Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
16 critiques presse
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
Un film aussi important que stupéfiant de beauté.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Cahiers du Cinéma
par Thierry Méranger
Car le film empruntera d’un bout à l’autre à la romance queer, à la chronique ouvrière, au pamphlet sociopolitique, à la quête psychanalytique, à la fable historique ou à l’essai onirique, au fil de séquences qui s’affranchissent le plus souvent de toute obligation de continuité chronologique et stylistique.
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Nathalie Chifflet
Entre onirisme et réalisme, servi par un travail de caméra saisissant, le second long métrage de Minh Quy Truong émerge comme une lente et profonde excavation des blessures d’une terre meurtrie par la guerre.
L'Humanité
par Sophie Joubert
Tru’o’ng Minh Quý mêle documentaire et onirisme, les traumatismes de la guerre et la question de l’exil, sur fond d’histoire d’amour gay. Une œuvre hypnotique.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
L'Obs
par Xavier Leherpeur
La beauté hypnotique et suave des mouvements de caméra atteste les qualités d’un auteur dont on a hâte de mieux connaître le travail.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Dauphiné Libéré
par Nathalie Chifflet
Le casting, composé de non-professionnels, bouleverse par sa présence brute, immédiate, sans artifice.
Le Monde
par Cl. F.
Plastique, le film l’est avec ses plans travaillés dans une patine 16 millimètres. Il pourrait s’enliser dans ses belles images, mais Truong Minh Quy fait décoller le récit en brouillant les repères temporels et spatiaux.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Fiches du Cinéma
par Adèle Bossard-Giannesini
Le film de Truong Minh Quy livre un portrait fantomatique du Vietnam à travers l’histoire de deux amoureux cherchant à fuir leur pays. La beauté plastique des plans s’associe à l’intelligence du récit, pour accoucher finalement d’une virtuosité désincarnée.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Libération
par Clément Colliaux
Périple sensoriel en pleine nature vietnamienne, le film oscille entre la quête de la dépouille d’un père tué vingt-six ans plus tôt pendant le conflit et la passion condamnée au secret de deux amants travaillant dans une mine.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Télérama
par Guillemette Odicino
Truong Minh Quy signe un long métrage radical et sensuel, à la poésie organique.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
La Septième Obsession
par Xavier Leherpeur
Une force formelle avec laquelle Tru’o’ng Minh Quý nous égare sans nous perdre dans un dédale mémoriel et bruissant, secondé par l’envoûtante partition sonore de Vincent Villa. Une révélation.
Les Inrockuptibles
par Marilou Duponchel
La mine de charbon est aussi pour le jeune cinéaste [...] le repère symbolique parfait pour mieux regarder, parcourir et reconstituer les traces, les traumatismes de la guerre, du passé du Viêt Nam.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
La Croix
par La Rédaction
Viêt and Nam, avec sa façon de défier la chronologie et de flotter entre rêve et réalité, nous fait incontestablement penser à L’Arbre aux papillons d’or, autre premier film d’un jeune réalisateur vietnamien, mais n’atteint jamais sa puissance.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Ouest France
par Thierry Cheze
La rigueur que le cinéaste met dans la précision de ses cadres ne se retrouve pas dans la conduite de son récit. Trop long, trop inutilement confus, tout cela donne un côté poseur à l’ensemble, source d’un inévitable ennui.
La critique complète est disponible sur le site Ouest France
Positif
par Hubert Niogret
Les plans sont très longs, souvent fixes, mais sans qu’émerge ici un sens qui serait un des éléments de construction du film. Les choix stylistiques semblent plutôt théoriques, sans provenir d’une conception globale.
Première
par Thomas Baurez
Si la mise en scène caressante créait des ruptures (joli travail sur le son), le film s’enferme dans sa propre torpeur.
La critique complète est disponible sur le site Première
aVoir-aLire.com
Un film aussi important que stupéfiant de beauté.
Cahiers du Cinéma
Car le film empruntera d’un bout à l’autre à la romance queer, à la chronique ouvrière, au pamphlet sociopolitique, à la quête psychanalytique, à la fable historique ou à l’essai onirique, au fil de séquences qui s’affranchissent le plus souvent de toute obligation de continuité chronologique et stylistique.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Entre onirisme et réalisme, servi par un travail de caméra saisissant, le second long métrage de Minh Quy Truong émerge comme une lente et profonde excavation des blessures d’une terre meurtrie par la guerre.
L'Humanité
Tru’o’ng Minh Quý mêle documentaire et onirisme, les traumatismes de la guerre et la question de l’exil, sur fond d’histoire d’amour gay. Une œuvre hypnotique.
L'Obs
La beauté hypnotique et suave des mouvements de caméra atteste les qualités d’un auteur dont on a hâte de mieux connaître le travail.
Le Dauphiné Libéré
Le casting, composé de non-professionnels, bouleverse par sa présence brute, immédiate, sans artifice.
Le Monde
Plastique, le film l’est avec ses plans travaillés dans une patine 16 millimètres. Il pourrait s’enliser dans ses belles images, mais Truong Minh Quy fait décoller le récit en brouillant les repères temporels et spatiaux.
Les Fiches du Cinéma
Le film de Truong Minh Quy livre un portrait fantomatique du Vietnam à travers l’histoire de deux amoureux cherchant à fuir leur pays. La beauté plastique des plans s’associe à l’intelligence du récit, pour accoucher finalement d’une virtuosité désincarnée.
Libération
Périple sensoriel en pleine nature vietnamienne, le film oscille entre la quête de la dépouille d’un père tué vingt-six ans plus tôt pendant le conflit et la passion condamnée au secret de deux amants travaillant dans une mine.
Télérama
Truong Minh Quy signe un long métrage radical et sensuel, à la poésie organique.
La Septième Obsession
Une force formelle avec laquelle Tru’o’ng Minh Quý nous égare sans nous perdre dans un dédale mémoriel et bruissant, secondé par l’envoûtante partition sonore de Vincent Villa. Une révélation.
Les Inrockuptibles
La mine de charbon est aussi pour le jeune cinéaste [...] le repère symbolique parfait pour mieux regarder, parcourir et reconstituer les traces, les traumatismes de la guerre, du passé du Viêt Nam.
La Croix
Viêt and Nam, avec sa façon de défier la chronologie et de flotter entre rêve et réalité, nous fait incontestablement penser à L’Arbre aux papillons d’or, autre premier film d’un jeune réalisateur vietnamien, mais n’atteint jamais sa puissance.
Ouest France
La rigueur que le cinéaste met dans la précision de ses cadres ne se retrouve pas dans la conduite de son récit. Trop long, trop inutilement confus, tout cela donne un côté poseur à l’ensemble, source d’un inévitable ennui.
Positif
Les plans sont très longs, souvent fixes, mais sans qu’émerge ici un sens qui serait un des éléments de construction du film. Les choix stylistiques semblent plutôt théoriques, sans provenir d’une conception globale.
Première
Si la mise en scène caressante créait des ruptures (joli travail sur le son), le film s’enferme dans sa propre torpeur.