Mon compte
    Phase IV
    Note moyenne
    3,0
    296 notes En savoir plus sur les notes spectateurs d'AlloCiné
    Votre avis sur Phase IV ?

    52 critiques spectateurs

    5
    1 critique
    4
    13 critiques
    3
    21 critiques
    2
    9 critiques
    1
    6 critiques
    0
    2 critiques
    Trier par :
    Les plus utiles Les plus récentes Membres avec le plus de critiques Membres avec le plus d'abonnés
    Roub E.
    Roub E.

    985 abonnés 5 015 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 13 octobre 2022
    Je m’attendais à passer un super moment avec un film de sf un peu parano croisé avec les Fourmis de Bernard Werber et je suis passé complètement à côté. Je me suis profondément ennuyé et j’ai lutté contre le sommeil tout le long. Je lui laisserai peut être une deuxième chance à l’avenir mais là je ne vois rien à en retirer.
    Ricco92
    Ricco92

    230 abonnés 2 156 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 4 octobre 2017
    Unique film en tant que réalisateur du designer Saul Bass, Phase IV se révèle être une déception. En effet, alors que les génériques qu’il a signés (Sueurs froides, Psychose ou Casino ne sont qu’une petite partie de son œuvre) sont sûrement avec ceux de Maurice Binder pour les James Bond les meilleurs de l’histoire du cinéma, cet essai en tant que cinéaste se révèle peu rythmé, tellement épuré qu’il en devient assez pauvre visuellement (et très marqué par son époque) et possède des personnages peu développés (ce qui les rend peu attachants). En effet, l’aspect humain est le moins réussi et entraine un peu d’ennui alors que les séquences concernant les fourmis (dont on découvre au générique qu’elles ont été dirigées par un autre) sont assez belles. Cette œuvre apocalyptique parait de nos jours assez banale à l’intérieur du genre. Très décevant de la part d’un génie du générique.
    Eowyn Cwper
    Eowyn Cwper

    124 abonnés 2 039 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 23 novembre 2021
    Phase IV m'a moins fait d'effet qu'en 2012. En 2021, je me dis que j'aurais voulu le voir à sa sortie. Son scénario est petit, bâclé, standard, et il a une manière désolante de réduire les scientifiques à des nerds sans cœur qui appuient sur dix boutons à la seconde et font joujou avec des trucs qui font zouip et bvrr. Mais le film charme malgré tout ; d'une part parce que ce mauvais vieillissement est exquis, mais aussi pour son côté indie intemporel qu'on trouve dans d'autres ovnis très fonctionnels comme Abattoir 5 ou The Man From Earth.

    Au-delà du flou induit par l'évolution de la SF, Phase IV a sa force propre : la manière admirable qu'il a d'utiliser ses protagonistes myrmécéens. Les fourmis, en effet, font non seulement l'objet de plans macros qui n'ont pas vieilli d'un poil, mais aussi d'un montage unique. Afin de nous faire croire en leur intelligence surnaturelle, il y a énormément d'informations que l'histoire nous laisse déduire de la succession particulière de ses images, dans une magnifique démonstration de l'effet Koulechov qui n'était pas tellement d'époque (#indie). La déduction est aussi de mise dans des sphères plus discrètes : ce qui précède et suivra son récit restera voilé de mystère et livré à l'imagination du spectateur.

    Le récit humain de Phase IV est superficiel et tient très mal en place. Mais la sensation d'anormal produite par le récit formique fait passer le temps très vite. Même désuet et plein de trous, il paraît très court.Phase IV m'a moins fait d'effet qu'en 2012. En 2021, je me dis que j'aurais voulu le voir à sa sortie. Son scénario est petit, bâclé, standard, et il a une manière désolante de réduire les scientifiques à des nerds sans cœur qui appuient sur dix boutons à la seconde et font joujou avec des trucs qui font zouip et bvrr. Mais le film charme malgré tout ; d'une part parce que ce mauvais vieillissement est exquis, mais aussi pour son côté indie intemporel qu'on trouve dans d'autres ovnis très fonctionnels comme Abattoir 5 ou The Man From Earth.

    Au-delà du flou induit par l'évolution de la SF, Phase IV a sa force propre : la manière admirable qu'il a d'utiliser ses protagonistes myrmécéens. Les fourmis, en effet, font non seulement l'objet de plans macros qui n'ont pas vieilli d'un poil, mais aussi d'un montage unique. Afin de nous faire croire en leur intelligence surnaturelle, il y a énormément d'informations que l'histoire nous laisse déduire de la succession particulière de ses images, dans une magnifique démonstration de l'effet Koulechov qui n'était pas tellement d'époque (#indie). La déduction est aussi de mise dans des sphères plus discrètes : ce qui précède et suivra son récit restera voilé de mystère et livré à l'imagination du spectateur.

