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    Phase IV
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    Roub E.
    Roub E.

    947 abonnés 4 988 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 13 octobre 2022
    Je m’attendais à passer un super moment avec un film de sf un peu parano croisé avec les Fourmis de Bernard Werber et je suis passé complètement à côté. Je me suis profondément ennuyé et j’ai lutté contre le sommeil tout le long. Je lui laisserai peut être une deuxième chance à l’avenir mais là je ne vois rien à en retirer.
    YaPasPhoto
    YaPasPhoto

    17 abonnés 307 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 28 juin 2022
    Petit film de science fiction sur le retour de la vengeance de fourmi (avant le rman de Francis Weber).
    Les fourmis du monde se mettent ensemble pour former une intelligence collective et attaquer les humains.
    On suit une pair de scientifiques désirant étudier le phénomène mais évidement cela ne se passe pas bien.

    Loin des fourmis géantes. Un film qui démarre sur un thème intéressant mais qui accumule les poncifs du nanar.
    La jeune fille éppleurée, le savant fou.... Et une fin capilotractée

    A voir par curriosité
    JoeyTai
    JoeyTai

    20 abonnés 442 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 13 juin 2022
    Un travail inachevé, voilà ce que je retiens de ce film. Le manque criant de moyens, un scénario inabouti et le jeu très perfectible des acteurs plombent une histoire pourtant prometteuse. Le réalisateur réussit à créer un malaise, une atmosphère menaçante, à partir de quelques très gros plans remarquables de fourmis. Mais la salle des ordinateurs est franchement risible. Il faut voir les scientifiques tourner un bouton sur quatre et passer au tableau suivant. Même eux n'y croient pas ! Le budget infime du film a entraîné des sacrifices (décors et effets spéciaux cheap, acteurs moyens...) qu'une mise en scène ultra-créative aurait pu contrebalancer. Ce n'est hélas pas le cas. Honorable donc, mais pas inoubliable.
    Eowyn Cwper
    Eowyn Cwper

    120 abonnés 2 039 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 23 novembre 2021
    Phase IV m'a moins fait d'effet qu'en 2012. En 2021, je me dis que j'aurais voulu le voir à sa sortie. Son scénario est petit, bâclé, standard, et il a une manière désolante de réduire les scientifiques à des nerds sans cœur qui appuient sur dix boutons à la seconde et font joujou avec des trucs qui font zouip et bvrr. Mais le film charme malgré tout ; d'une part parce que ce mauvais vieillissement est exquis, mais aussi pour son côté indie intemporel qu'on trouve dans d'autres ovnis très fonctionnels comme Abattoir 5 ou The Man From Earth.

    Au-delà du flou induit par l'évolution de la SF, Phase IV a sa force propre : la manière admirable qu'il a d'utiliser ses protagonistes myrmécéens. Les fourmis, en effet, font non seulement l'objet de plans macros qui n'ont pas vieilli d'un poil, mais aussi d'un montage unique. Afin de nous faire croire en leur intelligence surnaturelle, il y a énormément d'informations que l'histoire nous laisse déduire de la succession particulière de ses images, dans une magnifique démonstration de l'effet Koulechov qui n'était pas tellement d'époque (#indie). La déduction est aussi de mise dans des sphères plus discrètes : ce qui précède et suivra son récit restera voilé de mystère et livré à l'imagination du spectateur.

    Le récit humain de Phase IV est superficiel et tient très mal en place. Mais la sensation d'anormal produite par le récit formique fait passer le temps très vite. Même désuet et plein de trous, il paraît très court.Phase IV m'a moins fait d'effet qu'en 2012. En 2021, je me dis que j'aurais voulu le voir à sa sortie. Son scénario est petit, bâclé, standard, et il a une manière désolante de réduire les scientifiques à des nerds sans cœur qui appuient sur dix boutons à la seconde et font joujou avec des trucs qui font zouip et bvrr. Mais le film charme malgré tout ; d'une part parce que ce mauvais vieillissement est exquis, mais aussi pour son côté indie intemporel qu'on trouve dans d'autres ovnis très fonctionnels comme Abattoir 5 ou The Man From Earth.

