Les plus utilesLes plus récentesMembres avec le plus de critiquesMembres avec le plus d'abonnés
Filtrer par :
Toutes les notes
Ykarpathakis157
4 546 abonnés
18 103 critiques
Suivre son activité
0,5
Publiée le 6 juillet 2020
Je souhaite pouvoir être d'accord avec les critiques les mieux notées mais je ne peux pas. Ce film me semblait totalement plat et monotone. L'histoire était superficielle, une autre adolescente mécontente qui veut désespérément sortir de sa ville natale et s'envoler pour la côte Est "où il y a de la culture". Lady Bird affronte sa maman, une adolescente qui se heurte à sa maman le papa perd son travail et semble très bien avec ça même s'ils manquent d'argent. Le casting de soutien semble avoir été choisi pour compléter un menu de personnages tellement clichés : Le meilleur ami en surpoids mais beau à l'intérieur, le nouvel ami magnifique et riche mais peu profond, le beau mais évidement... garçon gay. Tout ça manque d'originalité et ne conduit pas à une histoire solide. Donc, désolé, ce film n'a tout simplement pas résonné pour moi et c'est tout simplement mauvais...
« Lady Bird » est un film rafraîchissant sur la fin de l’adolescence. Il raconte la dernière année de lycée de Christine, une jeune fille originale et attachante. Saoirse Ronan joue ce rôle avec beaucoup de naturel ; son énergie et son humour sont communicatifs. Elle est parfaitement secondée par Laurie Metcalf, qui incarne avec brio sa mère. Les deux actrices forment un beau tandem et on leur doit les meilleures scènes du film. Malgré les difficultés de communication et les disputes, leurs personnages s’aiment profondément. À leurs côtés, on retrouve les prometteurs Lucas Hedges et Timothée Chalamet, qui interprètent les petits amis de Christine. Ils sont convaincants et le récit de leurs premiers émois est ponctué de situations cocasses. La réalisatrice Greta Gerwig signe ici une histoire à la fois drôle et touchante. Elle nous offre un beau moment de cinéma et on sort de la salle avec le sourire.
Bon film sur une adolescente entrant dans l'âge adulte pendant sa dernière année de lycée. Belle histoire de développement émotif, principalement sur la gratitude. Excellent casting!! Le film ne m'a cependant pas emballé plus que ça. C'est un bon film, mais pas un chef d'oeuvre :)
Lady Bird est un film spectaculaire sur l’adolescence. Le personnage principal, une fille qui insiste pour être appelée « Lady Bird », veut s'inscrire à un collège à New York—mais sa mère, infirmière cynique et coriace, ne la laissera pas partir. Nous regardons Lady Bird avoir des ennuis dans son lycée catholique, avoir la cœur brisé plusieurs fois et lutte pour atteindre ses rêves. Un point fort de ce film est les personnages. La réalisatrice, Greta Gerwig, a fait un travail fantastique en faisant des personnages relatables. Lady Bird est idéaliste, colérique et rebelle—Elle vous fait vous demander si vous n’avez jamais été aussi égoïste qu'elle. Ce qui me touche c’est quand Lady Bird se dispute avec sa mère. Leur dynamique est entachée de malentendus et de fierté ; ça me rappelle ma relation avec la mienne. « Why don't you like me ? » elle la demande. Mais il est évident tout au long de l'histoire que sa mère l’aimait beaucoup. Même les personnages mineurs ont de la profondeur. Le personnage que j’aimerais être est Julie, la meilleure amie de Lady Bird. Elle est tout ce que Lady Bird n'est pas: humble et vertueuse. D’autres bons personnages sont Danny, son petit ami du théâtre ; Shelly, la petite amie gothique du frère de Lady Bird ; et le Father Leviatch. Tous les acteurs ont brillamment joué dans ce film. Le personnage principal a été jouée par Saoirse Ronan, une actrice que j’adore depuis elle était petite. Non seulement l'actrice irlandaise a fait un parfait accent américain, mais en plus elle a dépeint si bien les sentiments d'un adolescent frustré et exigeant. Elle n'est pas un personnage très sympathique mais nous ne pouvons pas empêcher de sympathiser avec elle pour se comporter comme elle est. Je trouve le scénario hilarant et réaliste. Il n'y avait pas une seule ligne dans le dialogue qui semblait gênante ou contre nature. Le film a aussi plusieurs bonnes citations qui viennent dans les moments les plus inattendus. Par exemple, spoiler: lorsque Lady Bird tait bouleversée d'avoir donné sa virginité à quelqu'un qui n'était pas vierge. Son copain toxique rabaissa sa tristesse en la comparant à la guerre en Irak. À quoi elle crie en retour, « Different things can be sad. It’s not all war. » Oui, il y a toujours quelqu’un dans le monde qui a pire que vous, mais cela ne signifie pas que vos sentiments ne sont pas valables. En ce qui concerne la mise en scène, cette est très belle. Le film nous donne des images chaleureuses des rues de la Sacramento, California. Combinée avec la bande originale, le film est un hommage à votre ville natale, l'endroit où vous avez grandi, et la chaleur de la modeste maison des McPhersons vous donne le mal du pays.
