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    Candy
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    16 critiques spectateurs

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    AMCHI
    AMCHI

    5 915 abonnés 5 936 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 27 juillet 2013
    Un délire cinématographique très jouissif, un vrai moment de détente comme seul le 7ème Art peut nous l'offrir avec en plus un festival de grandes stars (dont des apparitions très comiques de Richard Burton et Marlon Brando) qui s'en donnent à coeur joie pour notre plus grand plaisir. J'ai adoré regarder Candy, un film qui vous met réellement de bonne humeur. Les situations se succèdent avec autant de loufoquerie et de moquerie sur notre société tout au long du film. Vraiment ça vaut le coup d'oeil.
    landofshit0
    landofshit0

    278 abonnés 1 745 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 28 février 2018
    Candy est une belle étudiante rêveuse, lors de la venue d'un poète dans son lycée celui-ci va n'avoir d'yeux que pour elle. C'est le début des aventures de Candy qui va de rencontre en rencontre faire tourner les têtes des hommes qui croisent sa route,il faut dire que la belle est très courtement vêtue et la jeune ingénue se laisse faire. Lors de son parcours la jeune Candy va allez d'un personnage fantasque à l'autre et d'un acteur connu à l'autre,on retrouve ici Richard Burton,Charles Aznavour,Marlon Brandon,John Huston, James Coburn, Walter Matthau, Ringo Starr qui n'est vraiment pas un bon acteur et l'actrice Marilù Tolo ce qui a ravi le fan que je suis du film casse tête chinois pour le judokas. L'actrice Ewa Aulin qui tient le rôle de candy m'a vraiment fait penser à Charlotte Lebon. Le film offre de bons passages psychédéliques tel celui avec le docteur incarné par James Coburn, la musique avec les plans sur les yeux donne un bon reflet de l'époque. Visuellement c'est loin d’être mauvais il y a même quelques plans vraiment beaux,le film mériterait d'avoir une restauration histoire de mettre un peu plus en valeur son image. C'est globalement amusant,mais un peu long tout de même surtout sur la fin.
    Backpacker
    Backpacker

    82 abonnés 780 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 4 septembre 2007
    Voici un film à voir avant tout pour son incroyable palette de comédiens et son originalité. Rien de plus, hélas, car il s'agit d'une série Z dont on se lasse extrêmement vite et dont on subit beaucoup de longueurs...
    ClashDoherty
    ClashDoherty

    234 abonnés 838 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 2 juin 2007
    Complètement dingue (Brando en gourou, Burton en poète coiffé à la Beethoven, Aznavour en cambrioleur monte-en-l'air, Ringo Starr en jardinier puceau...), le film est instantanément culte, mais n'est cependant pas un monument. Amusant, sans plus, les 3 étoiles ne sont là que pour rehausser la note moyenne du film sur le site. Mais il ne vaut que 2 de ces 3 étoiles, en fait.
    foch1800
    foch1800

    48 abonnés 132 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 29 mai 2010
    LE film de cette année 1968, et pourtant très riche, c'est le film le plus libertaire, c'est un condensé de n'importe quoi, de drogue, de sexe, et c'est drôle, les décors sont magnifiques... avec un Richard Burton toujours très bon et la révélation de Ewa Aulin, miss teen Suède et du Monde en 1966, l'une des plus belles actrices de ces années 60's, ingénue et superbe
    BlindTheseus
    BlindTheseus

    305 abonnés 2 566 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 4 mars 2008
    Une belle adaptation du célèbre livre des 70's ; - et donc - de l'histoire aux nombreuses significations " psy " de cette fille rêvant & fantasmant un peu + que de raison, et finissant par se retrouver dans le lit de son supposé géniteur...
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 24 août 2007
    Candy, c'est un peu comme Barbarella de Roger Vadim. L'oeuvre y est kitsch et fait penser automatiquement à cette période de la fin des années soixante, dont ici la révolution sexuelle. Elle sera ici représentée comme Barbarella à travers un personnage érotique, nommé ici Candy. Mais à la différence de l'oeuvre de Roger Vadim, Candy n'est qu'un bref délire cinématographique, qui accumule les scènes burlesques sans panache, non pas sans audace. Mais l'ennuie prend vite le devant. Fastidieux.
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 20 décembre 2010
    En Californie, les blondes sont plus nombreuses comme chacun sait et on échappe donc à cette sorte de sérieux ou de prétention mal placée auquel on a bien souvent droit quelque part: En fait le tout nous conte l'histoire de Candy, en but principalement contre une armada de croquants beaufs (dont une sorcière à tête de fouine échappée de sa grotte et surtout jalouse d'elle) dont pas mal de caméos et avec Richard Burton en prof d'université sinon bien d'autres. Une fantaisie fun et amusante.
    rogertg2
    rogertg2