    Au-delà du flou induit par l'évolution de la SF, Phase IV a sa force propre : la manière admirable qu'il a d'utiliser ses protagonistes myrmécéens. Les fourmis, en effet, font non seulement l'objet de plans macros qui n'ont pas vieilli d'un poil, mais aussi d'un montage unique. Afin de nous faire croire en leur intelligence surnaturelle, il y a énormément d'informations que l'histoire nous laisse déduire de la succession particulière de ses images, dans une magnifique démonstration de l'effet Koulechov qui n'était pas tellement d'époque (#indie). La déduction est aussi de mise dans des sphères plus discrètes : ce qui précède et suivra son récit restera voilé de mystère et livré à l'imagination du spectateur.

    Le récit humain de Phase IV est superficiel et tient très mal en place. Mais la sensation d'anormal produite par le récit formique fait passer le temps très vite. Même désuet et plein de trous, il paraît très court.
    Ykarpathakis157
    Ykarpathakis157

    4 527 abonnés 18 103 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 29 avril 2021
    Saul Bass est plus connu en tant que concepteur de titres qu'en tant que réalisateur de films à part entière et quand on regarde cette histoire on comprend pourquoi. Avec ses décors il veut refléter le symbolisme de 2001 L'Odyssée de l'espace avec ses tours géantes et son action à l'intérieur d'un laboratoire ressemblant à un dôme quelque part dans le désert de l'Arizona. Une colonie de fourmis a acquis une intelligence supérieure et manipule les événements et les habitants quittent la région. Deux scientifiques restent pour examiner et mener des expériences sur les fourmis et secourir une jeune femme qui erre dans le coin. Cependant les fourmis utilisent leur intelligence collective pour tourmenter les gens et jouer à des jeux d'esprit. Ce film se veut énigmatique et perplexe mais il se termine soudainement en vous laissant perplexe. J'ai trouvé l'ensemble ennuyeux, mal interprété avec Nigel Davenport et Michael Murphy essayant désespérément de sauver ce film raté...
    🎬 RENGER 📼
    🎬 RENGER 📼

    7 181 abonnés 7 498 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 11 juin 2020
    Premier et unique long-métrage pour le génie créateur & visionnaire de célèbres génériques de films.
    Saul Bass n’a clairement pas cherché la facilité en se lançant dans cette aventure, réaliser un film de science-fiction expérimental sur… des fourmis qui semblent réagir à un mystérieux signal extra-terrestre, leur permettant de développer une intelligence collective & organisée afin d’attaquer l’Homme.

    Dans la droite lignée des films catastrophes des années 50, tels que Them! (1954) ou Tarantula (1955), le film de Saul Bass oscille entre la Sci-Fi horrifique et le film d’anticipation.

    A mi-chemin entre l’entomologie et le cinéma documentaire, Phase IV (1974) ne laisse pas indifférent, tant il s’avère atypique dans sa narration & sa conception. On peine clairement à rentrer dans le vif du sujet et pire, à y rester ! Et malgré tout, le film n’en reste pas moins fascinant.

    Indéniablement magnifique, des décors en passant par les cadrages (superbe plan de la main dont sortent une nuée de fourmis), le film n’est pas seulement de la Sci-Fi, c’est aussi une œuvre à la portée philosophique, métaphysique, voir même écologique. Mais si difficile d’accès, qu’il fut un échec commercial cuisant, interrompant aussitôt la carrière de réalisateur de Saul Bass.

    Et comble de l’ironie, ce ne sera pas Saul Bass (pourtant un génie du graphisme) qui signera l’affiche du film, les producteurs ayant préférés miser sur une affiche tape à l’œil, aux relents de Série B grotesque.

