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    Lady Bird
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    308 critiques spectateurs

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    joelle g
    joelle g

    88 abonnés 869 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 5 mars 2018
    Belle surprise...
    Sacramento..2008....l’Amérique profonde...à travers les états d’âme d’une jeune fille de 18 ans...en conflit avec sa mère, honteuse de ses origines ......qui va devenir adulte..
    Franchement un très bon moment de cinéma...tout un sincérité....
    ptitmayo
    ptitmayo

    37 abonnés 969 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 13 mars 2019
    "Lady Bird" est une dramédie sociale réussie, montrant le parcours tumultueux d'une ado afin de passer à l'âge adulte sans pour autant renier son passé. On a tous connu l'adolescence, ses aspirations, son rejet de l'environnement qui nous entoure et le retour sur terre, on retrouve tout cela dans ce film. En effet, Lady Bird (un surnom significatif, quoi de mieux que sa tête sur le corps d'un oiseau pour exprimer un désir d'émancipation?) agit autant par envie que par opposition à son statut social spoiler: (elle rêve d'une grande maison bien différente de la sienne plus modeste; trafique ses notes, copie sur les autres et prospecte auprès des universités afin de quitter Sacramento qu'elle ne supporte plus; s'éloigne du cadre religieux étouffant (messe le dimanche, théâtre chrétien, copine à fond là-dedans, copain homo qui se cache) au profit d'un concert de Rock, d'une nouvelle amie plus délurée, d'une première relation sexuelle, de répliques acerbes sur la religion (la critique des anti-avortement et la réflexion hilarante sur les règles) et d'actes rebelles (mettre "J'ai épousé Dieu" sur la voiture de la Soeur); elle ne veut pas subir la pauvreté de ses parents (père au chômage, mère qui travaille trop))
    et tout le talent du scénario est de montrer comment cela se traduit en termes d'égoïsme spoiler: (elle rejette sa mère, son amie, sa seconde amie (car elle a honte de sa maison) et la religion)
    et de relation mère-fille. Ce dernier point est d'ailleurs le plus abouti, entre complexité spoiler: (difficulté des 2 à se parler; la maturité de la mère s'oppose à l'enthousiasme innocent de la fille)
    , contradictions spoiler: (les 2 ont le même caractère; elles partagent une honte sociale similaire (Christine pour sa maison, Marion pour la crainte des fautes d'orthographe sur la lettre); elles s'aiment (Marion revient à l'aéroport à la fin et dit du bien de sa fille (la lettre), Christine a besoin de sa mère pour gagner en assurance et en approbation (l'essayage de vêtement))
    et apaisement spoiler: (la fille ment encore sur sa ville d'origine mais renoue avec sa mère (le plan partagé sur les routes de Sacramento))
    . Les excellentes performances de Saoirse Ronan et surtout Laurie Metcalf sont pour beaucoup dans le bon traitement de cette thématique. Enfin, j'ai apprécié la finalité nuancée et tellement crédible spoiler: (Christine assume son nouvel environnement sans pour autant délaisser le précédent, un fait symbolisé par la chambre repeinte, marquant un nouveau départ sans détruit l'ancienne vie; elle accepte son prénom, se rabiboche avec ses ex copains et copines et même la Soeur)
    , même si l'excès de religion ne s'imposait franchement pas. Au final, "Lady Bird" est un film très juste, drôle et touchant sur ce qu'est être un ado.
    poet75
    poet75