    Le récit humain de Phase IV est superficiel et tient très mal en place. Mais la sensation d'anormal produite par le récit formique fait passer le temps très vite. Même désuet et plein de trous, il paraît très court.
    konika0
    konika0

    29 abonnés 778 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 7 mars 2018
    Phase IV – Saul Bass, 1974 – 4,5/5

    Que ceux qui connaissent Saul Bass lèvent la main. Pas un mouvement dans la salle. Et pourtant, ce type dont Phase IV est la seule réalisation a collaboré avec Preminger, Wilder, Frankenheimer, Hitchcock, Kubrick et Scorsese. Comment ? En créant des génériques car le gars est avant tout graphiste. L’histoire, c’est celle d’une lutte à mort entre les fourmis et les humains. Deux scientifiques bornés et une jeunette concon se retrouvent coincés dans leur base et se battent contre des fourmis qui essaient de les exterminer. Dit comme ça, ça sent fort la série B débile. Et par certains aspects, l’interprétation notamment, c’est effectivement ça. La particularité du film c’est qu’il adopte les deux points de vue et sait filmer les protagonistes selon leur taille. Le travail sur la transition d’échelles est superbe, de même que les prises de vue en macro à hauteur de fourmis (des vraies). C’est la vraie force du film. Il y a aussi des partis pris visuels assez marquant comme l’usage de couleurs saturées qui nous explosent au visage. On appréciera également les questionnements que le film propose sur la figure du monstre ou la prétendue bêtise animale … avec cette curieuse impression que l’on vient de trouver la source d’inspiration principale de Bernard Werber pour ses Fourmis. En bref, on oublie le côté cheap de l’entreprise et on fonce se mater ça de toute urgence.
    YaPasPhoto
    YaPasPhoto

    20 abonnés 310 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 28 juin 2022
    Petit film de science fiction sur le retour de la vengeance de fourmi (avant le rman de Francis Weber).
    Les fourmis du monde se mettent ensemble pour former une intelligence collective et attaquer les humains.
    On suit une pair de scientifiques désirant étudier le phénomène mais évidement cela ne se passe pas bien.

    Loin des fourmis géantes. Un film qui démarre sur un thème intéressant mais qui accumule les poncifs du nanar.
    La jeune fille éppleurée, le savant fou.... Et une fin capilotractée

    A voir par curriosité
    Redzing
    Redzing

    1 147 abonnés 4 496 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 10 avril 2013
    Saul Bass, grand spécialiste des génériques, réalise ici son seul long-métrage : un film fantastique où deux scientifiques se voient confrontés à une colonie intelligente de fourmis. Bien loin des films catastrophes, "Phase IV" est presque expérimental. On reconnait que Bass est avant tout graphiste, la réalisation étant très simple, proche du documentaire, les dialogues limités, et les personnages assez peu développés. Ce sont les images du film qui lui confèrent une ambiance à la fois inquiétante et psychédélique : les séquences efficaces et très réalistes mettant en scènes les insectes, leurs étranges constructions, ou un final étonnant. Par ailleurs, la musique électronique dérangeante contribue à cette ambiance, tandis que le scénario propose quelques idées intéressantes (notamment, on ne sait plus qui est le sujet et qui est le savant !). "Phase IV" peut aisément désarçonner ses spectateurs, mais demeure une curiosité à voir.
    gerard stevenson
    gerard stevenson

    20 abonnés 819 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 20 août 2024
    Film bien ancré dans le mouvement psychédélique de la fin des années 60 - début années 70 par son image, son son, sa musique.Cette histoire de fourmis menace de l'humanité fait documentaire et peine à passionner. Les fourmis étant meilleures actrices que les humains.
    ManoCornuta
    ManoCornuta

    284 abonnés 2 889 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 26 avril 2024
    Le parti pris quasi documentaire pouvait laisser craindre le pire dans cette histoire au schéma finalement très minimaliste: deux scientifiques dans une base isolée encerclés par une colonie de fourmis aux intentions pas très claires. C'est d'ailleurs là que réside tout le problème du film: les moyens sont limités mais bien employés, le propos se veut profond sur les problématiques de communication entre les races, mais le final apparaît un peu en contradiction avec tout ce qui a précédé: spoiler: pourquoi les fourmis auraient-elles tué tout le monde (hommes et animaux compris) sauf notre heureux couple final qui se met à faire n'importe quoi mais se sauve quand même et ouvre la promesse d'une nouvelle ère pour l'humanité à l'issue d'un "croisement" avec les fourmis
    ? Un final balancé à la hussarde qui ne va pas à mon sens au bout de la démarche purement nihiliste qui était celle du film jusque-là. L'interprétation est tout juste correcte et, si le film n'est pas dénué d'intérêt ni d'une certaine maestria, il manque un peu de tension nerveuse, contrairement à ce que le slogan sur l'affiche voudrait faire croire.
    Attigus R. Rosh
    Attigus R. Rosh

    202 abonnés 2 519 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 16 novembre 2018
    Le film a beau être court, il est vraiment très ennuyeux.
    L'intrigue avance très lentement. Pourtant, l'idée de base est intéressante (montrer le jour où les hommes ne domineront plus le monde). Mais clairement, il ne se passe rien dans ce film.
    Pour voir que le film date des années 70, la pouvoir de nuisance des fourmis (grâce à une intelligence collective que l'on ne retrouve que chez les insectes) est assez flippant. D'ailleurs l'animation des fourmis est assez réalistes.
    spoiler: La scène de procession funéraire est peut-être le meilleur point du film. Elle montre à quel point les fourmis sont sur le point d'être humaniser.

