Derniers Avis sur Ultime combat

Un nanar comme on les aime. Les scènes de combat sont inoubliables. Le doublage aurait pu être pire, mais il ne démérite pas dans sa catégorie. Je mets quatre étoiles car la magie nanardesque opère.

Un classique du genre, j'ai envie de dire. Une contrefaçon de Rambo mais en plus action et bourrin 0% diplomate, 100% testostérone, avec un homme qui réussi par la magie du scénario d'éliminer tout un régiment mercenaire. Des acteurs surjouant comme si c'était des enfants qui jouait, un décors qui est une petite forêt d'un parc, des personnages caricaturé à leur extrême et qui cris tout le temps. Pour résumer un incontournable, a vos bière, à vos pop corn et bonne soirée

David Prior est un réalisateur faible, il faut le dire, même si j’ai bien aimé certains de ses films comme Raw Justice. Deadly Prey c’est du Rambo ultra-viril, ultra-violent, et souvent ultra-ridicule !
Caricatural à souhait, Deadly Prey c’est rien de plus et de moins qu’un film de baston, de A à Z ! Scénario inexistant prenant pour point de départ une sorte de chasse à l’homme, un poil de sous intrigue avec l’héroïne qui ne sert à rien d’ailleurs, Deadly Prey aligne les moments théoriquement héroïque, bourrins et explosifs comme les perles d’un chapelet ! C’est 1 heure 30 assez réjouissantes parfois, avec un rythme solide, mais en réalité c’est tellement excessif et mal fichu que c’est dur de prendre ce spectacle musclé au sérieux. On rigole beaucoup, et jusqu’à son final jouissif Deadly Prey est une grosse marade ! Je rejoins certaines critiques, oui, ce film est un bon gros nanar, fendard à souhait, mais qu’il ne faut surtout pas prendre au premier degré.
Visuellement c’est fait sans le sou et ça se voit ! Surtout que Prior a de l’ambition, avec des explosions à profusion et tout le tutti ! Seulement avec son budget c’est l’art de la débrouille et visiblement ce n’est pas un art que maitrise grandement Prior ! Finalement ses scènes d’action ressemblent à une bagarre de cour d’école, avec des grands gamins se combattant avec des armes en plastiques ! C’est réellement l’impression que donne ce film, avec la mise en scène simpliste de Prior et ses décors limités ! Reste que c’est peut-être l’aspect le moins mauvais du film qui a bénéficié visiblement de quelques tanks pour la figuration ! On notera deux ou trois scènes sanglantes mais tellement artisanales qu’on se marre franchement ! Et je n’ai pas compris le choix musical complètement à la masse !
Au casting Ted Prior en fait des méga-tonnes pour notre plus grand plaisir. Sur la fin il craque totalement le pauvre ! Prenant très au sérieux son rôle de Rambo, il s’amuse visiblement énormément à dézinguer du méchant en quantité industrielle ! Comme on peut s’y attendre il n’est pas entouré d’acteurs bien connus ! On reconnaitra quand même un Cameron Mitchell totalement inutile ou presque (enfin apparaissant très peu surtout mais il a dû couter cher !). Dans l’ensemble les acteurs sont en roue libre, sans aucune direction, et leurs personnages sont franchement risible, autant chez les gentils avec ce héros quasi-parodique que du côté des méchants avec des méchants franchement parodiques.
Deadly Prey est un nanar franc du collier, mais ce n’est pas une comédie et je noterai donc ce film comme il se doit, et ma note ne va pas être bien haute ! C’est du sous-sous-Rambo, généreux, et c’est déjà ça, mais tout de même très faible ! Mais très sympathique, c’est un fait ! 1

Quelle claque que ce nanar. Une scène invraisemblable toutes les minutes et un pouvoir comique extraordinaire grâce au clone Mc Gyver et de Rambo réunis, vêtu d'un simple short moule burnes, arrivant à buter d'autres clonés du genre de Chuck Maurice. Et que dire du doublage français, des détonations de cartouches ou encore des bagarres du pauvre. Cultissime, grandiose. magnifique !!! Aucun superlatif ne peut qualifier cette bande que tout fan de nanar ne se doit de rater.

Un de mes nanars préféré :D!
Le film est tellement tourné du mauvais sens qu'on se rend compte qu'on est dirigé vers quelque chose de tellement magique! Vraiment génial ce film! Il faut absolument qu'un génie le sorte en DVD.!

Le parfait nanar, avec une nouvelle scène culte toutes les 2 mn. Du début (l'enlèvement du type quand il sort ses poubelles), à la fin (le mec en slibard qui attaque un tank), un pur chef d'œuvre. A ne pas rater!

