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Fabios Om
52 abonnés
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2,5
Publiée le 13 octobre 2021
Esce que j'ai regarder ce film uniquement parce qu'il ce passe à Clermont-Ferrand dans ma région pas loin de chez moi le moins que l'on puisse dire c'est que j'ai était déçu ! Oui absolument cela est en dit on ne reconnaît plus à notre époque le Clermont décrit, et monter ici. un peu trop de bla-bla pas assez d'action pour un film qui tourne quand même autour d'un mort, de plusieurs personne qui absolument retrouvé l'argent de ce dernier en chassant un camionneur . ce film aurait pu avec ce sujet être largement mieux en terme d'écriture, réalisation , Histoire aussi . Après on veux savoir comment le film fini ce qui n'est pas toujours le cas donc c'est un plus , certains acteur qui était jeune ici sont presque méconnaissable c'est le cas notamment de Roger Hanin , Jeanne Moreau .
résumer :
Alors qu'il fait nuit noire et qu'il pleut à verse, le camion de Jean Chappe roule sur un corps étendu sur la chaussée, à côté de sa voiture. Cet homme avait participé quelques heures auparavant à un braquage sanglant. Ses complices retrouvent Jean et tentent de l'intimider, pensant qu'il a récupéré le butin du braquage lors de l'accident.
Une série noire à la française, mais à un niveau supérieur à la moyenne. L'ensemble ne manque pas de qualités : la mise en scène de Grangier est très correcte et la distribution a du répondant, avec une belle pléiade de seconds couteaux (Bozzuffi, Hanin, Dinan ...). Gabin, avec sa présence habituelle, livre une composition puissante. Du travail solide.
Un film relativement bien restauré et numérisé par les studios TF1, mais très inégal. Le scénario est plutôt faiblard avec cette histoire de bon routiers et de mauvais garçons, l'image tremblante, ma musique envahissante. Il n'en reste pas moins que le film renvoie de façon aujourd'hui nostalgique à la France profonds des années 50, celle du Puy-de-Dôme avec ses petites routes, ses bornes Michelin, ses voitures Vedette et Traction, ses gendarmes débonnaires, ses écoliers en tablier, ses relais routiers sympas et la franche camaraderie et solidarité entre camionneurs. On apprécie aussi les dialogues de Michel Audiard, bien servis par Jean Gabin, Jeanne Moreau et le débutant d'alors, Roger Hanin
Pour un film réalisé il y a plus de 6o ans, ce polar de Gilles Grangier n'a pas trop mal vieilli ; une histoire reste une histoire, même en N&B qui lui donne un certain charme. On y retrouve des acteurs attachants comme Robert Dalban ou Jeanne Moreau. Quant à Jean Gabin, il reste comme toujours efficace dans le rôle principal du chauffeur routier Jean Chape, un dur qui n'aime pas avoir à faire à la police et préfère régler ses comptes lui-même. A l'affiche, on découvre également, Marcel Bozzuffi le chauffeur collègue de Jean Chape et Roger Hanin, non pas en commissaire, mais dans la peau d'un gangster. Outre sa distribution, ce film bénéficie d'un autre atout comme ses dialogues de Michel Audiard ; dommage que son scénario soit si mince. Il nous offre une histoire, certes intéressante, mais évoluant avec une lenteur désespérante.
Un des nombreux films avec le duo Gabin-Grangierr (et Audiard ici en prime): celui-ci est assez bon, une bonne mise en scène avec des acteurs interessants (Jeanne Moreau et Roger Hanin). Un petit polar classique avec une ambiance originale.
Peut-être un des innombrables spécimens de films charnière...spoiler: Une fin heureuse , un Michel Audiard au mieux de sa forme et d'excellents acteurs pas forcément renommés pour présenter un bon vieux road-movie d'antan, une histoire franchouillarde rustique mais pleine de douceur.
Un polar lent et mou, qui ne permet pas aux comédiens (Gabin y compris) de donner la pleine mesure de leur talent. Mêmes les dialogues d'Audiard manquent de punch. Restent les images de la France provinciale et populaire des années 50 que l'on regarde presque en ethnologue ...
Du rififi chez les routiers attention cascades, avec des vitesses folles de 30km/h au moins, énormes! C'était le temps ou Hanin jouait coté voleurs. Vous l'avez compris l'intérêt principal du film c'est son age qui permet de voir un peu les routes de france de l'époque. Le reste n'est pas désagréable mais rien d'excitant.