    Les acteurs sont moyennement convaincant ; le premier rôle féminin en tout cas.
    Film franchement oubliable.
    cortomanu
    cortomanu

    77 abonnés 424 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 1 octobre 2017
    De la SF seventies avec les fourmis pour remplacer les envahisseurs (communistes) venus de l'espace. La contre culture est passée par là et du coup les scientifiques essaient de communiquer avec les insectes mutants. Qui va gagner ?
    L'immense graphiste Saul Bass est à la réalisation. Mais le film reste anecdotique. Pour amoureux de SF d'époque.
    White Fingers
    White Fingers

    15 abonnés 1 237 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 1 mai 2024
    J'ai revu récemment « Phase IV », un film de science-fiction expérimental qui se concentre davantage sur l'ambiance et la tension que sur l'action ou le développement des personnages. Bien que le film soit parfois lent et que les personnages humains manquent de profondeur, il offre une expérience véritablement aliénante grâce à sa superbe photographie d'insectes et sa bande sonore dissonante. Les personnages sont intentionnellement plats, soulignant la domination d'une intelligence collective de fourmis sur l'individualité humaine. Malgré une fin mystique qui peut dérouter certains spectateurs, « Phase IV » de Saul Bass reste une œuvre marquante pour son approche unique du genre. Le film utilise des visuels frappants et une narration qui laisse place à l'interprétation, ce qui en fait une œuvre de science-fiction provocatrice et méritoire. WHITE FINGERS : LA PISTE SYSKIYOU (TOME 1) et LE CIMETIERE DES SQUAWS (TOME 2) (Amazon Kindle).
    Ykarpathakis157
    Ykarpathakis157

    4 703 abonnés 18 103 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 29 avril 2021
    Saul Bass est plus connu en tant que concepteur de titres qu'en tant que réalisateur de films à part entière et quand on regarde cette histoire on comprend pourquoi. Avec ses décors il veut refléter le symbolisme de 2001 L'Odyssée de l'espace avec ses tours géantes et son action à l'intérieur d'un laboratoire ressemblant à un dôme quelque part dans le désert de l'Arizona. Une colonie de fourmis a acquis une intelligence supérieure et manipule les événements et les habitants quittent la région. Deux scientifiques restent pour examiner et mener des expériences sur les fourmis et secourir une jeune femme qui erre dans le coin. Cependant les fourmis utilisent leur intelligence collective pour tourmenter les gens et jouer à des jeux d'esprit. Ce film se veut énigmatique et perplexe mais il se termine soudainement en vous laissant perplexe. J'ai trouvé l'ensemble ennuyeux, mal interprété avec Nigel Davenport et Michael Murphy essayant désespérément de sauver ce film raté...
    peter W.
    peter W.

    44 abonnés 1 137 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 4 novembre 2017
    Le travail d'images sur les fourmis et la bonne idée de scénario donne au film une bonne accroche et une tension intéressante dommage que le reste de la réalisation ressemble plus à une série B, en particulier la direction d'acteurs. Le réalisateur montre ainsi ses limites et va par la suite se cantonner aux travaux de génériques de films qui ont fait sa réputation.
    Peter Franckson
    Peter Franckson

    56 abonnés 1 165 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 2 août 2017
    C'est l’unique film de Saul BASS à 54 ans. Il est d’abord connu pour avoir révolutionné le générique de film : il en a réalisé 50, de « Carmen Jones » (1954) d’Otto Preminger à « Casino » (1995) de Martin Scorsese, en passant par 3 films d’Alfred Hitchcock [« Sueurs froides » (1954), « La mort aux trousses » (1959) et « Psychose » (1960)] et 5 autres films de Preminger dont « L’homme au bras d’or » (1955). Il s’agit d’un film rare et dont le négatif était endommagé. Il a été tourné à Londres et au Kenya. Intrigués par le changement de comportement des fourmis en Arizona, 3 chercheurs découvrent leur montée en puissance progressive, la phase IV correspondant à leur domination de la planète. Un film attachant en raison de son côté un peu expérimental, à petit budget (il n’y a que 6 acteurs) mais efficace, aux superbes images de fourmis, dignes d’un documentaire et qui est fortement influencé par « 2001, l’odyssée de l’espace » (1968) Stanley Kubrick (cf. les 7 colonnes qui abritent les fourmis et qui font penser au monolithe noir de Kubrick ainsi que certaines scènes un peu absconses rappelant la fin de « 2001 »). C’est un peu lent et long au début et même si le film ne dure que 1h24, un moyen métrage aurait suffi. .
    alouet29
    alouet29

    77 abonnés 1 514 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 11 juin 2016
    Phase IV n'est clairement pas un best-seller, ni même un bon film : c'est vieux, mal fait, mou et sans réelle pêche. Toutefois l'intention est louable, presque métaphysique et c'est déjà bien.
    Les meilleurs films de tous les temps
    • Meilleurs films
    • Meilleurs films selon la presse
    Back to Top