ça faisait longtemps que j'avais ce nanar sur mon ordinateur, et je n'ai pas été déçu du voyage. C'est juste complètement n'importe quoi tu début à la fin, une sorte de sous Rambo où un mec bute tous les autres à main nue ou avec des armes qu'il a fabriqué lui même le tout dans une absence de cohérence la plus totale et avec une VF des plus magistrale. En effet, il faut l'entendre pour le croire tellement les voix semblent à côté à côté de la plaque en permanence. Une VF de grande qualité donc, et qui participe complètement au potentiel comique du film. Les situations ne sont pas en reste tellement par moment c'est juste n'importe quoi. Je pense à ce Mike Danton qui se balade en mini short durant tout le film, difficile de faire plus gay friendly. Je pense à ce père qui retrouve qui a enlevé son genre avec trois numéros d'une plaque d'immatriculation. Je pense au mec qui en tue un autre avec un petit bâton même pas taillé qu'il trouve par terre. On est vraiment dans un sommet de la connerie fondamentale, et quel sommet, quel film.
Le film n'est même pas trop chiant, alors pourquoi se priver d'une expérience cinématographique inégalée, inégalable ? Je pose la question. Non il faut le voir, on est dans le délire pure d'un film sans doute tourné au premier degré alors qu'il est d'une bêtise sans nom.
Et puis putain le mini short quoi.

Un nanar de toute beauté, splendide par son scénario incroyable de bêtise, son accumulation de scènes grotesques et son interprétation au rabais. Difficile d'imaginer que l'on ait osé sortir un film de ce genre.

Au delà du nanar, ce film qu'est Deadly Prey (ou Ultime Combat pour nous les francophones) est tout simplement un chef d'oeuvre de médiocrité, mais qui en devient tellement hilarant, qu'on fini même par l'apprécier à sa juste valeur.
Le héros, Mike Danton, ancien soldat, bodybuidlé à mort, le corps luisant à l'huile, et se battant seulement avec un short en jean, nous promets de belles scènes de combat, ou il trouvera les moyens les plus ingénieux pour mettre fin aux jours de ces mécréants qui le chasse, dans une forêt qui sera le tombeau de ses agresseurs.. ( on se demande presque si notre héros n'a pas fait exprès de se faire volontairement kidnappé pour pouvoir passer du bon temps dans cette forêt)
Tout est présent dans ce film, de l'action ( effets spéciaux médiocres oblige tout de même, mention spéciale aux pierres en polystyrène), de l'humour ( "ami ou ennemi? Je suis un ami... Vous êtes un menteur ! " PAN ! ), du drame ( "Papa, ils m'ont violé! " = réaction du père immédiate, il saute tel un marsupilami sur les ennemis pour venger sa fille, et se spoiler: fait tuer... un héros vient de mourrir..
, et une bande son qui n'est composée que de 2 musiques: c'est répétitif, mais voulu pour que le spectateur puisse facilement les intégrer en mémoire, afin de ne jamais les oublier..
Le scénario quant à lui tient sur une feuille de bloc notes, mais à tout de même son petit effet, car on suit agréablement les péripéties de notre héros dans ce territoire hostile: on aime le voir se battre comme un lion, en instaurant des pièges plus ingénieux les uns que les autres..
=> Mention spéciale à son finisher, qui consiste à saisir un soldat et a briser son dos contre un arbre, le soulevant tel un bonhomme en mousse.
Des méchants viendront entraver la route de notre soldat préféré, mais feront pâle figure devant sa force bestiale, sa technique de camouflage caméléon, et son goût prononcé pour la furtivité (ayant des techniques improbables de survie, démontrant que Man vs Wild à côté de lui, c'est de la gniogniote.. , et de remise en place d'os cassés)
On pourra tout de même mentionner le combat en final, contre un méchant (sois disant) au même niveau que Mr Danton,qui ravira les plus friands de gore et d'action d'entre vous.

En clair, vous aurez facilement compris que je suis fan de ce nanar, un film tout simplement hilarant, à l'action non stop, le héros presque à poil qui bat une armée a lui tout seul (enfin aidé de son beau père, qui fera un très honorable parcours), des méchants en mousse qui ne servent à prouver qu'une seule chose: Au Vietnam il était le meilleur, aujourd'hui il l'est encore..

Soyons clair, ce film est une bouze sans nom.. Pourquoi cette note de 2,5? Je n'ai jamais autant ri devant autant de stupidité. Des scenes cultes, le nanar absolu!! Pour tous ceux qui recherchent les perles du cinéma hilarant de nulité.. (comme moi!) car ce film est vraiment drole croyez moi.

IN-CROY-ABLE j'en ai encore des douleurs aux maxillaires. Une anomalie, une aberration, un mystère qui transcende toute sa médiocrité par son ridicule. Tout y est: du héros, fruit d'un croisement entre Dolph Lundgren et McGyver, à la facture complètement cheap de la réalisation, en passant par des dialogues absolument hallucinants (bien aidé par le doublage) et un sentiment permanent d'homosexualité refoulée de la part de ceux qui ont fait ce film, je n'avais encore jamais vu de film atteindre un tel niveau. N'hésitez pas à screener youtube si vous voulez vous bidonner.

