Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
20 critiques presse
Chronic'art.com
par Elysabeth François
Un événement cinématographique à ne pas louper pour tous ceux qui considèrent encore le 7e art comme un lieu de recherche esthétique et politique.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Cine Libre
par La rédaction
(...) Paria ne tombe jamais du mauvais côté, celui du racolage glauque publicitaire. Car la tendresse et le cinéma sont là, imperturbables. Et magnifiques.
Ciné Live
par Laurent Dijan
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Express
par Arnaud Malherbe
Voir la critique sur www.lexpress.fr
La critique complète est disponible sur le site L'Express
L'Obs
par François Forestier
Dans Paria, les SDF ne sont pas "un sujet à traiter" mais autant de sujets à scruter avec énergie. Et la caméra du cinéaste n'en manque pas.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Monde
par Thomas Sotinel
Pas de frénésie de mouvement, pas d'effets de couleur. Juste une nuit interminable qui génère à l'écran une espèce de brouillard digital au travers duquel on devine, puis on découvre, un monde réel qui s'incruste dans notre imagination au fil de l'histoire.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Inrockuptibles
par Bertrand Loutte
C'est de cette interprétation des formes, de ce combat ou chacun des genres se trouve -l'un en regard de l'autre- revigoré que Paria tire sa singulière beauté et que ses personnages accèdent au salut.
Libération
par Didier Péron
Là où Nicolas Klotz est fort, c'est qu'il parvient à basculer d'une approche exogène à une dimension intérieure, empathique. Sans doute parce que lui-même et son équipe ont dû apprendre patiemment à percer la cloison entre "eux" et "nous", les nantis, et ceux qui ne possèdent plus rien, atteindre avec une acuité morale un peu inouïe ce point d'indistinction où il n'est plus de différence qui tienne.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Novaplanet.com
par Alex Masson
Paria ouvre l'oeil de la DV sur un monde pas si inédit que ça au cinéma (...) celui d'une réalité parallèle, clandestine (...) Les spectateurs de Paris en sortiront peut-être un peu plus mal. Ou plus ouverts au monde.
La critique complète est disponible sur le site Novaplanet.com
Studio Magazine
par Thierry Cheze
Voir la critique sur www.studiomag.com
Télérama
par Louis Guichard
Sur les pas de SDF, Nicolas Klotz réussit une fiction qui possède la force brute d'un documentaire.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Urbuz
par Jean-Philippe Tessé
Paria ne s'attarde pas vraiment sur ce symbole, tout en le pointant discrètement, mais s'emploie à dresser une sorte d'état des lieux du corps, plus ou moins meurtri selon qu'il se trouve d'un côté ou de l'autre de la frontière (inclus / exclu).
La critique complète est disponible sur le site Urbuz
Le Parisien
par Pierre Vavasseur
Oeuvre dure, sans fioritures, elle pousse le spectateur à regarder en face un monde qu'il est au quotidien tenté d'ignorer. Un seul regret : sa longueur.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Le Point
par François-Guillaume Lorrain
Voir la critique sur www.lepoint.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Positif
par Françoise Audé
Nicolas Klotz en reste à l'individuel, à l'amour rédempteur, mais sa rencontre avec les gueux a eu lieu.
La critique complète est disponible sur le site Positif
Première
par Virginie Apiou
Tantôt drôle, tantôt provocant, même quand (Gérard Thomassin) semble en danger, il sait aussi être poignant (...)
La critique complète est disponible sur le site Première
Zurban
par Eric Quéméré
Les bonnes intentions ne font pas les meilleurs films : la démarche documentaire se mêle maladroitement ici avec les artifices de la fiction. Reste, dans les rôles principaux, deux jeunes acteurs très convaincants.
Aden
par Philippe Piazzo
Pour le spectateur, ces deux heures de parcours fléché -amour, solitude, mort et société en danger- en compagnie de "parias" n'ont malheureusement pas beaucoup de poids.
La critique complète est disponible sur le site Aden
L'Humanité
par Mickaël Mélinard
Paria agit comme un révélateur, troublant, essentiel, bouleversant et évident, de l'état de notre société sans jamais oublier de rester du cinéma.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Le Figaro
par La rédaction
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Chronic'art.com
Un événement cinématographique à ne pas louper pour tous ceux qui considèrent encore le 7e art comme un lieu de recherche esthétique et politique.
Cine Libre
(...) Paria ne tombe jamais du mauvais côté, celui du racolage glauque publicitaire. Car la tendresse et le cinéma sont là, imperturbables. Et magnifiques.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
L'Obs
Dans Paria, les SDF ne sont pas "un sujet à traiter" mais autant de sujets à scruter avec énergie. Et la caméra du cinéaste n'en manque pas.
Le Monde
Pas de frénésie de mouvement, pas d'effets de couleur. Juste une nuit interminable qui génère à l'écran une espèce de brouillard digital au travers duquel on devine, puis on découvre, un monde réel qui s'incruste dans notre imagination au fil de l'histoire.
Les Inrockuptibles
C'est de cette interprétation des formes, de ce combat ou chacun des genres se trouve -l'un en regard de l'autre- revigoré que Paria tire sa singulière beauté et que ses personnages accèdent au salut.
Libération
Là où Nicolas Klotz est fort, c'est qu'il parvient à basculer d'une approche exogène à une dimension intérieure, empathique. Sans doute parce que lui-même et son équipe ont dû apprendre patiemment à percer la cloison entre "eux" et "nous", les nantis, et ceux qui ne possèdent plus rien, atteindre avec une acuité morale un peu inouïe ce point d'indistinction où il n'est plus de différence qui tienne.
Novaplanet.com
Paria ouvre l'oeil de la DV sur un monde pas si inédit que ça au cinéma (...) celui d'une réalité parallèle, clandestine (...) Les spectateurs de Paris en sortiront peut-être un peu plus mal. Ou plus ouverts au monde.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Télérama
Sur les pas de SDF, Nicolas Klotz réussit une fiction qui possède la force brute d'un documentaire.
Urbuz
Paria ne s'attarde pas vraiment sur ce symbole, tout en le pointant discrètement, mais s'emploie à dresser une sorte d'état des lieux du corps, plus ou moins meurtri selon qu'il se trouve d'un côté ou de l'autre de la frontière (inclus / exclu).
Le Parisien
Oeuvre dure, sans fioritures, elle pousse le spectateur à regarder en face un monde qu'il est au quotidien tenté d'ignorer. Un seul regret : sa longueur.
Le Point
Voir la critique sur www.lepoint.fr
Positif
Nicolas Klotz en reste à l'individuel, à l'amour rédempteur, mais sa rencontre avec les gueux a eu lieu.
Première
Tantôt drôle, tantôt provocant, même quand (Gérard Thomassin) semble en danger, il sait aussi être poignant (...)
Zurban
Les bonnes intentions ne font pas les meilleurs films : la démarche documentaire se mêle maladroitement ici avec les artifices de la fiction. Reste, dans les rôles principaux, deux jeunes acteurs très convaincants.
Aden
Pour le spectateur, ces deux heures de parcours fléché -amour, solitude, mort et société en danger- en compagnie de "parias" n'ont malheureusement pas beaucoup de poids.
L'Humanité
Paria agit comme un révélateur, troublant, essentiel, bouleversant et évident, de l'état de notre société sans jamais oublier de rester du cinéma.
Le Figaro
Voir la critique sur www.lefigaro.fr