    270 abonnés 703 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 1 mars 2018
    Un film n’est-il intéressant ou n’est-il bon qu’à condition de raconter des événements qui sortent de l’ordinaire ? Je ne le crois pas et, de ce fait, je m’oppose totalement au jugement sans mesure porté sur ce film par un critique d’une célèbre revue de cinéma qui estime que nous n’avons affaire qu’à quelque chose de « finalement anecdotique ».
    Il est vrai que ce que raconte Greta Gerwig (une réalisatrice surtout connue jusqu’ici en tant qu’actrice, en particulier dans les films de Noah Baumbach) peut sembler extrêmement banal. Mais ce prosaïsme n’est qu’apparence : la qualité de la mise en scène et la justesse des personnages révèlent des trésors d’humanité qu’il serait bien peu astucieux de trouver quelconques.
    C’est une chronique adolescente qui nous est contée, celle de Christine (Saoirse Ronan), une jeune fille de 17 ans qui ne supporte ni son prénom (elle veut être appelée Lady Bird) ni la ville de Sacramento où elle habite ni les contraintes de toutes sortes et, en particulier, celles que veut lui imposer sa mère (Laurie Metcalf). Tout ce que connaît Lady Bird, son entourage, le lycée catholique où elle étudie, sa famille, tout lui semble médiocre et elle ne rêve que de pouvoir partir. Son projet, c’est d’être acceptée dans une université de la côte est, loin de Sacramento, afin de gagner son indépendance.
    Nous sommes dans l’Amérique de 2002 et l’on peut supposer que Greta Gerwig a mis beaucoup d’elle-même dans le personnage de Lady Bird ; il y a sans doute une part plus ou moins grande d’autobiographie dans le film. Mais peu importe, ce qui compte, c’est que la cinéaste a su dépeindre avec énormément de subtilité les différents protagonistes du film. Aucun n’est caricatural, aucun n’est monolithique. Une religieuse découvrant l’auteure d’une farce dont elle a été la victime, loin de s’offusquer, réagit avec humour. Les deux amies que fréquentent Lady Bird, ainsi que ses deux petits amis successifs (le premier ayant bien du mal à s’avouer son homosexualité) et tous les autres personnages ne se laissent jamais enfermer dans des définitions simplistes. Cela est vrai surtout des parents de Lady Bird : son père cachant comme il peut sa désolation de ne pouvoir soutenir autant qu’il le voudrait sa fille, du fait de son chômage et de sa précarité, mais faisant preuve de trésors de tendresse envers elle ; et sa mère avec qui elle est en conflit presque permanent.
    C’est dans ces relations mère/fille que le film atteint des sommets de finesse, échappant à tout reproche de banalité. Il n’y a rien de moins anecdotique que des rapports conflictuels ainsi que la recherche du pardon. Car c’est de cela dont il s’agit, en fin de compte. La mère et la fille sont capables de partager des émotions, on le sait dès la première scène du film où toutes deux se mettent à pleurer après avoir écouté le texte enregistré des « Raisins de la Colère » de Steinbeck. Malheureusement, hormis quelques moments d’apaisement et même de confidences (en particulier à propos du père), le fossé sembler se creuser de plus en plus entre mère et fille au cours du film. Incompréhensions et mensonges altèrent les relations. Pourtant, rien n’est joué une fois pour toutes, rien n’est définitif. On le sait, on le perçoit, derrière les apparences, derrières les airs butés et même, parfois, les colères, l’amour est vivace. Mais il lui faut trouver les moyens de s’exprimer : et c’est là toute la difficulté.
    spoiler: Avec intelligence et finesse, Greta Gerwig fait advenir une issue possible au conflit mère/fille et elle y parvient en recourant, entre autres moyens, à Shakespeare et, en l’occurrence, à « La Tempête ». Le premier des deux garçons dont a été amoureuse Lady Bird y joue le rôle de Prospéro et une courte scène du film nous le montre déclamant la tirade finale de la pièce se résolvant en une offre de pardon. Et aussitôt après, c’est Lady Bird elle-même qui demande à sa mère de lui pardonner. Parmi toutes les qualités de ce film qui n’en manque pas, c’est sans nul doute l’une des plus grandes et des plus bouleversantes que d’esquisser ce chemin-là, celui du pardon.
    cosette2010
    cosette2010

    51 abonnés 112 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 15 mars 2018
    Excellente performance de Saoirse (quel prénom!) qui m'a d'autant plus touchée qu'elle ressemble de façon frappante à ma fille de 19 ans: teint blafard, essais capillaires désastreux, arrogance naïve. Situé en 2003, le film semble cependant d'un autre temps, dans ce lycée catholique ringard aux idées généreuses mais étroites : fabuleuse la séance sur l'avortement ! Les relations mère fille sombrent dans un pathos de guimauve et le tout reste superficiel et d'une naïveté qui confine à la mièvrerie.
    Cinéphiles 44
    Cinéphiles 44

    1 359 abonnés 4 180 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 27 février 2018
    Greta Gerwig est connue pour être une actrice exubérante et maladroite. La voici derrière la caméra et son long-métrage Lady Bird est déjà nommé dans plusieurs catégories aux Oscars. C’est au travers du personnage interprété par Saoirse Ronan que Greta Gerwig signe un autoportrait sur son adolescence. Une lycéenne qui se fait appeler Lady Bird, se bat désespérément pour ne pas ressembler à sa mère, aimante mais butée et au fort caractère, qui travaille sans relâche en tant qu’infirmière pour garder sa famille à flot. Lady Bird est un teen-movie qui dresse avec subtilité toutes les facettes de cette période complexe et pleine de contradictions. Entre humour et mélancolie le personnage nous fait visiter ce monde aux portes de l’âge adulte. Le personnage rêvasse sur des idéaux mais ne se livre jamais complètement et laisse planer un doute sur ses intentions réelles. A l’inverse, le personnage de la mère est dessiné avec une sensibilité tendre et émouvante. Lady Bird est un film touchant, mais qui tire trop sur la corde émotion superficielle.
    D'autres critiques sur notre page Facebook : Cinéphiles 44 et notre site cinephiles44.com
    Cine vu
    Cine vu

    141 abonnés 580 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 1 mars 2018
    Magic Lady Bird.

