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Le scénario se joue bien de ces contraintes, y puisant au contraire inspiration pour moult rebondissements, Violet ne se laissant bien entendu pas faire. « Drop » parvient ainsi à plaquer le spectateur à son fauteuil durant la plus grande partie de sa durée.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Cette production BlumHouse ne démérite pas, assumant son statut de série B maligne régie selon une unité de lieu et de temps, qui manque de crédibilité mais entretient savamment la paranoïa contemporaine des harceleurs anonymes sur les réseaux sociaux.
La voir, « l’air de rien », accomplir des gestes insignifiants et rituels (commander à dîner, porter un toast, flirter avec son rancard, etc.) tout en communiquant avec un démiurge sadique et caché constitue à la fois l’enjeu du récit mais aussi le prétexte à une série de situations dont il faut bien avouer qu’elles sont au-delà de l’invraisemblable.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Pas vraiment ennuyeux mais jamais captivant, "Drop Game" ressemble à un film de plate-forme sauvé de justesse par la technique bien rodée de Christopher Landon, qu'on a connu plus inspiré [...].
Après l’échange de corps ("Freaky") et la boucle temporelle ("Happy Birthdead" et sa suite), Christopher Landon s’attaque à un nouveau high-concept : le harcèlement via AirDrop. Le résultat ? Un thriller technologique et domestique qui se croit plus malin qu’il ne l’est.
Bien tenu au début, un peu mou au milieu, le film devient complètement fou dans ses vingt dernières minutes, risibles, grand-guignolesques, dignes de Mel Brooks… Tellement délirantes que le film pourrait bien finir par devenir culte.
La critique complète est disponible sur le site Première
C’est seulement dans ses 15 dernières minutes que le film se réveille [...] et déjà spoilé de son plan le plus inspiré et spectaculaire dans la bande annonce.
La critique complète est disponible sur le site Abus de Ciné
Ce thriller en huis clos, inspiré par les dangers de la technologie omniprésente dans nos vies, avait tout pour séduire. Mais en abusant des retournements de situation absurdes, le film échoue à rendre sa critique pertinente, et finit ironiquement par nous faire rire.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Le Parisien
Le scénario se joue bien de ces contraintes, y puisant au contraire inspiration pour moult rebondissements, Violet ne se laissant bien entendu pas faire. « Drop » parvient ainsi à plaquer le spectateur à son fauteuil durant la plus grande partie de sa durée.
Le Journal du Dimanche
Cette production BlumHouse ne démérite pas, assumant son statut de série B maligne régie selon une unité de lieu et de temps, qui manque de crédibilité mais entretient savamment la paranoïa contemporaine des harceleurs anonymes sur les réseaux sociaux.
Le Monde
La voir, « l’air de rien », accomplir des gestes insignifiants et rituels (commander à dîner, porter un toast, flirter avec son rancard, etc.) tout en communiquant avec un démiurge sadique et caché constitue à la fois l’enjeu du récit mais aussi le prétexte à une série de situations dont il faut bien avouer qu’elles sont au-delà de l’invraisemblable.
Mad Movies
Pas vraiment ennuyeux mais jamais captivant, "Drop Game" ressemble à un film de plate-forme sauvé de justesse par la technique bien rodée de Christopher Landon, qu'on a connu plus inspiré [...].
Critikat.com
Drop Game apparaît comme un nouveau symptôme de la crise que traverse actuellement Blumhouse.
Ecran Large
Étrangement à côté de la plaque, "Drop Game" rate à peu près tout ce qu’il entreprend.
Les Fiches du Cinéma
Après l’échange de corps ("Freaky") et la boucle temporelle ("Happy Birthdead" et sa suite), Christopher Landon s’attaque à un nouveau high-concept : le harcèlement via AirDrop. Le résultat ? Un thriller technologique et domestique qui se croit plus malin qu’il ne l’est.
Première
Bien tenu au début, un peu mou au milieu, le film devient complètement fou dans ses vingt dernières minutes, risibles, grand-guignolesques, dignes de Mel Brooks… Tellement délirantes que le film pourrait bien finir par devenir culte.
Abus de Ciné
C’est seulement dans ses 15 dernières minutes que le film se réveille [...] et déjà spoilé de son plan le plus inspiré et spectaculaire dans la bande annonce.
Télérama
Ce thriller en huis clos, inspiré par les dangers de la technologie omniprésente dans nos vies, avait tout pour séduire. Mais en abusant des retournements de situation absurdes, le film échoue à rendre sa critique pertinente, et finit ironiquement par nous faire rire.