2,5
Publiée le 24 mars 2025
«1968 chez les anarcho-bobo»
Cette famille mène une vie anarcho-bohème dans un appartement de la très chic rue de Grenelle à Paris. Là nous sommes en 1968 au moment du déclenchement des évènement et on suit leurs réactions. Franchement sympathique et parfois amusante, cette histoire manque de nous émouvoir par son format artificiel et sa narration. Quasi dernière apparition de Michel Blanc en médecin juif qui a dû se cacher (dans la cache donc) pendant la guerre.
2,5
Publiée le 21 mars 2025
pas compris, les acteur son bien sans plus sinon sa traîne tu t’ennuie sans intérêt.















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Yves Fasani

1 critique

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2,0
Publiée le 19 mars 2025
L'attente de ce film bénéficiant d'une promo tapages et de la dernière apparition de Michel Blanc était grande. Quelle déception! Une mise en scène brouillonne, un rythme haché. On s'y ennuie à part quelques rares moments . Même Michel Blanc m'a paru bien fatigué et absent
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2,0
Publiée le 19 mars 2025
Un film qui se veut ambitieux mais dans lequel rien ne fonctionne : commençons par parler de la voix off qui s'avère très embarrassante ; continuons par la mise en scène, qui se veut brillante et qui n'est que chaotique ; terminons par ce qu'il faut bien appeler humour et qui est tout du long d'une grande maladresse. Alors oui, on cherche à se rattraper en voyant une des dernières prestations de Michel Blanc à l'écran, en appréciant le jeu de Dominique Raymond et celui de Liliane Rovère mais cela ne suffit pas pour faire de "La cache" un film digne du grand écran.
2,5
Publiée le 23 mars 2025
J'étais très attiré par ce film car l'histoire me séduisait pas mal. Mai 68 vu par le regard d'un enfant qui découvre une cache dans l'appartement qui a servi à l'ancêtre du clan pendant la seconde guerre mondiale. Mon intérêt est retombée assez vite car je qualifierai " la cache" de film qui se la joue ou veut faire son intéressant avec une forme qui fatigue au bout d'un moment à lorgner vers Amélie Poulain et surtout un jeu parfois faux des acteurs car forcé ou cartoonisé...
2,5
Publiée le 20 mars 2025
«-Sommes-nous vivants, sommes-nous morts ? -Nous sommes ensemble.»

Une chronique familiale à l'esprit théâtral, se déroulant rue de Grenelle en mai 68.

