Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
5 critiques presse
Le Figaroscope
par Brigitte Baudin
C'est un film de clan, de bande, de copains, de rigolade, avec des scènes d'anthologie. Et un casting d'enfer !
La critique complète est disponible sur le site Le Figaroscope
Le Monde
par Samuel Blumenfeld
Dire que Candy est un bon film serait exagéré. Le qualifier de mauvais film est hors sujet (...). Le film de Christian Marquand peut se comparer à Barbarella, autre monument de kitsch, également écrit par Terry Southern, et devenu aussi inintelligible que Candy pour le spectateur de 2003.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Obejctif-Cinema.com
par Annelise Landureau
Parce qu'en dépit des quelques gags cités plus haut et d'un hommage délirant aux différents genres cinématographiques américains (la fin rappelle quelques motifs du western, des Hells'angels en bas résille préfigurent Easy Rider et le film de motards, le père momifié évoque le genre fantastique), on finit quand même par trouver le temps long.
La critique complète est disponible sur le site Obejctif-Cinema.com
L'Express
par Stéphane Brisset
Voir la critique sur www.lexpress.fr
La critique complète est disponible sur le site L'Express
Les Inrockuptibles
par Olivier Père
Une curiosité psyché-pop assez médiocre. Tout ce qui est sixties n'est pas forcément sexy.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Le Figaroscope
C'est un film de clan, de bande, de copains, de rigolade, avec des scènes d'anthologie. Et un casting d'enfer !
Le Monde
Dire que Candy est un bon film serait exagéré. Le qualifier de mauvais film est hors sujet (...). Le film de Christian Marquand peut se comparer à Barbarella, autre monument de kitsch, également écrit par Terry Southern, et devenu aussi inintelligible que Candy pour le spectateur de 2003.
Obejctif-Cinema.com
Parce qu'en dépit des quelques gags cités plus haut et d'un hommage délirant aux différents genres cinématographiques américains (la fin rappelle quelques motifs du western, des Hells'angels en bas résille préfigurent Easy Rider et le film de motards, le père momifié évoque le genre fantastique), on finit quand même par trouver le temps long.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Les Inrockuptibles
Une curiosité psyché-pop assez médiocre. Tout ce qui est sixties n'est pas forcément sexy.