Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
18 critiques presse
20 Minutes
par Caroline Vié
Sans un gramme de voyeurisme, par la seule force du cinéma, "Taj Mahal" livre un suspense intense ainsi qu’une magnifique ode à la vie qui fait un bien fou en ces temps moroses.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Charlie Hebdo
par Jean-Baptiste Thoret
Grâce à une mise en scène précise et inspirée, "Taj Mahal" montre combien l'ampleur d'une action, la tension dramatique d'une séquence ne se mesurent pas forcément à la quantité d'explosions ou à l'immensité des espaces à parcourir.
Les Inrockuptibles
par Serge Kaganski
Longtemps critique, Nicolas Saada prouve avec ce deuxième film propulsé par une ample mise en scène qu’il devient un cinéaste capable d’emboîter le pas de ses maîtres tout en digérant leur influence dans ses obsessions personnelles.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
L'Obs
par La Rédaction
Beau et fragile, "Taj Mahal" l’est d’autant plus qu’il se pare, au lendemain des événements récents, d’une profonde vertu cathartique.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Sur un sujet qui éveille de sombres échos avec l’actualité et qu’il traite de façon crédible, un drame inspiré de faits réels.
Libération
par Clémentine Gallot
Le film rend compte ainsi sans recourir au spectaculaire de cette condition d’assiégé incertain que le terrorisme impose partout où passe sa fureur nihiliste.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Première
par Gael Golhen
La mise en scène allie subtilement rigueur stylistique et épure narrative, dans une forme d’élégante ligne claire toujours contrebalancée par un appétit fétichiste qui transforme son portrait de victime en rêverie fantasmatique.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télérama
par Aurélien Ferenczi
Nicolas Saada utilisait un genre — l'espionnage — pour évoquer avec force la trahison amoureuse. A nouveau, son presque huis clos, mis en scène au millimètre en amateur éclairé de Hitchcock, possède une double résonance : le film d'angoisse, façon Panic Room, est très réussi — c'est rare dans le cinéma français.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Frédéric Guez
Une oeuvre étrange et courageuse, qui souffre de postulats de départs louables mais qui finissent par l’étouffer et piéger le spectateur.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Franceinfo Culture
par Pierre-Yves Grenu
Des reconstitutions plus spectaculaires n'auraient sans doute pas altéré son propos, mais dans son minimalisme, "Taj Mahal" se tient, porté par son intense suspense.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
Le Journal du Dimanche
par Baptiste Thion
Un long épilogue traité de manière trop superficielle, et qui aurait pu constituer la base d’un autre film. Dommage que Nicolas Saada n’ait pas su mettre plus tôt un point final à cette histoire.
VSD
par Olivier Bousquet
Un huis-clos claustro réalisé avec maestria.
Critikat.com
par Josué Morel
La rétention des effets ouvrait la possibilité d’un vrai film sec et précis, tout en hors-champ et travail sur l’espace, en lieu et place de ce petit exercice hypertrophié.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
La Croix
par Corinne Renou-Nativel
Malgré quelques moments intenses et la bonne volonté des acteurs (Stacy Martin, Louis-Do de Lencquesaing et Gina McKee), l’attente est longue pour tout le monde…
La critique complète est disponible sur le site La Croix
La Septième Obsession
par Ghislain Benhessa
TAJ MAHAL a le grand mérite d’esquisser une voie de traverse et de sortir des ornières habituelles du cinéma français.
Studio Ciné Live
par Laurent Djian
La caméra de Saada scrute Stacy Martin avec un plaisir fétichiste. Hélas, faute de renouvellement dans les péripéties, la fascination s'évapore (...).
Cahiers du Cinéma
par Jean-Philippe Tessé
Que le film s’en remette à des images d’archives que les badauds regardent à la télé, comme seules empreintes du réel, dit assez bien, comme un aveu, sa désolante impuissance à figurer un événement, autant que l’abyssal vide politique à l’œuvre ici.