Doté d'une touche de fantaisie décalée et d'un casting plutôt attachant (dont le regretté Michel Blanc dans son avant-dernier rôle), un film qui a eu du mal à m'embarquer, la faute à une narration pas très passionnante et au rythme un peu redondant, ne laissant finalement que très peu s’infiltrer l'émotion en son sein. 5,5/10.
2,5
Publiée le 25 mars 2025
Adaptation du Roman de Christophe Boltanski par Lionel Baier qui reprend des pans de la propre histoire de sa famille. Nous replaçant dans l' univers de mai 1968, nous sommes à la fois agréablement plongés dans des décors d' époque ( autos, ameublement, musique, magazines ) nombreux y compris ce porche Parisien qui évoque une partie de ma propre jeunesse ( lointaine ) mais aussi un peu perdus il faut le dire, sur la mise en scène, très particulière, à la fois simplifiée, caricaturale et enfantine. Compliquée à suivre, donc, et ce n'est pas l'apparition là aussi un peu grotesque du Général de Gaulle dans cette rue de Grenelle, pour nous retenir de quitter la salle.... Heureusement, on retrouve dans ce casting, quelques figures pittoresques illustrant le trait des conditions difficiles relatées, avec les accents culturels juifs typiques, avec Dominique Reymond, ou Liliane Rovère, parfaites, et surtout le dernier film tourné avec Michel Blanc. Notamment les dernières scènes où il marche main dans la main, avec le petit Ethan Chimienti, très émouvantes...C'est l'image que je garderai, plutôt que la comédie confuse et absconse.....!!**
2,5
Publiée le 20 mars 2025
Adaptation au cinéma du roman autobiographique de Christophe Boltanski, « La Cache » est une sorte de comédie douce-amère, très déroutante parfois sur le fond comme dans sa forme. Le réalisateur, Lionel Baier, a quelques bonnes idées de réalisation ludique, presque façon « Michel Gondry » par moment. Quand les personnages sont en voiture, le fond du paysage défile sous l’apparence de diapositives par exemple, ou bien il joue le trompe l’œil entre la voiture familiale et la petite voiture de Christophe. Parfois c’est réussi, parfois c’est juste gratuitement bizarre, à la limite du surréalisme. Mais pourquoi pas, après tout le film se déroule en mai 68, c’est l’époque où jamais pour être surréaliste ! La musique est agréable, un peu jazzy, avec au milieu du film une séquence de comédie musicale en hommage à Jean Yanne, c’est drôle, c’est encore une fois très décalé. Le long métrage dure 90 minutes, ce qui est court selon les standards du moment. Et s’il parait durer longtemps, ce n’est pas à cause du rythme ou de la forme d’une façon générale, c’est plutôt à cause d’un scénario décousu. Le film est adapté d’un roman que je n’ai pas lu, et il ne me donne malheureusement pas envie de le lire. Le film (comme le roman aussi, j’imagine) s’éparpille façon puzzle, en voulant s’attacher à raconter plein de petites histoires il ne fait qu’effleurer la vraie dramaturgie, celle du personnage d’Etienne Boltanski, le grand père. La grand-mère est handicapée spoiler: (elle ne l’était pas en 1942, un court flash back nous le prouvera), que lui est-il arrivé ? On ne le saura pas.
Le fils n°2 et le fils n°3 vivent encore chez leurs parents : artiste maudit, universitaires verbeux et déconnecté de la réalité, leur personnage ne sera pas plus développé que cela. Tout ce petit monde vit dans le grand appartement (et dors dans la même pièce) et a visiblement érigé l’étrange en mode de vie : l’un mange au petit déjeuner des sardines à la chantilly, l’autre fait du thé dans sa voiture en branchant la bouilloire à l’allume cigare, tout est étrange. Toutes ces bizarreries masquent le vrai intérêt du scénario : la Cache. Elle donne son nom au film mais elle n’est pas réellement exploitée par le scénario. spoiler: Etienne est médecin et il a une peur panique du sang, on se doute qu’elle n’est pas innée (sinon comment faire des études de médecine ?) alors elle prend surement racine sous l’Occupation. Il se cache sous la table quand il voit de la violence, il est pétrifié quand il entend détonations ou coups de feu, tout ça n’arrive pas pour rien. Quand arrive le flash back de 1942 on se dit qu’enfin, le film va prendre corps, et ce qui se noue autour de cet escalier va se dénouer, que le film va prendre de l’épaisseur ! Sauf que non, le soufflet retombe immédiatement. L’arrivée dans la famille Boltanski d’un personnage improbable, leur demandant de l’aide pour échapper aux émeutes, là pour moi, c’est trop ! Trop bizarre, trop surréaliste, trop improbable, trop quoi…
En fait le scénario n’a pas de colonne vertébrale, il raconte quoi, au juste ? On a bien du mal à le dire clairement. Sans être toutefois un mauvais film, « La Cache » est un film qui n’aura pas fonctionné sur moi, tout simplement. C’est un peu dommage car le casting est irréprochable : Dominique Reymond, William Lebghil ou encore le jeune Ethan Chimienti incarne leur personnage avec conviction mais c’est évidemment de Michel Blanc que je veux parler. C’est l’un des derniers films qu’il a tourné, et son personnage est sans doute le plus profond, le plus prometteur du film. Quel dommage de ne pas avoir plus capitalisé sur lui, quel dommage de ne pas avoir vraiment raconté son histoire à lui. Les quelques passages où on devine son traumatisme spoiler: (dans le restaurant notamment)
sont les plus touchantes. Pas juste parce que c’est Michel Blanc et qu’il va nous manquer, mais parce que pour incarner la fragilité et l’intériorisation des sentiments, il était l’un des meilleurs. « La Cache » est une expérience de cinéma un peu foutraque qui n’a pas eu sur moi l’effet escompté. Peut-être suis-je un peu trop « terre à terre » pour ce cinéma de rêveur et de poète ?
2,0
Publiée le 20 mars 2025
Un peu déçu par ce film que j'ai été voir principalement pour Michel Blanc mais qui paraissait bien fatigué, je le préfèrais dans ses rôles drôles, scénario compliqué et histoire confuse
2,0
Publiée le 21 mars 2025
Le dernier film de Michel Blanc. Hormis Le Routard qui sort le 2 avril où il a un second rôle, une comédie grasse et vulgaire vu la bande-annonce. Dommage, La Cache a failli être un bon film, mais le ton est sentencieux, la voix off est omniprésente et égocentrique (on commence par le livre qui a inspiré le scénario, «c’est pourquoi j’ai fait ce film», au secours), les personnages, notamment la mère de famille, sont insupportables, le film refuse toute empathie avec le spectateur et établit une distance froide et âpre. Quelle erreur ! Se situant durant les événements de mai 68, un ton style «OSS 117» en plus intello aurait donné un film parfait, un écrin idéal pour le talent de Michel Blanc qui joue ici un rôle dramatique. spoiler: La scène du Général De Gaulle qui débarque dans l’appartement avant de s’enfuir à Baden-Baden est géniale, mais elle est gâchée par une mise en scène distante et froide,
Qu’elle occasion manquée ! Michel Blanc est vraiment parti trop tôt.
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2,0
Publiée le 24 mars 2025
La Cache est un film de Lionel Baier sorti en 2025.