    31 abonnés 762 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 6 août 2007
    Un film d'une nullité complète. J'ai voulu le voir à cause du nombre impressionnant de grands acteurs figurant au générique mais au plus on avance, au plus on entre dans la débilité. Christian Marquand aurait mieux fait de se cantonner dans son rôle de comédien plutôt que de se lancer dans la réalisation, ça aurait fait un navet de moins sur les écrans.
    chrischambers86
    chrischambers86

    13 955 abonnés 12 478 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 18 février 2016
    1968, l'annèe de toutes les libèrations! Acide comme une bande dessinèe et tournè à toute allure en seulement deux semaines, "Candy" (prènom qui symbolise l'innocence avec ses consonances bibliques) de Christian Marquand (grand ami de Brando) est un ovni du 7ème art avec son dèluge de stars inattendues! il devient presque impossible aujourd'hui de faire un tel film! C'est l'histoire d'une hèroïne candide, comme son nom l'indique! Telle une moderne Justine, elle subit les derniers outrages de tous les hommes qu'elle rencontre : un poète, un rèvolutionnaire mexicain, un militaire, un chirurgien, un cinèaste, un bossu (qui de plus est gangster), un gourou, enfin son propre père! Parmi les « bourreaux » de Candy : Richard Burton, Marlon Brando, James Coburn, John Huston, Walter Matthau, Charles Aznavour ; tous font de formidables numèros de cabotinage dans des rôles èpisodiques! Surtout connu pour avoir ètè miss Suède trois ans plus tôt, la sublime douce innocente Ewa Aulin fait une composition dans le plus simple appareil! Le spectateur n'a pas tout compris à cette comèdie loufoque au kitch èrotique mais ne s'est pas plaint de ce charmant spectacle! Des longueurs (tout le passage avec Coburn) mais des couleurs pop-art, et surtout, des prestations pour le moins hallucinantes (Burton et Brando en tête)...
    konika0
    konika0

    29 abonnés 778 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 12 juin 2018
    Candy est une sucrerie. Christian Marquand est un touche à tout. Ici, il touche et il attouche la jeune et jolie Candy, sorte de poupée Barbie à la candeur improbable. L’histoire du film ? A vrai dire, elle compte peu. Le récit est construit en saynètes autour d’un fil conducteur. Candy est ce fil. Tous les mâles qui apparaissent à l’écran ont envie de se la taper. Oui, ça fait mince comme fil conducteur d’un film de deux heures. En fait, il s’agit surtout d’égratigner les convenances car le film est bourré de discours se moquant des symboles de l’autorité, qu’elle soit médicale, militaire, gouvernementale, intellectuelle. La jeune Candy traverse des tableaux exposant les travers de chacun de ces mâles archétypaux. Peut-on y voir la candeur d’une jeunesse sous pression ? Le portrait d’une Amérique victime de ses pulsions violentes ? Toujours est-il qu’au bout du chemin, la solution aux problèmes de Candy finit par être un champs et des symboles « peace and love ». En vérité, tout ça est très intéressant mais pas toujours efficace car un brin répétitif. Reste qu’il y a de vraies trouvailles visuelles réjouissantes, que l’humour fait mouche, que la BO est sensationnelle et qu’il se dégage du projet un sentiment de liberté rafraîchissant. A noter les rôles surprenants de Ringo Starr en jardinier mexicain et Charles Aznavour (oui oui) en bossu lubrique ! Une curiosité très sympathique.
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 25 mai 2007
    Petit film baroque à tendance faussement psyché, Candy a certes le rose bonbon de son titre, mais également un parfum désagréablement artificiel. L'histoire, pour faire simple, est celle d'une douce greluche - interpretée par Ewa Aulin, surement choisie pour être au naturel le personnage naïf et doucement bêta de Candy - à qui il va arriver plein d'aventures, principalement à caractère sexuel - nous sommes dans les sexties que Diable, il va bien falloir donner son lot de chair à ses contemporains. Sans réelle surprise donc, notre jeune Candy(de) va rencontrer des êtres tous plus "burlesques" les uns que les autres, respectant les clichés des personnages absurdes du ciné indé américain de cette époque à nos jours : jardinier mexicain révolutionnaire, poète buccalcoolique, chirurgien "new age", aucun stéréotype n'est absent dans cette tripotée de tripoteurs. L'enchaînement des événements laisse d'ailleurs quelque peu perplexe : la petite héroine - drogue de tous les personnages masculins -, affirmant haut et fort sa "blonditude", se laisse prendre au piège à chaque fois par les petits vicelards, à croire qu'elle n'a pas compris la leçon à chaque fois. A nous donc d'assister à ces semi-viols soit-disant amusants de par leur entrée en matière, mais le film révèle malheureusement trop tôt l'intégralité de son jeu pour que la partie soit intéressante. C'est donc avec un ennui poli que l'on poursuit la vision de cette œuvre à volonté grand-guignolesque et n'arrivant, au final, qu'à n'être qu'un Pinocchio, dont le nez se fait de plus en plus visible au fur et à mesure que les promesses du film se voient démolies par l'ahurissement face à cet Objet Filmique Malheureusement Identifiable, gloubi boulga façon flower power des états d'âme d'une jeunesse qui devait décidément aller bien mal.
    Last Action Zero
    Last Action Zero