Chronic'art.com
par Louis Blanchot
Broyée sous la nullité artisanale du film, l’intention originale était pourtant louable, Saada souhaitant prendre à revers le sensationnalisme et la causalité télévisuelles pour une approche délibérément béhavioriste de l’événement.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
20 Minutes
Sans un gramme de voyeurisme, par la seule force du cinéma, "Taj Mahal" livre un suspense intense ainsi qu’une magnifique ode à la vie qui fait un bien fou en ces temps moroses.
Charlie Hebdo
Grâce à une mise en scène précise et inspirée, "Taj Mahal" montre combien l'ampleur d'une action, la tension dramatique d'une séquence ne se mesurent pas forcément à la quantité d'explosions ou à l'immensité des espaces à parcourir.
Les Inrockuptibles
Longtemps critique, Nicolas Saada prouve avec ce deuxième film propulsé par une ample mise en scène qu’il devient un cinéaste capable d’emboîter le pas de ses maîtres tout en digérant leur influence dans ses obsessions personnelles.
L'Obs
Beau et fragile, "Taj Mahal" l’est d’autant plus qu’il se pare, au lendemain des événements récents, d’une profonde vertu cathartique.
Le Dauphiné Libéré
Sur un sujet qui éveille de sombres échos avec l’actualité et qu’il traite de façon crédible, un drame inspiré de faits réels.
Libération
Le film rend compte ainsi sans recourir au spectaculaire de cette condition d’assiégé incertain que le terrorisme impose partout où passe sa fureur nihiliste.
Première
La mise en scène allie subtilement rigueur stylistique et épure narrative, dans une forme d’élégante ligne claire toujours contrebalancée par un appétit fétichiste qui transforme son portrait de victime en rêverie fantasmatique.
Télérama
Nicolas Saada utilisait un genre — l'espionnage — pour évoquer avec force la trahison amoureuse. A nouveau, son presque huis clos, mis en scène au millimètre en amateur éclairé de Hitchcock, possède une double résonance : le film d'angoisse, façon Panic Room, est très réussi — c'est rare dans le cinéma français.
aVoir-aLire.com
Une oeuvre étrange et courageuse, qui souffre de postulats de départs louables mais qui finissent par l’étouffer et piéger le spectateur.
Franceinfo Culture
Des reconstitutions plus spectaculaires n'auraient sans doute pas altéré son propos, mais dans son minimalisme, "Taj Mahal" se tient, porté par son intense suspense.
Le Journal du Dimanche
Un long épilogue traité de manière trop superficielle, et qui aurait pu constituer la base d’un autre film. Dommage que Nicolas Saada n’ait pas su mettre plus tôt un point final à cette histoire.
VSD
Un huis-clos claustro réalisé avec maestria.
Critikat.com
La rétention des effets ouvrait la possibilité d’un vrai film sec et précis, tout en hors-champ et travail sur l’espace, en lieu et place de ce petit exercice hypertrophié.
La Croix
Malgré quelques moments intenses et la bonne volonté des acteurs (Stacy Martin, Louis-Do de Lencquesaing et Gina McKee), l’attente est longue pour tout le monde…
La Septième Obsession
TAJ MAHAL a le grand mérite d’esquisser une voie de traverse et de sortir des ornières habituelles du cinéma français.
Studio Ciné Live
La caméra de Saada scrute Stacy Martin avec un plaisir fétichiste. Hélas, faute de renouvellement dans les péripéties, la fascination s'évapore (...).
Cahiers du Cinéma
Que le film s’en remette à des images d’archives que les badauds regardent à la télé, comme seules empreintes du réel, dit assez bien, comme un aveu, sa désolante impuissance à figurer un événement, autant que l’abyssal vide politique à l’œuvre ici.
Chronic'art.com
Broyée sous la nullité artisanale du film, l’intention originale était pourtant louable, Saada souhaitant prendre à revers le sensationnalisme et la causalité télévisuelles pour une approche délibérément béhavioriste de l’événement.