Mon compte
    Phase IV
    Note moyenne
    3,0
    294 notes En savoir plus sur les notes spectateurs d'AlloCiné
    Votre avis sur Phase IV ?

    52 critiques spectateurs

    5
    1 critique
    4
    13 critiques
    3
    21 critiques
    2
    9 critiques
    1
    6 critiques
    0
    2 critiques
    Trier par :
    Les plus utiles Les plus récentes Membres avec le plus de critiques Membres avec le plus d'abonnés
    chrischambers86
    chrischambers86

    13 680 abonnés 12 411 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 21 octobre 2010
    Quasi expèrimental, "Phase IV", unique mise en scène de Saul Bass, èpie quelques scientifiques dans un centre dont des fourmis intelligentes, commandèes par une force extraterrestre, prendront finalement le contrôle! Une seule sèquence de "Phase IV" peut suffire à donner une idèe de l'ensemble! C'est là le secret de ce cette oeuvre fauchèe et originale interprètèe par trois acteurs peu connus (Nigel Davenport en tête) dans deux dècors et sans aucun recours aux effets spèciaux qui ont envahi depuis nos ècrans! il y a finalement peu de rèelles scènes d'action dans ce film angoissant de science-fiction qui reçut le Prix spècial du jury ex-aequo avec "Le Monstre est vivant" de Larry Cohen! Une vèritable surprise cinèmatographique...
    Frédéric M.
    Frédéric M.

    183 abonnés 1 846 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 24 mai 2016
    Le film a des cotés documentaire et pas vraiment film d'épouvante. Il est traité de façon original et intelligente. Un peu court, parfois un peu philosophique. Assez plaisant dans l'ensemble
    Ezhirel
    Ezhirel

    53 abonnés 254 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 16 mai 2024
    Très déçu… Quest étant le premier film de Saul Bass que j'ai visionné, je m'attendais à un film aussi artistique et expérimental que ce court-métrage, mais il n'en est rien. Phase IV est finalement un film très terre à terre (en tout cas, comparativement à ce à quoi je m'attendais), que ce soit visuellement et sur le plan scénaristique. J'aurais aimé que Saul Bass se permette quelques petits brins de folie et fulgurances, comme il a eu l'audace de le faire dans Quest, qui baigne dans une atmosphère absolument incroyable, au point d'influencer certains des plus grands réalisateurs et compositeurs (oui oui Jerry Goldsmith, j'ai bien entendu que tu avais allègrement pompé la B.O. de Quest pour composer celle de Basic Instinct, vil sacripant ! 🫵🥸). Néanmoins, le film pose un point de vue intéressant sur la place de l'homme sur cette planète. J'ai eu une discussion avec un ami récemment qui m'affirmait que certaines études prédisaient que le prédateur naturel de l'homme dans le futur serait l'insecte. Après tout, pourquoi pas. Vu la résistance des cafards et autres punaises de lits à nos méthodes d'éradication, il y a de quoi se poser de sérieuses questions.
    albancinedvd63
    albancinedvd63

    15 abonnés 347 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 22 mai 2024
    Ça commence comme un doc animalier bien daté, on continue sur une étude de physique chimie et se termine en invasion planétaire de fourmis. C’est un peu n’importe quoi, filmé sur un rythme d’escargot et ça manque de moyens (même pour l’époque) mais j’ai fini par me laisser happer.
    pfloyd1
    pfloyd1

    128 abonnés 2 106 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 3 avril 2024
    Ne cherchez pas les frissons, il ne se passe pas grand chose dans cette histoire mal conduite où la vie des fourmis ressemble plus à un documentaire qu'autre chose. Alors qu'elles envahissent les maison d'un quartier récemment construit en plein désert; 2 scientifiques s’enferment dans un complexe afin de les étudier. Mais on ne voit rien tout est subjectif à en devenir ridicule. On est dans le documentaire animalier. L'histoire est plate, sans intrigue, sans dynamisme et les acteurs ne valent pas mieux, on s’ennuie ferme!
    Cyril J.
    Cyril J.

    26 abonnés 625 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 12 septembre 2016
    Partant de l’hypothèse de rayonnements stellaires altérant certaines colonies de ces véritables terriennes et doyennes de notre planète, les fourmis, et en particulier celles d’un site en Arizona, celles-ci semblent avoir franchi un seuil redoutable dans leur intelligence. Alliance des espèces, destruction méthodique de leurs gêneurs et prédateurs naturels, parmi lesquels les quelques fermes environnantes, exploitation optimale du soleil, des éléments et de l’environnement, constructions récentes d’étranges monolithes, et reproduction exponentielle sont autant de signes précurseurs d’une expansion affichée. Deux chercheurs, issues de l’humanité, espèce toute neuve dans l’histoire de la vie, fragile et ô combien orgueilleuse, installent leur laboratoire sur place pour les étudier et les éduquer.
    Dans un conflit expérimental entre une intelligence collective où les individus ne sont que des cellules conscientes constituant un tout, et une espèce fonctionnant dans l’individualité polluée par le sentiment et l’abstraction, on réalise bien vite l’inversion des rôles prévus entre les analystes et les sujets. Reste à décrypter la finalité ambitionnée par le vainqueur si l’on souhaiter un espoir de survie.
    En contradiction avec l’affiche racoleuse annonçant un film d’horreur, ce film est une aventure expérimentale et philosophique montrant ce que pourraient faire les fourmis si elles savaient exploiter à fond leur potentiel, remettant ainsi l’arrogant homo-sapiens à sa place. Le rythme un peu lent d’un film de 1973 (au générique, et non 1974 comme on voit partout) mériterait sans doute un bon remake. Il conserve néanmoins son intelligence en déployant les sujets fondamentaux tels que la mutation, l’adaptation, la conscience et l’ignorance de la collectivité et du monde, l’éternelle guerre de domination des espèces et de la survie.
    weihnachtsmann
    weihnachtsmann

