Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
13 critiques presse
Bande à part
par Mary Noelle Dana
Tous les éléments d’un grand, très grand film, à la croisée du documentaire et de la fiction, sont ici réunis avec une prouesse stupéfiante.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
Cahiers du Cinéma
par Ariel Schweitzer
Travaillées comme une chorégraphie théâtrale, les séquences font se télescoper différentes époques (…) au sein du même décor (…) et parfois à l’intérieur du même plan. Une mise en scène qui permet de lire le présent à la lumière du passé.
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Nathalie Chifflet
Les femmes de ce film sont les porte-voix d’un droit qu’il ne faut jamais cesser de revendiquer, à tout âge : le droit à jouir, à désirer, à exister.
Le Dauphiné Libéré
par Nathalie Chifflet
Une célébration du désir des femmes, même dans la vieillesse.
Le Journal du Dimanche
par Baptiste Thion
Au fil des plans séquences, se dessine un portrait collectif touchant et féministe abordant de nombreux sujets, même celui de la masturbation.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Première
par Thierry Chèze
A la manière des Filles d’Olfa et de Little girl blue, Antonella Sudassassi Furniss entremêle docu et fiction pour raconter Ana et faire entendre à travers elle les voix d’autres femmes victimes des mêmes abus, dans une mise en scène inventive peuplée de moments poétiques qui maintiennent le film sur un fil entre rudesse et tendresse, racontant une femme refusant de s’apitoyer sur son sort mais impatiente des beaux moments à venir.
La critique complète est disponible sur le site Première
Transfuge
par Séverine Danflous
La prouesse de ces "Mémoires d'un corps brûlant" est de ne pas asséner un message malgré sa note d'intention hautement affirmée.
Télérama
par Guillemette Odicino
Une expérience forte.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Abus de Ciné
par Olivier Bachelard
Une belle incarnation des non-dits autour du désir et du corps féminin.
La critique complète est disponible sur le site Abus de Ciné
L'Obs
par Xavier Leherpeur
Entre documentaire et fiction, la cinéaste costaricaine Antonella Sudasassi Furniss livre avec « Mémoires d’un corps brûlant » une réflexion esthétique sur le tabou de la sexualité féminine à la fois réjouissante et d’une originalité absolue.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Les Inrockuptibles
par Marilou Duponchel
Pour son deuxième long métrage, la réalisatrice Antonella Sudasassi Furniss réalise un film hybride et passionnant sur l’oppression (domestique, conjugale…) faite aux femmes.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Le Monde
par Cl. F.
Des premières règles au mariage, en passant par les mauvais traitements, pour atteindre enfin, après le divorce, le plaisir à la soixantaine, le récit a la force et les limites d’un récit choral, dont on devine malheureusement les détours.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Fiches du Cinéma
par Marine Quinchon
La réalisatrice choisit d’évoquer la sexualité des anciens à travers un personnage fictionnel nourri de témoignages bien réels souvent passionnants, ce qui malheureusement ne transparaît pas à l’image, trop aseptisée.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Bande à part
Tous les éléments d’un grand, très grand film, à la croisée du documentaire et de la fiction, sont ici réunis avec une prouesse stupéfiante.
Cahiers du Cinéma
Travaillées comme une chorégraphie théâtrale, les séquences font se télescoper différentes époques (…) au sein du même décor (…) et parfois à l’intérieur du même plan. Une mise en scène qui permet de lire le présent à la lumière du passé.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Les femmes de ce film sont les porte-voix d’un droit qu’il ne faut jamais cesser de revendiquer, à tout âge : le droit à jouir, à désirer, à exister.
Le Dauphiné Libéré
Une célébration du désir des femmes, même dans la vieillesse.
Le Journal du Dimanche
Au fil des plans séquences, se dessine un portrait collectif touchant et féministe abordant de nombreux sujets, même celui de la masturbation.
Première
A la manière des Filles d’Olfa et de Little girl blue, Antonella Sudassassi Furniss entremêle docu et fiction pour raconter Ana et faire entendre à travers elle les voix d’autres femmes victimes des mêmes abus, dans une mise en scène inventive peuplée de moments poétiques qui maintiennent le film sur un fil entre rudesse et tendresse, racontant une femme refusant de s’apitoyer sur son sort mais impatiente des beaux moments à venir.
Transfuge
La prouesse de ces "Mémoires d'un corps brûlant" est de ne pas asséner un message malgré sa note d'intention hautement affirmée.
Télérama
Une expérience forte.
Abus de Ciné
Une belle incarnation des non-dits autour du désir et du corps féminin.
L'Obs
Entre documentaire et fiction, la cinéaste costaricaine Antonella Sudasassi Furniss livre avec « Mémoires d’un corps brûlant » une réflexion esthétique sur le tabou de la sexualité féminine à la fois réjouissante et d’une originalité absolue.
Les Inrockuptibles
Pour son deuxième long métrage, la réalisatrice Antonella Sudasassi Furniss réalise un film hybride et passionnant sur l’oppression (domestique, conjugale…) faite aux femmes.
Le Monde
Des premières règles au mariage, en passant par les mauvais traitements, pour atteindre enfin, après le divorce, le plaisir à la soixantaine, le récit a la force et les limites d’un récit choral, dont on devine malheureusement les détours.
Les Fiches du Cinéma
La réalisatrice choisit d’évoquer la sexualité des anciens à travers un personnage fictionnel nourri de témoignages bien réels souvent passionnants, ce qui malheureusement ne transparaît pas à l’image, trop aseptisée.