Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
19 critiques presse
Cahiers du Cinéma
par Stéphane Delorme
Mala Noche laisse (...) une impression unique, sensuelle (...) Le corps du film fait de rayons de lumières et d'échos égarés abandonne la poésie crue de la rue pour la sensation de rêve éveillé.
Chronic'art.com
par Jean-Sébastien Chauvin
Ils sont rares les films qui donnent comme Mala noche, le sentiment d'avoir devant soi des étoiles filantes, qui brillent d'une extrême intensité tout en étant d'une fragilité cristalline, à la fois surpuissantes et menacées de se fêler au moindre choc.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Elle
par Anne Diatkine
(...) Un film éblouissant de liberté (...)
La critique complète est disponible sur le site Elle
Fluctuat.net
par Laurence Reymond
Véritable découverte, Mala Noche porte en lui la grâce incertaine du premier film, ainsi qu'en germe l'oeuvre protéiforme et lumineuse d'un cinéaste sans pareil. Un bijou.
La critique complète est disponible sur le site Fluctuat.net
L'Humanité
par Emile Breton
Le noir et blanc, la précarité des moyens, loin d'être un handicap, sont les atouts de ce film, tourné dans la hâte comme s'il fallait fixer cette beauté et cette misère avant qu'elle disparaisse.
Le Point
par François-Guillaume Lorrain
Voir la critique sur www.lepoint.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Les Inrockuptibles
par Patrice Blouin
La réussite spécifique de ce premier long métrage tient, d'ailleurs, à la cohérence de ton que le metteur en scène arrive à insufler à ce melting-pot étrange de réalisme et d'expressionisme, de cinéma direct et de théatralité baroque.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Philippe Azoury
(...) Ce Bukowski d'Oregon a réussi avec Mala Noche un chef-d'oeuvre. Pour William S. Burroughs (qui ne s'est jamais trompé), pour Allen Ginsberg, et accessoirement pour nous aussi.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Ciné Live
par Xavier Leherpeur
Voir la critique sur www.cinelive.fr
La critique complète est disponible sur le site Ciné Live
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
Le jeune Van Sant tire, quant à lui, le récit du côté de la tradition du cinéma indépendant et expérimental américain, faisant feu de tout bois pour évoquer, par une esthétique syncopée et fragmentaire, la nature scandaleuse de son sujet.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
MCinéma.com
par Olivier Pélisson
C'est avant tout une rareté, avec dans le rôle central Tim Streeter, excellent acteur qui aurait mérité d'être connu plus tôt.
Paris Match
par Christine Haas
L'authenticité de cette première ballade sauvage et poétique annonce déjà "Drugstore Cowboy" qui révélera ce cinéaste au grand public.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Première
par Isabelle Danel
(...) le premier film de Gus Van Sant est une fulgurante découverte (...) Totalement maîtrisé, sans tics ni afféteries, ce journal intime d'un Blanc amoureux d'un Mexicain immigré clandestin affiche une mélancolie douce (...)
La critique complète est disponible sur le site Première
Studio Magazine
par Thomas Baurez
Voir la critique sur www.studiomag.com
La critique complète est disponible sur le site Studio Magazine
TéléCinéObs
par Elodie Lepage
Tous les thèmes de prédilection du cinéaste sont réunis dans cette balade sauvage : amours impossibles, solitude et marginalité.
Télérama
par Louis Guichard
Jamais ensuite Gus Van Sant n'abordera l'homosexualité de façon si frontale et si crue. Jamais il ne donnera le sentiment de faire corps avec l'Amérique des rues autant que dans ce journal d'un oiseau de nuit jouant avec le feu, pour le plaisir de perdre.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Marie Bernard
(...) Véritable réussite du cinéma indépendant des années 80. La remarquable naissance d'un auteur.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Ouest France
par La Rédaction
Des images en noir et blanc, pour une chronique rude et haletante (...)
Score
par Emmanuelle Spadacenta
(...) un film mineur (...)
La critique complète est disponible sur le site Score
Cahiers du Cinéma
Mala Noche laisse (...) une impression unique, sensuelle (...) Le corps du film fait de rayons de lumières et d'échos égarés abandonne la poésie crue de la rue pour la sensation de rêve éveillé.
Chronic'art.com
Ils sont rares les films qui donnent comme Mala noche, le sentiment d'avoir devant soi des étoiles filantes, qui brillent d'une extrême intensité tout en étant d'une fragilité cristalline, à la fois surpuissantes et menacées de se fêler au moindre choc.
Elle
(...) Un film éblouissant de liberté (...)
Fluctuat.net
Véritable découverte, Mala Noche porte en lui la grâce incertaine du premier film, ainsi qu'en germe l'oeuvre protéiforme et lumineuse d'un cinéaste sans pareil. Un bijou.
L'Humanité
Le noir et blanc, la précarité des moyens, loin d'être un handicap, sont les atouts de ce film, tourné dans la hâte comme s'il fallait fixer cette beauté et cette misère avant qu'elle disparaisse.
Le Point
Voir la critique sur www.lepoint.fr
Les Inrockuptibles
La réussite spécifique de ce premier long métrage tient, d'ailleurs, à la cohérence de ton que le metteur en scène arrive à insufler à ce melting-pot étrange de réalisme et d'expressionisme, de cinéma direct et de théatralité baroque.
Libération
(...) Ce Bukowski d'Oregon a réussi avec Mala Noche un chef-d'oeuvre. Pour William S. Burroughs (qui ne s'est jamais trompé), pour Allen Ginsberg, et accessoirement pour nous aussi.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Le Monde
Le jeune Van Sant tire, quant à lui, le récit du côté de la tradition du cinéma indépendant et expérimental américain, faisant feu de tout bois pour évoquer, par une esthétique syncopée et fragmentaire, la nature scandaleuse de son sujet.
MCinéma.com
C'est avant tout une rareté, avec dans le rôle central Tim Streeter, excellent acteur qui aurait mérité d'être connu plus tôt.
Paris Match
L'authenticité de cette première ballade sauvage et poétique annonce déjà "Drugstore Cowboy" qui révélera ce cinéaste au grand public.
Première
(...) le premier film de Gus Van Sant est une fulgurante découverte (...) Totalement maîtrisé, sans tics ni afféteries, ce journal intime d'un Blanc amoureux d'un Mexicain immigré clandestin affiche une mélancolie douce (...)
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
TéléCinéObs
Tous les thèmes de prédilection du cinéaste sont réunis dans cette balade sauvage : amours impossibles, solitude et marginalité.
Télérama
Jamais ensuite Gus Van Sant n'abordera l'homosexualité de façon si frontale et si crue. Jamais il ne donnera le sentiment de faire corps avec l'Amérique des rues autant que dans ce journal d'un oiseau de nuit jouant avec le feu, pour le plaisir de perdre.
aVoir-aLire.com
(...) Véritable réussite du cinéma indépendant des années 80. La remarquable naissance d'un auteur.
Ouest France
Des images en noir et blanc, pour une chronique rude et haletante (...)
Score
(...) un film mineur (...)