En pingre survolté, Christian Clavier en fait des tonnes, hystérique et agaçant. Toute cette agitation prévisible ne parvient pas à me faire beaucoup rire.
On sent la filiation voulu avec les bonnes vieilles comédies avec Louis de Funès. Problème pour moi : je ne suis pas forcément fan des cabotinages du modèle et en plus, celui qui se pose en héritier – Christian Clavier – m’exaspère au plus au point. Alors après, je ne dis pas, il y a un petit charme désuet à ce genre de comédie pantouflarde, pour ne pas parler de comédie de vieux beauf. Mais bon : je ne vais pas vous mentir, ça ne va pas très loin non plus et au final cela montre vite ces limites. Pas de quoi faire l’effort pour découvrir cette comédie insignifiante.
On ne reconnait plus le style de Gérard Oury dans cette farce irritante sur l'avarice moderne. En effet, avec un horripilant Christian Clavier en roue libre et une mise en scène fade pour des gags qui font au mieux sourire, "La soif de l'or" est un accident de parcours dans la carrière du réalisateur de "La grande Vadrouille" et du "corniaud".
Une histoire rigolote. Un homme avide dont le but est de déposer son argent en Suisse. Une grosse histoire grosse comme une montagne. Plusieurs situations coquasses.
Énième comédie de Gérard Oury qui, après Levy et Goliath et Vanille fraise, s’immisce dans les années 90. S’entourant de la big star française du moment, à savoir Christian Clavier, de l’inénarrable Catherine Jacob et de l’excellent Philippe Khorsand, Oury met donc en scène une histoire gentiment tirée par les cheveux, enchainant gags sur gags dans une comédie pour le moins originale. Retrouvant son côté burlesque d’antan, le metteur en scène narre donc les péripéties d’Urbain Donnadieu, un Picsou moderne, véritable pingre richissime voulant toujours plus d’argent. Aux côtés de sa mère aussi radine que lui (géniale Tsilla Chelton), notre businessman va vivre une folle aventure en affrontant sa femme, l’amant de celle-ci et une horde de faux-semblants. Vous l’aurez compris, la folie s’est emparée des scénaristes qui nous livrent ici une aventure rocambolesque qui n’a cependant rien à envier aux productions américaines. Courses-poursuites, quiproquos, querelles multiples et passages lourdingues sont donc continuellement au programme d’une comédie envolée un peu poussive mais néanmoins plaisante, le réalisateur de La grande vadrouille ayant fait assurément beaucoup mieux dans le passé.
Un scénario certes original pour une comédie inutile dont on ne se souviendra que du titre. Christian Clavier est tout de même drôle, comme à l'accoutumée, mais cela ne suffit malheureusement pas.
Ce film avec cristian clavier ressemble à l'avare mais ce film est moins marrant malheureusement. Ce film reste donc moyen et je ne vous encourage donc pas à voir ce film qui ne comporte pas trop de blagues.
Hilarant! Une histoir sympa bien écrite et super drôle. Un Clavier grandiose et tellement marrant avec ses répliques si loufoques parfois. Oury assure à la réalisation comme à son habitude.
La soif de l'or ou comment étre nostalgique devant tant de savoir faire francais du début des 90's.En effet, devant la caméra de Gerard Oury Clavier était un autre homme que maintenant sachant faire rire et suscitant la comparaison avec de Funés meme si le fossé reste énorme.La soif de l'or a tous les ingrédients d'une bonne comédie de l'époque a coté des films de Jean Marie Poiré ou autres grâce à son scénario globalement crédible et à ses dialogues simples mais efficaces.Bref la soif de l'or n'est pas culte mais se doit d'étre regardé par tous les fans des 90's
Gros nanar de Gérard Oury, Christian Clavier se défend comme il peut dans des situations plus ou moins comiques. Une intrigue inexistante, une mise en scène brouillonne, c'est marrant mais c'est un tout petit con...