C'est tout simplement une escroquerie, une honte que ce film fut nominé. Je le décrirais même comme une grosse daube, un gros navet et un film d'amateurisme avec un scénario absolument pourri et digne d'une personne sans imagination quelconque.
Ce film est pour moi un coup de cœur ! LADY BIRD nous montre qu’un film n’a pas forcément besoin d’un scénario rocambolesque ou d’un jeu d’image pour sortir du lot. Ici, on a simplement une tranche de vie d’une adolescente dans un milieu assez pauvre, mais raconté avec une telle justesse et un tel réalisme qu’on est émerveillé. La performance de Saoirse Ronan est remarquable. Cette performance qui lui vaudra une nomination aux Oscar n’est pas sa première de haut vol après BROOKLYN. Son jeu ajoute un grain de folie à un personnage atypique par sa manière d’être. De plus, ses relations à l’écran, que ce soit la complicité avec sa meilleure amie Beanie Feldstein (NOS PIRES VOISINS 2), ou ses prises de bec avec sa mère Laurie Metcalf, (THE BIG BANG THEORY), sont superbe. Tout le monde est passé par l’adolescence et a connu ces phases de trouble. Chacun de nous peut se reconnaitre dans une petite partie de ce film. Le fait d’avoir fait dérouler le film en 2002 n’est pas un hasard, on comprend l’angoisse de l’Amérique profonde par rapport à une nouvelle ère post-11 Septembre. Un autre thème est abordé plus subtilement, c’est son évolution par rapport à la religion. SPOIL Dans Lady Bird, un certain nombre de plan sont consacré aux religieux mais voit bien son désintérêt pour tout cela. Mais dans le final, quand elle est loin de chez elle et sans repère, elle ira naturellement se rattacher à une église. On voit cette jeune femme comprendre que tous ces valeurs enseignées étaient pour son bien. On finira alors par un coup de fils à sa mère marquant les premières minutes de sa nouvelle vie de femme.
Le quotidien d'une ado et de sa mère, aux USA, aujourd'hui. Bon, pas très original cette histoire. Les actrices se font plaisir, elles ont raison, il y a matière a laisser libre court à leur jeu, leur envie de mettre en scène. Tant mieux. Mais le propos n'est guère nouveau. Les relations mère-fille, les envies d'indépendance, le trouble adolescent, tout ça on l'a tellement vu, des tas et des tas de fois. Du coup, cette Lady bird tête à claques nous fait passer un bon moment, mais on l'oublie assez rapidement. En 1994 le cinéma indépendant américain nous donnait "Bienvenue dans l'âge ingrat" et c'était quand même plus culotté.
Chronique nostalgique d’une adolescente moyenne dans une Amérique moyenne où les relations familiales, où les choix universitaires sortent du carcan ordinaire des films hollywoodiens (familles riches, Yale ou Harvard…). On est dans le vrai avec une époustouflante S.Ronan. Un bout de vie authentique et émouvant.