    75 abonnés 271 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 14 mars 2023
    Une épopée grotesque, aussi homérique que onirique, où une douce, innocente et pulpeuse lycéenne aux jambes sans fin, ne peut pas faire un pas sur cette planète, sans tomber sur de vieux forceurs, farfelues et vicieux, qui n'auront de cesse de la manipuler, de la déshabiller et de la harceler sans vergogne, pour profiter de ses faveurs sexuelle. Un étrange parcours initiatique, allégorique, freudien, coquin et lysergique, servant de prétexte à une succession de pitreries plus ou moins réjouissante, cringe ou bizarre selon les cas, mais toujours de plus en plus audacieuse, perché et spectaculaire.

    Fantaisiste jusqu'au surréalisme ou au fantastique. Bourré de préjugés éligible à plus d'un titre, à la réévaluation par la cancel culture. Raisonnablement snob et sophistiqué. Outrageusement loufoque et lubrique. Élégamment filmé et mis en scène. Gentiment provocateur, transgressif et satyrique. Mais très exagérément et ironiquement masculin. Neuneu juste ce qu'il faut. Et j'aime même la bande son psyché pop bien vintage.

    Bref, une comédie légère, sexy et sexiste, à budget confortable et grand nom au casting( Ne loupez surtout pas la pastille avec Brando ), avec un fond discret de raillerie sociale à tête multiple. Seule les années soixante et leur joyeuse débauche morale, avaient le secret de ce genre de production insouciante et borderline, avec son lot habituel d'éminent dépravé de la jet-set, qui adoraient mélanger cabotinage et bamboche chic, bien droit en face de l’œil grand ouvert de la caméra. Et cela, pour notre plus grand plaisir de curieux au regard ébahi, devant cette vision en total décalage avec notre XXIième siècle.

    Un grand machin bordélique, orgiaque et salace, typique de la démesure libertine et hédoniste de cette époque, et qui a la saveur d'un film à sketch burlesque. Une œuvre aujourd'hui "touchy", à ne ranger pas trop loin de What's New Pussycat et Casino Royale, sur l'étagère de la misogynie comique et bourgeoise. Avec du recul, un peu de second degrés, ainsi qu'une certaine passion anthropologique pour les 60s, vous pourrez peut-être comme moi, y voir une sympathique bouffonnerie constamment en chien, qui n'aurait pas volé un stickers "Hugh Hefner approve", à la fois tellement très virile et absolument ridicule ^^
    inspecteur morvandieu
    inspecteur morvandieu

    40 abonnés 2 480 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 14 avril 2024
    Marlon Brando en gourou et Charles Aznavour en voleur bossu, James Coburn en torero de la chirurgie et Richard Burton en poète exalté sont parmi les vedettes passagères de la comédie délirante de l'inattendu Christian Marquand. Chacun, dans un emploi insolite, fait un numéro indépendant des autres, burlesque et loufoque.
    Cette succession de personnages extravagants sert-elle une satire de l'Amérique des années 60, ses modes et ses courants? Si c'est le cas, on tirera peu d'enseignements du film de Marquand car les idées, précisément, sont noyées dans un flot de paroles et dans une exubérance assez mal maitrisée. En dépit de sa liberté et de son inventivité, la comédie ne fait pas rire, excessive, bavarde, à l'exception peut-être du poète joué par Burton d spoiler: ont une brise omniprésente -même dans les scènes d'intérieur!- et décoiffante souligne la ferveur


    Chacun de ces drôles de types défend devant Candy, une belle jeune fille chez qui la candeur le dispute à la sottise, un postulat intellectuel ou mystique vaseux. Marquand semble en dénoncer la fumisterie en montrant avec ironie qu'en définitive ces beaux discours se concluent toujours de la même façon: spoiler: une partie de jambes en l'air avec la juvénile et pas farouche Candy.

    D'une rencontre à l'autre, cette dernière, telle Alice, découvre des univers étranges et confus. Une confusion, et une profusion, que le spectateur finit par trouver pesantes et stériles.
    globi C.
    globi C.

    9 abonnés 451 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 1 juillet 2016
    5 étoiles des films barrés, on trouve en particulier une toute jeune Awa aulin confrontée à des monstres sacrées de la scènes dans les situations les plus scabreuses et qui arrive à garder un naturel désarmant. Le film propose des situations et des dialogues amusants mais devient de plus plus brouillon au fur et à mesure de l'avancer de son mince scénario ce qui finit par lasser un peu, dommage.
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