    ► http://bit.ly/CinephileNostalGeek ★ http://twitter.com/B_Renger ◄
    sebvde
    sebvde

    6 abonnés 68 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 25 avril 2020
    Ambiance apocalyptique très prenante
    Réalisation soignée car même si il y peu d'action, on reste pris dans cette histoire et on s'ennuie jamais
    Les effets spéciaux sont loin d'être impressionnants mais ce n'est pas le plus important
    Un film intemporel et atypique.
    Fêtons le cinéma
    Fêtons le cinéma

    685 abonnés 3 006 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 15 avril 2020
    L’affiche de Phase IV laissait présager une série B lambda sur une attaque de fourmis tueuses ; preuve que l’habit ne fait pas le moine. Sorti la même année que Soleil Vert, le long métrage de Saul Bass dynamite les modalités de représentations des créatures monstrueuses en épousant leur point de vue : la caméra suit les fourmis dans les tunnels qu’elles creusent, capte des communications que nous ne comprenons pas, met en place un réseau stratégique et hiérarchique qui détonne avec le désordre des méthodes mises en œuvre par les hommes pour les combattre. D’entrée de jeu, la menace dépasse le cadre territorial – le désert de l’Arizona – pour prendre une ampleur interstellaire selon laquelle les insectes sont en réalité une espèce venue coloniser la Terre. Les gros plans sur la tête des fourmis évoquent des extraterrestres, leurs antennes transmettent des messages aussi brouillés que la friture des ondes dans le laboratoire ; ce choix esthétique place sur le même plan les êtres humains et les insectes, deux ennemis s’affrontant dans une apparente égalité des forces. Apparente seulement, puisque l’avancée de la propagation, le passage d’une phase à l’autre, produisent un sentiment de fatalité : l’invasion se répand telle une pandémie, les efforts déployés par les scientifiques n’y font rien, de même que les mensonges qu’ils diffusent dans les médias. Phase IV recourt donc à la science-fiction pour mieux traiter, comme dans un conte, un sujet hautement politique : réalisé en pleine Guerre Froide, il met en scène une guerre bactériologique et convoque une imagerie apocalyptique tout droit sortie des photographies prises lors des catastrophes nucléaires d’Hiroshima et de Nagasaki – pensons à ces corps qui s’enfuient désespérément sur une route isolée – ou pendant la guerre du Vietnam – la couleur jaunâtre tirant sur le vert, à l’instar de ce corps de femme recroquevillé sur lui-même. Contre la triomphe de l’impérialisme américain et du mensonge d’État, le long métrage déconstruit l’idéologie dominante alors en vogue au moment de sa réalisation pour mieux illustrer la faiblesse congénitale de l’homme, aussi fragile qu’un insecte, voire davantage. Parce qu’il renvoie au spectateur une impression d’étrangeté connue, de bizarrerie accessible, à mi-chemin entre le documentaire capté sur le vif et l’anticipation volontairement kitsch, le film se regarde comme un miroir dans lequel se réfléchissent les angoisses d’une humanité à l’agonie, persuadée de la victoire de ses valeurs mais pourtant incapable d’écraser une simple fourmi. Un très grand film sur notre petitesse.
    Attigus R. Rosh
    Attigus R. Rosh

    193 abonnés 2 509 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 16 novembre 2018
    Le film a beau être court, il est vraiment très ennuyeux.
    L'intrigue avance très lentement. Pourtant, l'idée de base est intéressante (montrer le jour où les hommes ne domineront plus le monde). Mais clairement, il ne se passe rien dans ce film.
    Pour voir que le film date des années 70, la pouvoir de nuisance des fourmis (grâce à une intelligence collective que l'on ne retrouve que chez les insectes) est assez flippant. D'ailleurs l'animation des fourmis est assez réalistes.
    spoiler: La scène de procession funéraire est peut-être le meilleur point du film. Elle montre à quel point les fourmis sont sur le point d'être humaniser.