Ce long métrage a pour lui plusieurs points positifs : une réelle inventivité dans sa mise en scène, des thématiques (tirée du roman éponyme de Christophe Boltanski) riches et des acteurs réellement convaincants, que ce soit William Lebghil en orateur sur de sa rhétorique au regretté Michel Blanc, drôle et touchant dans le rôle de ce médecin marqué par ses fêlures.

Reste que ce film est une déception à plusieurs niveaux : souffrant d'un manque de rythme criant, le long métrage s'embourbe dans les trop nombreuses thématiques qu'il porte ( spoiler: l'impact de Mai 68 et la fuite de De Gaulle pendant ces événements, les conséquences de la Seconde Guerre Mondiale sur une famille juive, l'unicité de la famille etc.
), chacune pouvant constituer le postulat d'un film. En outre, certains partis pris de mise en scène sont agaçants et donnent le sentiment que le réalisateur a voulu montrer son talent sans amplifier la force de son récit ( spoiler: en particulier cette voix off qui vient casser le rythme du long métrage
).

La Cache aurait pu être un très bon film historique. Il ne restera que le dernier témoignage cinématographique de Michel Blanc, une dernière fois excellent dans un film brouillon.
2,5
Publiée le 24 mars 2025
On apprécie le côté un peu loufoque, mais c’est un peu léger pour faire un film. Le reste est un peu simpliste, un peu lent, et si l’intrigue est relativement originale, elle ne suffit pas à soutenir le film.
2,5
Publiée le 23 mars 2025
Comédie assez moyenne mais pas désagréable où j'ai pas mal dormi...enfin, juste des petites pauses qui n'empêchent pas de suivre
Reconstitution intéressante de mai 68
Je pense que je vais lire le livre
Hervé

11 critiques

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2,0
Publiée le 23 mars 2025
Curieux film, fait de bric et de broc, à l'identité impalpable.
Une famille bourgeoise au mode de vie pour le moins spécial, des émotions liées aux heures sombres de la dernière guerre mondiale, l'apparition impromptue d'un personnage historique (peu ressemblant d'ailleurs), l'incinération fantasque d'un défunt...
J'en ressors un peu dérouté.
BARAY Nathalie

3 critiques

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2,0
Publiée le 24 mars 2025
Je partais très motivée pour ce film, dont je pensais qu'il porterait sur l'histoire d'une cache durant la 2eme guerre mondiale, et je me réjouissais de revoir Michel Blanc.
J'ai finalement été déçue par ce huis clos se deroulant dans l'appartement ou dans la voiture, sur fond de mai 68, qui passe du coq à l'âne, qu'on a du mal à suivre et qui finalement ne décolle pas. Même Michel Blanc y paraît fatigué et essoufflé, comme le film.
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