Les plus utilesLes plus récentesMembres avec le plus de critiquesMembres avec le plus d'abonnés
Filtrer par :
Toutes les notes
inspecteur morvandieu
37 abonnés
2 380 critiques
Suivre son activité
3,0
Publiée le 19 septembre 2024
On retrouve, cinq ans plus tard, les roublards René et François, ces policiers ripoux de Montmartre qui se distinguent moins dans le maintien de l'ordre que dans le racket et l'extorsion... Claude Zidi retrouve, lui, d'emblée, le ton et l'esprit de sa comédie à succès "Les Ripoux", son meilleur film sans doute et le César surprise de 1985. René, décidément plus turfiste que flic, et François, qui conserve encore des velléités d'honnêteté qui exaspèrent son équipier, forment un duo complémentaire même si Noiret, grace à sa truculence franchouillarde, semble mieux servi. Ce sont, quoiqu'il en soit des personnages attachants et drôles. Dans leur deuxième aventure, René et François sont mis à pied quand sont découverts leurs petits trafics qui améliorent les fins de mois. "Ripoux contre Ripoux" est une comédie bien moins brouillonne et désinvolte, à tout point de vue, que l'ordinaire du cinéma de Zidi. Néanmoins, le sujet s'enlise progressivement dans des situations un peu factices ou complaisantes. La comédie reste efficace mais le réalisateur affiche ses limites.
Ce deuxième volet de la trilogie est moins forte que le premier film, mais Claude Zidi reste dans une suite logique et interessante, j'aime le duo à l'écran Lhermitte - Noiret qui fait toujours bonne effet. Cependant les personnage de base manque mais l'arrivé de Guy Marchand et JP Castaldi est pas mal trouvé. J'ai mis la note de 7/10
Cette suite est un plaisir, elle reprend les cartes du premier , dans les rues du 18eme. Une étoile en moins car l'originalité n'y est plus vraiment. ----Octobre 2010----. Suite bienvenue mais décevante, dur de faire le poid face au cultissime les ripoux 1, moins de peps. 3/5. ----Août 2020----
Ripoux contre Ripoux est un film gentillet avec quelques bonne touche d’humour. Toutefois on sert ici qu’un réchauffé du premier film sur le même thème, avec les mêmes acteurs et des gags très similaires. L’introduction de deux nouveaux personnages « Ripoux » donne un second souffle et donne un peu plus de profondeur. A voir absolument une fois.
Même s’il est un poil moins bien que son prédécesseur, ça reste une très bonne comédie. 6 ans se sont écoulé entre les deux, mais on sent que la patte reste identique. Vu que j’ai adoré le 1er, forcément, j’étais content d’y voir une continuité. On retrouve l’ambiance à l’ancienne de ce que j’appelle « la bonne époque ». C’est peut-être bête à dire, mais quand je vois les images avec en arrière fond une Bande Originale, cela donne un sentiment de nostalgie d’un temps que je n’ai pas connu. Une fois que ce cadre est posé de nouveau. Il faut s’intéresser à ce qui faisait aussi le cœur des RIPOUX, le duo Thierry Lhermitte/ Philippe Noiret. Je dois dire qu’ils sont toujours aussi excellents. J’ai beaucoup rigolé avec eux. Leur complicité reste intacte et c’est un vrai plaisir de les voir évoluer ensemble. Cette fois, le casting va s’épaissir avec la présence de Guy Marchand et Jean-Pierre Castaldi. Dans leur rôle de « méchant », ils vont être géniaux. Ça donne un challenge qui met une nouvelle dynamique. Le contexte va évoluer pour justement apporter cet élan nécessaire. Les lieux aussi vont plus se diversifier en sortant du cadre uniquement parisien. Tout cela est bien dosé afin de garder les bases tout en apportant la nouveauté.
Au cinéma, les suites sont très souvent inférieures au premier opus, et ici la règle se confirme. On retrouve René (Philippe Noiret) et François (Thierry L'hermitte) les personnages. On les a laissé à la fin du premier film loin du monde de la police qu'ils avaient quitté. Et dès le début de ce deuxième volet, nous avons Noiret et L'hermitte patrouillant dans leur voiture banalisée. C'est une déception dans le scénario d'autant plus que la première personne qu'ils arrêtent n'est autre que Michel Cremades qui avait déjà fait un petit voleur coffré dans le premier film. Au niveau personnage, là aussi une déception. Régine a été remplacée par Line Renaud pour le personnage de Simone. Un changement d'acteur-actrice pour un personnage est toujours génant. Sinon Grace De Capitani est largement moins présente. Tandis que les autres personnages joués par Marchand, JP Castaldi, Benguigui ou encore Brialy sont moyens pour ne pas dire mauvais pour certains. Au niveau scénario, même s'il y a une histoire, on ne retrouve pas l'ambiance de Montmartre et c'est terne. Le niveau a bien baissé. Ce n'est pas mauvais, plutôt moyen.
Suite des ripoux, on retrouve avec plaisir Rene et Francois . NOIRET et LHERMITTE sont toujours impeccable. Fait exceptionnel pour une suite Zidi ne reprend pas le schéma du premier et fait un film différent. Il y a un peu plus d’émotions que dans le premier . Il ajoute avec les personnages de Guy Marchand et Jean Pierre Castaldi deux niveaux ripoux bien pire que les originaux. Une belle réussite
Evitant l'idée du premier volet, ce second, même s'il fait moins rire et évite le côté sarcastique de l'univers dans lequel il nous plonge, a au moins le mérite d'offrir une toute originalité au niveau de scénario tout en réussissant à garder un fond si attachant au personnage. La fin, même si elle réussit à laisser l'effet de surprise, aurait pu être un peu plus développée.
Une suite réussie. Le casting est à la hauteur, les répliques et situations bonnes. Un peu bizarre que cette "suite" n'en est pas vraiment une puisqu'à la fin du premier le tandem Lhermitte-Noiret est riche et proprio d'un troquet et de chevaux de courses. On les retrouvent étonnement "à la case départ" dans ce 2ème opus. Bonne comédie, histoire agréable, un bon moment devant ce film.
On retrouve avec bonheur et envie, joie et nostalgie nos deux compères. Le film met du temps à se lancer en raison des longueurs présentes dans la première partie ce qui abouti à un manque de rythme. Cette suite est un ton en dessous, l'humour y est moins présent. Mais elle reste agréable à visionner, essentiellement grâce à l'attachement qu'on porte à ses protagonistes. Philippe Noiret continue de crever l'écran, quelle interprétation !