    Les acteurs sont moyennement convaincant ; le premier rôle féminin en tout cas.
    Film franchement oubliable.
    konika0
    konika0

    27 abonnés 778 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 7 mars 2018
    Phase IV – Saul Bass, 1974 – 4,5/5

    Que ceux qui connaissent Saul Bass lèvent la main. Pas un mouvement dans la salle. Et pourtant, ce type dont Phase IV est la seule réalisation a collaboré avec Preminger, Wilder, Frankenheimer, Hitchcock, Kubrick et Scorsese. Comment ? En créant des génériques car le gars est avant tout graphiste. L’histoire, c’est celle d’une lutte à mort entre les fourmis et les humains. Deux scientifiques bornés et une jeunette concon se retrouvent coincés dans leur base et se battent contre des fourmis qui essaient de les exterminer. Dit comme ça, ça sent fort la série B débile. Et par certains aspects, l’interprétation notamment, c’est effectivement ça. La particularité du film c’est qu’il adopte les deux points de vue et sait filmer les protagonistes selon leur taille. Le travail sur la transition d’échelles est superbe, de même que les prises de vue en macro à hauteur de fourmis (des vraies). C’est la vraie force du film. Il y a aussi des partis pris visuels assez marquant comme l’usage de couleurs saturées qui nous explosent au visage. On appréciera également les questionnements que le film propose sur la figure du monstre ou la prétendue bêtise animale … avec cette curieuse impression que l’on vient de trouver la source d’inspiration principale de Bernard Werber pour ses Fourmis. En bref, on oublie le côté cheap de l’entreprise et on fonce se mater ça de toute urgence.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 19 décembre 2017
    un film magnifique, très technique, très lent mais toujours juste dans sa réalisation et interprétation. Le style seventies futuriste pourra en dérouter pas mal mais c'est ce qui fait également le charme de ce film.
    peter W.
    peter W.

    42 abonnés 1 137 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 4 novembre 2017
    Le travail d'images sur les fourmis et la bonne idée de scénario donne au film une bonne accroche et une tension intéressante dommage que le reste de la réalisation ressemble plus à une série B, en particulier la direction d'acteurs. Le réalisateur montre ainsi ses limites et va par la suite se cantonner aux travaux de génériques de films qui ont fait sa réputation.
    Ricco92
    Ricco92

    221 abonnés 2 148 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 4 octobre 2017
    Unique film en tant que réalisateur du designer Saul Bass, Phase IV se révèle être une déception. En effet, alors que les génériques qu’il a signés (Sueurs froides, Psychose ou Casino ne sont qu’une petite partie de son œuvre) sont sûrement avec ceux de Maurice Binder pour les James Bond les meilleurs de l’histoire du cinéma, cet essai en tant que cinéaste se révèle peu rythmé, tellement épuré qu’il en devient assez pauvre visuellement (et très marqué par son époque) et possède des personnages peu développés (ce qui les rend peu attachants). En effet, l’aspect humain est le moins réussi et entraine un peu d’ennui alors que les séquences concernant les fourmis (dont on découvre au générique qu’elles ont été dirigées par un autre) sont assez belles. Cette œuvre apocalyptique parait de nos jours assez banale à l’intérieur du genre. Très décevant de la part d’un génie du générique.
    cortomanu
    cortomanu

    74 abonnés 421 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 1 octobre 2017
    De la SF seventies avec les fourmis pour remplacer les envahisseurs (communistes) venus de l'espace. La contre culture est passée par là et du coup les scientifiques essaient de communiquer avec les insectes mutants. Qui va gagner ?
    L'immense graphiste Saul Bass est à la réalisation. Mais le film reste anecdotique. Pour amoureux de SF d'époque.
    weihnachtsmann
    weihnachtsmann

    1 142 abonnés 5 123 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 27 septembre 2017
    Franchement déçu de ce film d'anticipation sur la survie des hommes face à la capacité d'adaptation des fourmis. On a vraiment du mal à considérer que c'est une "grande" menace avec ces deux scientifiques tellement doués qu'ils en arrivent à parler avec les insectes!!!!! Parfois une fourmi les effraie..... franchement on est quand même loin de la bête affreuse d'alien!!!!!! La fin est assez étrange aussi.
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