Jean Gabin se retrouve embarqué bien malgré lui dans une drôle de galère. Dans «Gas-Oil» de Gilles Grangier, il est un honnête chauffeur routier qui suite à une vicieuse machination va devenir la cible d'un gang qui recherche 50 millions. A la tête de ce gang, Roger Hanin qui débutait sa carrière. Bien que son idée de départ soit bonne, «Gas-Oil» est un film qui ne trouve pas son rythme, qui s'embourbe dans sa lenteur, qui ne parvient jamais à décoller et qui au bout du compte provoque plus l'ennui qu'autre chose. Même les dialogues de Michel Audiard, réputés pour être tranchants n'apportent pas grand chose. Au final, le seul réel intérêt de ce film c'est la présence de Jean Gabin qui fait à nouveau parler son charisme légendaire.
Adapté du roman « Du raisin dans le gas-oil » (paru en 1954 dans la « Série Noire » sous le n°217) de Georges BAYLE (1918-1987), le film n’est pas dénué d’attraits : on y retrouve, outre Jean GABIN (1904-1976), 51 ans (2e collaboration sur 12 avec le réalisateur), dans le rôle de Jean Chape, camionneur, et Jeanne MOREAU (1928-2017), 27 ans, dans le rôle d’Alice, institutrice, et Ginette LECLERC (1912-1992), 43 ans, et toute une brochette de seconds rôles français [Henri CREMIEUX (1896-1980), Marcel BOZZUFFI (1929-1988), Robert DALBAN (1903-1987), Roger HANIN (1925-2015), Jean LEFEBVRE (1919-2004), Jacques MARIN (1919-2001)]. Le film constitue aussi, par son naturalisme, un document sur la France des années 1950’ surtout en province (tournage aux alentours de Clermont-Ferrand, dans les Monts-Dômes (Aydat) et les Monts Dore (Murol) et a un côté sociologique sur la profession de camionneur où ses membres font preuve de solidarité [la scène de blocage des malfrats en voiture par les camions se retrouvera, dans un contexte différent, dans « La menace » (1977) d’Alain Corneau (1943-2010)]. Enfin, les dialogues de Michel Audiard (1920-1985), 2e collaboration sur 14 avec le réalisateur et 17 films avec Jean Gabin, sont savoureux.
Jean Gabin incarne un prolétaire d'une façon comme on l'a vu faire bien souvent. Ce routier sympa (il l'est encore la même année avec Henri Verneuil, dans "Des gens sans importance") est l'amant d'une institutrice -rôle sans réelle utilité- tellement plus jeune qu'on croit encore moins à Gabin amant que Gabin routier...Il faut dire que son jeu inexpressif enlève beaucoup d'intérêt à son personnage. Jean Chape est suspecté par des truands d'avoir subtilisé le butin d'un complice qu'il a accidentellement écrasé au volant de son camion. C'est le début d'une intrigue que Grangier met un temps en sommeil, s'attachant pour l'instant à mettre en scène une sorte de chronique ouvrière et provinciale, chronique à laquelle on accorde peu de crédit tant elle manque d'une véritable dimension sociologique et de seconds rôles significatifs. Sobrement mais superficiellement, Grangier évoque le labeur des routiers puis, avec le retour de l'intrigue en tant que telle spoiler: et l'arrivée au village des truand s, leurs solidarité corporatiste. Comme en témoigne le dénouement spectaculaire -le seul moment fort du film- et ses scènes d'action d'un bel effet qui closent un récit volontairement simple mais sans grand relief.
Malgré la présence de quelques grandes gueules du cinéma français de l’époque et des dialogues signés Michel Audiard, ce film de Gilles Grangier, réalisé en 1955, demeure bien fade. Cette déception est en grande partie due à une intrigue policière peu crédible et un déroulement très lent. L’histoire de ce chauffeur de camion (Jean Gabin, dans son traditionnel habit d’homme bourru au grand cœur) poursuivi par une bande de gangsters peine à trouver son rythme. Les présences de Jeanne Moreau et Ginette Leclerc, cantonnées dans des rôles de faire-valoir, apportent leur petite dose de sensualité. On notera également l’une des premières apparitions sur grand écran de Roger Hanin. Bref, au-delà de son caractère nostalgique, l’œuvre ne parait pas indispensable.
C'était l'époque où les gens allaient au cinéma pour voir des choses qui maintenant sont inintéressantes. ( Les camions et les camions et les camions ça va bien 5 minutes mais là ça dure 1H20 !)Et franchement à part Gabin et Moreau quel intêret !
Amusant de voir le monde des routiers de campagne des années 50. Malgré tout, ce film est poids lourd dans tous les sens du terme: un peu lent notamment. Heureusement que Jean Gabin est là.