Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
9 critiques presse
Cahiers du Cinéma
par Circé Faure
Les nombreux plans fixes des Premiers Jours documentent un inframonde, suivant les trajectoires de la matière, répertoriant les motifs formés par les vagues à chaque instant. Ces perpétuels réarrangements symboliques, sociaux et historiques établissent le cinéma comme interface entre deux approches formelles, l’une anthropologique et l’autre artistique (moderniste).
Ouest France
par La rédaction
Un peu acide de prime abord, ce film saisit l'aspect indomptable de la nature et finit par captiver.
Culturopoing.com
par Alexandre Lebrac
Poème écologiste sans parole mais tirant parti du pouvoir illimité des images et du son, Les premiers jours réussit haut la main le pari de transmettre un message humaniste et universellement limpide, offrant à voir un monde méconnu mais bien réel, entre Mad Max et le Jardin d’Eden.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
L'Obs
par Isabelle Danel
Ce poème malade sur un monde en perdition, âpre et frontal, signé du réalisateur et ethnologue Stéphane Breton nous trouble et nous emporte. Sans oublier de nous faire réfléchir sur ce que pourrait signifier, aujourd’hui, tout recommencer à zéro sur cette planète déglinguée qui est la nôtre.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Monde
par J. Ma
En un mot, il resterait à penser que Stéphane Breton a voulu tourner une version alternative de Mad Max, qui laisserait la baston hors champ, pour ne conserver que l’étrangeté absolue du monde.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Fiches du Cinéma
par Nicolas Nekourouh
Dans une totale économie de moyens, sans narration ni progression identifiables, Stéphane Breton s’engage dans un projet très (trop) ambitieux : un essai cinématographique sur la vie de pêcheurs au Chili, érigés en figures apocalyptiques et métaphysiques.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Première
par Nicolas Moreno
C’est une intention poétique et méditative qui initie le projet, peut-être trop libre dans sa forme pour atteindre l’honorable ambition qu’il s’était fixée au départ.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télérama
par Cécile Marchand Ménard
Après avoir scruté des chasseurs de zibelines en Sibérie, de jeunes combattantes kurdes en Syrie, l’ethno-cinéaste Stéphane Breton emporte sa caméra attentive au nord du Chili.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Positif
par Fabien Baumann
Les Premiers Jours ne dure que soixante-quatorze minutes, et c'est une bonne nouvelle.
Cahiers du Cinéma
Les nombreux plans fixes des Premiers Jours documentent un inframonde, suivant les trajectoires de la matière, répertoriant les motifs formés par les vagues à chaque instant. Ces perpétuels réarrangements symboliques, sociaux et historiques établissent le cinéma comme interface entre deux approches formelles, l’une anthropologique et l’autre artistique (moderniste).
Ouest France
Un peu acide de prime abord, ce film saisit l'aspect indomptable de la nature et finit par captiver.
Culturopoing.com
Poème écologiste sans parole mais tirant parti du pouvoir illimité des images et du son, Les premiers jours réussit haut la main le pari de transmettre un message humaniste et universellement limpide, offrant à voir un monde méconnu mais bien réel, entre Mad Max et le Jardin d’Eden.
L'Obs
Ce poème malade sur un monde en perdition, âpre et frontal, signé du réalisateur et ethnologue Stéphane Breton nous trouble et nous emporte. Sans oublier de nous faire réfléchir sur ce que pourrait signifier, aujourd’hui, tout recommencer à zéro sur cette planète déglinguée qui est la nôtre.
Le Monde
En un mot, il resterait à penser que Stéphane Breton a voulu tourner une version alternative de Mad Max, qui laisserait la baston hors champ, pour ne conserver que l’étrangeté absolue du monde.
Les Fiches du Cinéma
Dans une totale économie de moyens, sans narration ni progression identifiables, Stéphane Breton s’engage dans un projet très (trop) ambitieux : un essai cinématographique sur la vie de pêcheurs au Chili, érigés en figures apocalyptiques et métaphysiques.
Première
C’est une intention poétique et méditative qui initie le projet, peut-être trop libre dans sa forme pour atteindre l’honorable ambition qu’il s’était fixée au départ.
Télérama
Après avoir scruté des chasseurs de zibelines en Sibérie, de jeunes combattantes kurdes en Syrie, l’ethno-cinéaste Stéphane Breton emporte sa caméra attentive au nord du Chili.
Positif
Les Premiers Jours ne dure que soixante-quatorze minutes, et c'est une bonne nouvelle.