    1 142 abonnés 5 123 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 27 septembre 2017
    Franchement déçu de ce film d'anticipation sur la survie des hommes face à la capacité d'adaptation des fourmis. On a vraiment du mal à considérer que c'est une "grande" menace avec ces deux scientifiques tellement doués qu'ils en arrivent à parler avec les insectes!!!!! Parfois une fourmi les effraie..... franchement on est quand même loin de la bête affreuse d'alien!!!!!! La fin est assez étrange aussi.
    pierrre s.
    pierrre s.

    425 abonnés 3 302 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 2 mai 2024
    Un film singulier mais duquel se dégage une atmosphère et un ton agréable. Le fait que l'on soit par moment dans un style quasi documentaire, rajoute de la tension et de la qualité à l'ensemble. On pense également souvent à l'œuvre de Bernard Werber qui a très certainement vu le film.
    Gentilbordelais
    Gentilbordelais

    312 abonnés 2 965 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 24 mars 2024
    Sur une réalisation quasi expérimentale marquée par son époque, une étude scientifique affichant bien l'éternelle volonté de l'homme à vouloir tout contrôler, en particulier la nature. Pour autant, avec un jeu d'acteur peu convaincant, aux réactions absurdes, cette variation du supposé prédateur est extrêmement limitée et guère palpitante.
    eldarkstone
    eldarkstone

    215 abonnés 2 073 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 24 mars 2024
    Un scénario, bien vide, bien qu'avec une idée de base intéressante. Des plans trops longs, des images qui ont assez mal vieillies ... attention, si vous êtes insectophobe vous risquez de regretter votre visionage.
    Artriste
    Artriste

    115 abonnés 1 999 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 21 septembre 2023
    Film de science-fiction, réalisé par Saul Bass, dont c'est le premier long-métrage, Phase IV est une œuvre expérimentale singulière possédant de belles qualités mais également quelques défauts, pour un résultat globalement satisfaisant. L'histoire se déroule dans le désert de l'Arizona et nous fait suivre deux scientifiques s'associant afin de mener des recherches sur des fourmis douées d'intelligence s'attaquant aux humains. Pour cela, ils font évacuer la région et installer un laboratoire afin d'étudier le comportement de ces insectes menaçants. Ce scénario, adapté d'une nouvelle d'Herbert George Wells et de la novélisation de Barry Nathaniel Malzberg, nous plonge au cœur d'un récit intrigant mais comportant tout de même quelques longueurs malgré une durée relativement courte d'à peine une heure et vingt minutes. Celui-ci possède un fort aspect documentaire, renforcé par une narration apaisante malgré le danger rodant sous et sur terre. Le rythme est assez lent et l'ensemble manque un peu d'action, en plus de peu évoluer. Cependant, l'intrigue a quelque chose de captivant, notamment grâce à son ambiance psychédélique et oppressante nous faisant très bien ressentir l'inquiétude due à cette colonie de prédateurs minuscules. Tout cela est porté par très peu de personnages, interprétés par une distribution convaincante comportant Nigel Davenport, Michael Murphy et Lynne Frederick. D'autres rôles secondaires apparaissent également à l'écran mais leur présence et leur importance sont assez anecdotiques. Ces trois individus principaux entretiennent des relations peu approfondis, soutenus par des dialogues assez neutres. Sur la forme, la réalisation de Saul Bass s'avère de bonne facture et nous gratifie même de quelques plans mémorables. Sa caméra s'infiltre dans les moindres galeries afin d'être au plus près des insectes scrutés sous tous les angles. De plus, sa mise en scène évolue dans un cadre désertique isolé du reste du monde, renforçant le côté pesant. Ce visuel de qualité est accompagné par une excellente b.o. signée Brian Gascoigne. Ses compositions électroniques, à la fois organiques, angoissantes et envoûtantes, collent à merveille aux images, renforçant ainsi fortement l'atmosphère étouffante. Elles s'avèrent être un des grands point fort du long-métrage qui s'achève sur une fin étrange au goût d'inachevée, venant mettre un terme à Phase IV, qui, en conclusion, est un film très spécial, méritant d'être découvert pour son aspect peu commun.
    Emmanuel Cockpit
    Emmanuel Cockpit

