 2,5/5
Petite série B fort sympathique, Maniac Cop n’arrive jamais à la cheville du magnifique et dérangeant Maniac du même William Lustig, la faute sans doute à un script de Larry Cohen qui fleure bon le film d’exploitation pur et dur. Le réalisateur parvient à créer un certain suspense et même une petite tension, faisant du spectacle un divertissement bien conçu. Toutefois, il n’atteint jamais au viscéral et manque cruellement de personnalité. On ne retrouve jamais la patte de Lustig qui se contente ici de donner vie à des personnages globalement peu intéressants et correspondants à des figures archétypales. Efficace dans sa description d’une Amérique en butte avec des problèmes de violence au quotidien, le film montre également de manière métaphorique la violence d’Etat exercée contre les forces de l’ordre. Bref, un divertissement moins idiot qu’il en a l’air mais qui aurait mérité un traitement plus rugueux.
William Lustig fait souvent des petits films, mais qui ont assez de tripes pour transcender leur histoire et en faire un vrai moment de détente. Il joue à merveille sur la terreur que peut inspirer l'uniforme quand il est utilisé à mauvais escient, et les conséquences de l'affaire sont plutôt bien gérées. Des scènes d'action un peu cheap, mais crédibles et impressionnante (quand le flic donne un coup, on vole à plusieurs mètres), et le gore est distribué de manière efficace. Sans dire que les interprétations sont bonnes, les acteurs assurent leur quotas, et le personnage du flic, bien qu'il semble surhumain, a des racines assez touchantes une fois son passé révélé. La naissance d'un boogeyman plutôt charismatique pour une saga qu'on espère débrouillarde.
Maniac cop est très classique dans la forme. Le scénario est correct mais le tout n’est pas très captivant.
L'intrigue est connue un type normal devient suspect de meurtre alors que le vrai tueur court toujours. Il doit résoudre le crime et laver son nom. Le véritable tueur s'avère être un de ces tueurs quasi invincibles des années 80 et un flic que d'autres membres de son service dissimulent. Tout est clair pour le public dès le début tandis que la majeure partie du film est occupée par des poursuites de style des années 80 et des dialogues de mauvais flics des années 80. Maniac Cop est le genre de film vendu comme un film d'horreur à l'époque de l'apogée des films d'horreur mais il n'en est rien. Il a l'intrigue d'un thriller mystérieux mais avec un peu plus d'éclaboussures de sang pour compenser ses faiblesses en tant que thriller et c'est une mauvaise compensation pour le spectateur. Il a peu d'originalité ou d'intelligence dans la narration. Si vous pouvez prévoir les événements vingt minutes à l'avance ou est l'efficacité d'un thriller. Le principal méchant s'impose un Robert Z'dar qui a un fort impact visuel dans le rôle-titre mais à part lui il n'y a pas grand-chose ici que nous n'ayons pas déjà vu beaucoup trop de fois auparavant...
Pas de quoi faire tout un pataquès de ce film qui reste pas mal mais qui manque cruellement de gores pour un sujet comme celui-ci. Ça se laisse suivre grâce à des acteurs convaincants et une histoire intéressante mais on a vu mieux.
A la base, le scénario est correct, vous tient en haleine et l'action est au rendez-vous.
Mais parfois, trop c'est trop, et il faut le dire. Un mec a beau être balaise, mais se faire tirer dessus sans même broncher, même avec un gilet pare-balle, c'est un peu too much, et quand en plus la policière affirme lui avoir tirer dans la tête!!? Mais qu'est ce que c'est que ce beans!
Donc, on réservera aux inconditionnels du film policier genre super-héros mais malfaisant.
Mais parfois, trop c'est trop, et il faut le dire. Un mec a beau être balaise, mais se faire tirer dessus sans même broncher, même avec un gilet pare-balle, c'est un peu too much, et quand en plus la policière affirme lui avoir tirer dans la tête!!? Mais qu'est ce que c'est que ce beans!
Donc, on réservera aux inconditionnels du film policier genre super-héros mais malfaisant.
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