    Il y a des histoires comme ça que l’on est ravi de ne pas avoir loupé.

    Une rencontre particulière avec Christine “Lady Bird�, sa jeunesse insolente et sa fantaisie. Elle nous surprend par sa finesse d’esprit, sa tolérance et son attachement profond pour sa famille dont elle voudrait pourtant s’échapper. Avec ses rêves de grandeur, elle nous enchante.

    Lady Bird déteste sa ville Sacramento, elle rêve de NYC et a des envies de petites filles pas riches qui lorgnent de l’autre côté de la voie. Où les maisons sont somptueuses, les piscines sont grandes et les fins de mois ne se terminent jamais. Avec sa bonne copine, elles s’inventent des histoires de bourgeoises.

    Le cadre est un collège privé où les enseignants font preuve d’une belle ouverture d’esprit et d’une certaine fantaisie. Les élèves sont quasi toutes issues de familles riches. Mais la mère de Christine considère le lycée public comme dangereux alors malgré leurs petits moyens elle tente de sauver sa fille.

    La mère de Christine est psychorigide et maladroite. Mais on retrouve, furtivement chez elle, les rêves de sa fille notamment lors de leurs visites de “maisons à vendre�.
    Le père est perdu dans sa bulle de chômage avec tendresse et bonhomie. Il a lâché l’autorité à sa femme depuis bien longtemps.
    Le frère diplômé travaille au supermarché avec sa moitié et il semble avoir perdu ses illusions.

    Une série de portraits jubilatoire, dans une petite ville de la province Californienne, chaque caractère est dessiné avec justesse et lucidité. Saoirse Ronan est magique. Sa mère, Laurie Metcalf est renversante, la bonne copine Beanie Feldstein est attachante et Timothée Chalamet a l’arrogance de sa jeunesse.

    Un scénario costaud, une belle lumière et une bonne BO.

    Greta Gerwig était déjà une comédienne décalée, elle nous revient en réalisatrice subtile et malicieuse.
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 29 juillet 2018
    Un film hybride et plutôt agréable, sorte de teen movie indé, mélange de John Hughes et de Woody Allen, avec une absence de structure classique qui le rapproche d’un épisode de série (on pense parfois à Girls) ou de la BD (on pense souvent à Daniel Clowes et son Ghost World). L’histoire se passe à Sacramento mais est sous forte influence new-yorkaise, pas seulement parce que son héroïne veut y vivre, mais parce qu’on y retrouve un humour second degré, une importance de la culture et plus généralement tous les codes du cinéma de la côte est, tels qu’ils ont été posés par Woody Allen (on peut d’ailleurs voir un hommage à Manhattan avec ce plan nocturne sur un pont illuminé). D’ailleurs, comme Woody Allen, Gerwig a du mal avec la représentation des classes populaires, son trait est forcé et peu crédible, ce qui a tendance à affaiblir son film. Heureusement, son scénario (malgré quelques problèmes de rythme) parvient à créer de l’authenticité sur d’autres plans, et en particulier celui des relations mère-fille (géniale Laurie Metcalf). Bref, un moment sympa.
    Jean-Claude L
    Jean-Claude L

    46 abonnés 289 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 2 mars 2018
    Un très beau film montrant une famille américaine vivant à Sacremento au travers d'une jeune fille qui souhaite partir et allez étudier à New York en fac mais sa maman qui doit gérer les finances n'est pas tout à fait d'accord car le papa est au chômage et ce film nous montre bien la vie des étudiants et leurs loisirs leurs amours les questionnements c'est excellent à voir absolument
    Laurent C.
    Laurent C.

    255 abonnés 1 133 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 5 mars 2018
    Mystère de l'exaltation de la critique française ! On va vers ce film, certain de rencontrer un chef d'œuvre absolu de douceur, d'ironie et de poésie sociale. "Lady Bird" n'est finalement qu'une vulgaire série américaine, dont les rires normalement enregistrés émanent de la salle. Lady Bird, c'est le surnom que cette jeune fille se donne, à l'aune de rentrer à l'Université. Son grand rêve est un combat pour la lutte des classes. D'un côté, il y a les grandes villas somptueuses, de l'autre, les maisons des classes moyennes, où les gens supportent un quotidien dépressif, et essayent de trouver le bonheur à Sacramento. Le problème, c'est que personne n'est joyeux dans ce film. La réalisatrice, qui s'essaye au cinéma, met en scène des personnages poussifs, la désespérance du propos étant annoncée dès la citation de départ du long-métrage. Le film raconte une adolescence américaine dans des scènes courtes, souvent inutiles, et surtout particulièrement éphémères et bavardes. L'idée était bonne pourtant, celle de décrire une société américaine blasée, fatiguée, et qui se réinvente une vie. Mais la réalisatrice ne va pas au bout de son projet. La photographie est très propre, alors même que le film fait le pari de la provocation et de l'émotion. On passe à côté de cette histoire, déjà vue mille fois au cinéma, qui n'est ni un pamphlet contre une certaine société américaine, ni un récit d'initiation, mais seulement un essai de télévision qui ne mérite pas plus qu'un petit écran.
    Blog Be French
    Blog Be French