    60 abonnés 918 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 28 août 2024
    Sur une musique faisant penser à Orange mécanique tendance Pink Floyd ou Tangerine Dream et avec quelques gros plans de fourmis et une voix de commentateur des années 70, ce film de 1974 réussi à nous mettre mal à l’aise dès les premières minutes. On pourrait penser à un documentaire scientifique, on est cependant plus dans l’ambiance X-Files. La mise en scène est anxiogène à souhait surtout quand la caméra se place du point de vue des fourmis. Ambiance oppressante, couleur rougeoyantes, tension permanente c’est œuvre réalisée avec les moyens minimaliste est une véritable réussite. La terreur est toujours d’actualité 50 ans après.
    ATON2512
    ATON2512

    58 abonnés 1 124 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 18 avril 2024
    De Saul Bass (1974).
    Pas d'image sanguinolentes, pas d'effets spéciaux à couper le souffle ! Cette absence ne veut pas par l'époque puisque déjà ; de nombreux films utilisaient déjà des effets visuels très abouties. Cela est certainement un choix de plus suggérer une horreur sous jacente comme irrémédiable . Mais surtout le film est presque autant un film documentaire sur la vie de ces petites bêtes en apparence si inoffensives ! En effet, les image macro des fourmis sont dites des plus grands documentaires sur les insectes. D'une précision forte . Enfin le scénario qui tient la route et maintient en alerte . Seul bémol, l'intrusion du personnage féminin qui n'apporte rien au film .
    Avec Nigel Davenport, Michael Murphy, Wesley Jonathan.
    JoeyTai
    JoeyTai

    20 abonnés 442 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 13 juin 2022
    Un travail inachevé, voilà ce que je retiens de ce film. Le manque criant de moyens, un scénario inabouti et le jeu très perfectible des acteurs plombent une histoire pourtant prometteuse. Le réalisateur réussit à créer un malaise, une atmosphère menaçante, à partir de quelques très gros plans remarquables de fourmis. Mais la salle des ordinateurs est franchement risible. Il faut voir les scientifiques tourner un bouton sur quatre et passer au tableau suivant. Même eux n'y croient pas ! Le budget infime du film a entraîné des sacrifices (décors et effets spéciaux cheap, acteurs moyens...) qu'une mise en scène ultra-créative aurait pu contrebalancer. Ce n'est hélas pas le cas. Honorable donc, mais pas inoubliable.
    Shawn777
    Shawn777

    581 abonnés 3 464 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 27 avril 2024
    Alors que l'on pourrait s'attendre à un film d'horreur plutôt classique centré sur des insectes (qu'ils soient géants, mutants ou juste tueurs), nous sommes en réalité devant un film pratiquement expérimental. Réalisé par Saul Bass, créateur d'affiches et de génériques qui ont marqués le cinéma des années 50 à 90, et sorti en 1974, le film raconte l'histoire de fourmis devenant de plus en plus malignes, jusqu'à vouloir prendre le contrôle du monde. Mais tout commence en plein cœur du désert où deux chercheurs vont étudier leur comportement. Le film nous met directement dans le ton avec un montage plutôt expérimental illustrant une voix off, celle d'un des deux personnages principaux. Ensuite, film d'insectes classique avec la découverte des fourmis, de ce qu'elles sont capables de faire etc. Et puis, du moment où les personnages rentrent dans la sphère pour étudier ces dernières, le film part dans de l'expérimentation avec même un côté documentaire. Car oui, on a quand même dix minutes, au début du film, où l'ont voit diverses fourmis filmées en macro, scènes que j'ai trouvé passionnantes. Et c'est là où nous sommes presque dans l'effet documentaire car on voit juste les fourmis s'activer en groupement afin de contenter leur reine. C'est ici juste la voix off qui apporte l'effet science-fiction, portant alors un tout autre sens aux images que l'on a sous les yeux. Mais le film va plus loin dans l'expérimentation (enfin pour un film du genre du moins), qui ne se concentre finalement que très peu sur le côté "horreur" du film mais plus sur l'aspect humain, ayant même un discours misanthrope. C'est en effet un film qui juge constamment ses personnages en les mettant toujours en opposition aux fourmis. Tandis que ces dernières forment une intelligence collective, sont organisées, dévouées les unes aux autres et s'allient contre une même cause, les humains montrent un comportement désorganisé, impulsif, quelques-fois violent et imprudent, incapables de communiquer ensemble. Il y a par ailleurs deux scènes particulièrement parlantes que l'on peut mettre en parallèle : lorsque l'un des deux scientifiques restent froid et inexpressif devant quelques morts humains tandis que les fourmis rapatrient soigneusement leurs pertes. On a de plus une très bonne mise en scène, néanmoins bien trop timide lorsqu'il s'agit de filmer les humains, comme si le réalisateur était finalement perdu quant il s'agit de filmer des situations "normales". Nous avons par ailleurs la fin alternative qui est, encore une fois, particulièrement expérimentale et représente une œuvre d'art à elle seule, visuellement et sensoriellement parlant. "Phase IV" est donc pour résumer un très bon film sur la vanité humaine.
    Les meilleurs films de tous les temps
    • Meilleurs films
    • Meilleurs films selon la presse
    Back to Top