Prenant pour cadre les États-Unis post-11 septembre, cette chronique adolescente parvient à déjouer habilement les attendus du genre. Et cela grâce à un scénario, des dialogues et des personnages particulièrement bien écrits, jamais faciles, toujours tendres et complexes. Avec en premier lieu « Lady Bird » Christine et sa mère Marion (Saoirse Ronan/Laurie Metcalf), au cœur d’une relation mâtinée d’amour et de défiance, le premier sentiment semblant irrésistiblement lié au second. Si Lady Bird démarre un peu lentement, ce petit film simple et sans prétention finit par nous emporter dans son élan de sensibilité.
Ca ne tient pas la route ! La maman est le seul personnage à avoir une attitude cohérente. Laurie Metcalf interprête d'ailleurs parfaitement son rôle. Commet imaginer qu'un père au chômage mette son domicile en gage pour financer les études d'une fille dont le seul rêve est de quitter la Californie pour la côte Est et non de poursuivre des études quelconques, qu'elle est bien incapable de suivre de toute façon.. Ce n'est pas la première fois que je relève ce genre d'incohérence dans des scénarios et je ne comprends pas que Saorise Ronan ait pu faire partie des nominés,aux Oscars l'année dernière son interprétation étant vraiment banale. Elle le sera encore cette année pour un film que je n'ai pas encore vu et qui a été rerereréalisé je ne sais combien de fois. Peut-être qu'hollywood est en mal de nominés ... .
Greta Gerwig, égérie du cinéma indépendant tendance mumblecore, le jure sur le premier Frappucino latte qu’elle a bu en arrivant à New York : ‘Lady Bird’, son premier film en tant que réalisatrice, n’est pas autobiographique. Peut-être, mais elle aurait largement pu l’être, l’histoire de cette jeune fille de Sacramento qui s’ennuie à périr et rêve des universités huppées et sophistiquées de la côte est : en attendant, il faut bien affronter l’année scolaire, la morne sévérité du lycée catholique, les amourettes décevantes et cette Amérique de 2002 qui commence à chuter, alors que le conflit s’enlise au Moyen Orient. Chronique d’un relation mère-fille conflictuelle ? De cette recherche de singularité d’autant plus forte qu’on vit dans une petite ville conformiste ? De la classe moyenne qui craint pour son avenir ou d’une jeunesse qui brûle d’enfin vivre des choses extraordinaires ? Un peu de tout ça à la fois : brassant de multiples sujets sans (trop) s’y égarer, Gerwig signe une chronique adolescente à la fois rêveuse et qui va très vite, un événement chassant l’autre dans cette course éperdue vers l’âge adulte. Parvenir à affirmer une singularité dans un créneau aussi rebattu que le “coming-of-age drama”, ce n’est franchement pas mal pour un premier film, et je n’ai jamais douté un seul instant que Greta Gerwig possédait l’intelligence et la finesse pour devenir une figure qui compte au sein du cinéma indé, quel que soit le côté de la caméra. De manière totalement subjective pourtant, malgré ses qualités et malgré le fait que je suis généralement assez sensible à ces chroniques d’ultimes mois d’innocence, j’ai eu du mal à me passionner pour ‘Lady bird’ alors que je suis un immense fan, par exemple, de ‘Dazed & confused’ : pas parce que Richard Linklater adopte un biais masculin, ni parce qu’il est incomparablement plus doué que Greta Gerwig...mais parce que ces deux films confirment ce que j’ai toujours ressenti confusément : je n’ai évidemment pas connu le milieu des années 70, et le début des années 2000 faisait déjà partie de la génération suivante...et pourtant, j’aurais adoré avoir 18 ans au cours des premières alors que les secondes avaient l’air de craindre autant que dans mes souvenirs !
tres bon film qui nous fait reflechir. en effet, a la base je n'etais pas du tout attire par ce film, il m'avait l'air vide de sens et surcote. pourtant je me suis lance dnas le film et je n'ai plus su m'arreter. Apres le visualization du film, je n'ai pas eu d'avis tranche dessus, ne sachant pas ce que qu'il m'avait procure comme emotions. cela fit maintenant une semaine que je l'ai regerde et ce film me reste dans la tete. je me suis rendue compte que je m'identifiais tres facilememt a "Lady Bird", dans tout les aspects.