Au plein coeur de mon trip nanar, je tombe sur ce film. Magnifico ! Magistralosso ! Rambo, rhabille-toi ! Schwaarzy, reste dans la politique ! Chuck, retourne chez ta mère ! Car Sybil arrive. Il a la souplesse de l'éléphant et la force du lémurien. Voyagez en groupe en regardant de tout côté, et aussi au centre (il est capable de s'enterrer complètement et de vous jaillir dessus en venant de dessous). Vérifier les pièges et les projectiles aussi. Ses poings, c'est le Dieu Mars qui s'en sert pour frapper le métal incandescent, sa tête, c'est Superman qui s'en sert pour broyer la kryptonite. Et pour sa ****, c'est impossible de la déplacer, et si on y touche, il vaut mieux courir. Avec un meurtre sauvage par minute en moyenne, Deadly Prey est le film de surveyvor qu'il ne faut pas rater.

Un groupe de mercenaires dirigé par le Colonel Hogan kidnappe de parfaits inconnus afin de s’en servir comme proies humaines durant leur entraînement. Sauf qu’un jour, ils auront le malheur de kidnapper la mauvaise personne, à savoir Mike Danton, vétéran du Vietnam, véritable machine de guerre et surtout… ancien élève d’Hogan !

David A. Prior (Aerobic Killer - 1987) se fera connaître auprès de la sphère nanarde grâce à Ultime combat (1987), l’archétype de la Série B bourrine et testostéronée. Avec dans le rôle-titre, Ted Prior qui n’est autre que son frère. On le retrouve ici en ersatz de Rambo (& Rahan), avec son mulet blond qui virevolte au vent et affublé d’un mini short saillant. Ce dernier était en train de sortir les poubelles (!) lorsqu’il a été kidnappé par les hommes d’Hogan. Et le voilà perdu au beau milieu de nulle part, une pseudo jungle équatoriale située à 75miles de Los Angels où notre Rambo crypto-gay, torse poil parfaitement huilé, pieds-nus et mini-short moule-burnes se retrouve livré à lui-même face à des mecs lourdement armés.

Bien évidemment, oubliez toute notion de subtilité au cœur d’un scénario écrit à la va-vite. Le film se veut bourrin et rentre-dedans. C’est d’ailleurs ça qui fait le charme du film, l’ensemble du casting joue approximativement, les scènes d’action se veulent badass et certaines nous offrent quelques beaux moments, notamment à 5min de la fin, une magnifique séquence de fight entre notre héros et un mercenaire qui finira le bras coupé à la machette (Danton s’en servira même pour le frapper avec). Une Série B d’action caricaturale qui ne lésine pas sur les clichés inhérents au genre et cela en devient même drôle à défaut d’arriver à prendre le film au sérieux. En même temps, il est difficile de ne pas en rire, à voir Ted Prior en mini-short pris en chasse par des mercenaires. Le film est bien évidemment un prétexte à mettre en avant les atouts physiques du frère du réalisateur. Ted Prior, avec sa carrière de mannequin & de culturiste (il a même posé pour le magazine "PlayGirl's", la version féminine de "PlayBoy") avait tous les avantages pour ce type de rôle (le réalisateur ne lésine pas sur les nombreux plans dénudés de son frère, exhibant fièrement ses muscles, d’où un magnifique freeze frame à la toute fin du film).

Fortement inspiré par des films tels que Les Chasses du comte Zaroff (1934) ou la saga Rambo, David A. Prior nous offre un film devenu culte pour les amateurs de nanars. Un film qui connaître d’ailleurs un certain succès au fil des décennies, raison pour laquelle le réalisateur y donnera une suite plus de 20ans après avec Deadliest Prey (2013), toujours en compagnie de son frère.

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J'ai découvert ce film grâce au site Nanarland (les gars, au cas où vous me lisiez, merci pour tout), et je ne regrette pas d'y avoir jeté un coup d'oeil tant toutes les idées de Deadly Prey, sans aucune exception, sont totalements débiles. Rien qu'imaginer qu'un énorme camp de mercenaires situé à 100 bornes de Los Angeles passe inaperçu est idiot (j'ai pris un exemple au hasard sur une bonne centaine d'idées identiques). Le systèmatisme de la mise en scène est assez incroyable aussi puisque l'on assiste à la mise à mort d'une bonne centaine de mercenaires par un seul héros, le blondinet à la coupe de cheveux bien eighties et au torse huilé Mike Danton. Or celui-ci n'a pour tout équipement que sa bite et son couteau (vous me direz, dans un nanar, c'est toujours plus utile qu'un cerveau). Je peux aussi évoquer l'utilisation systématique des trois mêmes notes de musique dans les scènes d'action, ce qui se rapproche plus ou moins la réalisation de ce film des méthodes les plus raffinées de torture psychologique. Reste que tous ces détails mient bout à bout font de Deadly Prey (ou de Ultime combat si vous préferez) un des plus gros moments de rigolade que l'on puisse avoir devant un mauvais film.

un bon gros nanar inspiré par Rambo, avec un gag par minute (involontaire cela va sans dire) et un scénario complètement invraisemblable qu'on dirait écrit par un enfant de cinq ans...
on ne s'ennuie pas !