    39 abonnés 263 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 28 février 2018
    Des tournages effectués avec Noah Baumbach, Greta Gerwig en a gardé la simplicité et la beauté de ses plans tout en retenue. Saoirse Ronan se montre à l'aise sous les traits de Lady Bird, même si on s'attendait à un personnage plus rebelle dans sa manière d'agir. La poésie du film réside dans sa sincérité : comment mépriser la ville de notre enfance, puis idéaliser la capitale, pour finalement regretter avec nostalgie des coins que l'on connaît comme sa poche. Dommage que l'ambiance musicale du film soit totalement aseptisée, et que Greta Gerwig use d'anecdotes adolescentes déjà beaucoup abordées dans le cinéma indépendant américain.
    Astronot
    Astronot

    7 abonnés 12 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 27 janvier 2018
    Bien joué dans l'ensemble, sans plus, scénario d'une rare banalité. Je ne comprends pas l'engouement autour de cette oeuvre qui sans être un navet est très clairement sans intérêt! Un très bon 2,5/5 pour ma part... et encore je suis sympa!
    Housecoat
    Housecoat

    121 abonnés 392 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 1 mars 2018
    Les avis élogieux de Lady Bird n'étaient pas pour me rassurer au vu de sa bande-annonce qui laissait transparaître un personnage irritablement antipathique et que je craignais retrouver dans ce premier film de l'actrice-réalisatrice Greta Gerwig des traces du cinéma arrogant et ennuyeux de Noah Baumbach dont elle est la muse. Fort heureusement il n'en est rien, Lady Bird est peut-être même le film le plus sincère qui jalonne ce début d'année. Je fus agréablement surpris de la direction que Gerwig a prit, Lady Bird avançant avec harmonie et sentiment entre la comédie dramatique humaine avec sa personnage principale, et le film de société à travers ses relations avec les autres personnages. Le mensonge intime jonche la personnalité de chacun d'entre-eux, la relation conflictuelle entre Saoirse Ronan et sa mère bien partit pour n'être qu'un caprice en continu gagne en clarté et inspire même de la pitié et de l'attachement à chaque interaction et révélation sur leur nature tandis que le cercle de ses autres relations se font une place ou tentent de s'en faire une dans le monde à l'emploi de courants populaires mais artificiels (certains se lookant et vivant selon un courant culturel ou un effet de mode prônant l'originalité mais leur enlevant tout naturel pouvant permettre une identification). La quête de son héroïne pour cet idéal à travers ses objectifs (la Fac, l'acceptation des autres) se confronte constamment à sa mère dont la relation haine-amour est au cœur du récit en mêlant avec bon sens les enjeux de classes dont elles sont victimes et mouvant des actrices au sommet de leur art. La masse de ces jeunes individus font élever le film en une ode à la recherche de soi-même mais surtout de l'honnêteté envers son soi-profond plutôt qu'une recherche vaine de l'individualité ou de l'attention d'autrui, ces derniers ne pouvant jamais êtres authentiques sans vérité. Éloges mérités.
    WutheringHeights
    WutheringHeights

    108 abonnés 930 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 1 mars 2018
    Entre chronique sociale et récit d’apprentissage, ce premier essai peut compter sur une bonne interprétation à défaut d’un scénario consistant.
    Nathalie R
    Nathalie R

    24 abonnés 144 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 17 février 2018
    Greta Gerwik propose une vision de l'adolescence et de la relation mère-fille juste et pleine de sensibilité, époque post attentat du 11 septembre qui marque un tournant dans la société américaine. Jamais le film n'ennuie ou n'en fait trop. Le casting est impeccable et bien sûr Saoirse Ronan se fait agréablement remarquer par son jeu franc et naturel.
    desiles ben
    desiles ben

    30 abonnés 204 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 1 mars 2018
    J'aurais mieux fait de regarder la bande annonce. Les états d'âme de cette greluche qui s'amourache d'un membre de sa chorale de lycée, se rêve en étudiante de la côte Est et passe son temps à se disputer avec sa mère n'ont suscité en moi que l'ennui et l'exaspération.
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