Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
6 critiques presse
Cahiers du Cinéma
par Ariel Schweitzer
[…] satire d’une certaine conception du cinéma indépendant qui, malgré son ambition d’échapper aux dérives de l’industrie, obéirait à la même logique économique et aux mêmes rapports de force que le cinéma commercial.
L'Obs
par Xavier Leherpeur
Fantaisie et mélancolie innervent ce joyeux bordel mis en scène avec une belle rigueur et beaucoup d’amour pour ses comédiens, la délicieuse Michèle Brousse en tête.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Libération
par Camille Nevers
Cela au risque de n’en rien faire, pas même un film. C’est ce que le Naméssime entreprend, attachant travail de sape champêtre, autodestruction autoproduite et farce déprimée : pourquoi un film plutôt que rien ? Pour l’infime désordre et l’idiotie mystique mais collective qu’un tournage favorise.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Première
par Manon Bellahcene
Le cinéaste raté touche du bout des doigts cette chimère inextricable, par le biais du pitoyable, où les tentatives comiques prennent l'eau. Et comme spectateur, on assiste presque avec embarras à une méthode qui instaure la confusion aussi bien on set que dans l’esprit.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télérama
par Nicolas Didier
Avec un budget modeste, ce premier long raconte la genèse d’un film fauché, dans une maison à la campagne, par un cinéaste-gourou voulant se laisser guider par le hasard. D’où un humour assez laborieux, entre improvisations ineptes (quand la caméra tourne) et attentes absurdes (quand elle ne tourne pas).
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Les Fiches du Cinéma
par Thomas Fouet
Une comédie brouillonne, à l’écriture approximative, mais jamais antipathique - c’est déjà ça.
Cahiers du Cinéma
[…] satire d’une certaine conception du cinéma indépendant qui, malgré son ambition d’échapper aux dérives de l’industrie, obéirait à la même logique économique et aux mêmes rapports de force que le cinéma commercial.
L'Obs
Fantaisie et mélancolie innervent ce joyeux bordel mis en scène avec une belle rigueur et beaucoup d’amour pour ses comédiens, la délicieuse Michèle Brousse en tête.
Libération
Cela au risque de n’en rien faire, pas même un film. C’est ce que le Naméssime entreprend, attachant travail de sape champêtre, autodestruction autoproduite et farce déprimée : pourquoi un film plutôt que rien ? Pour l’infime désordre et l’idiotie mystique mais collective qu’un tournage favorise.
Première
Le cinéaste raté touche du bout des doigts cette chimère inextricable, par le biais du pitoyable, où les tentatives comiques prennent l'eau. Et comme spectateur, on assiste presque avec embarras à une méthode qui instaure la confusion aussi bien on set que dans l’esprit.
Télérama
Avec un budget modeste, ce premier long raconte la genèse d’un film fauché, dans une maison à la campagne, par un cinéaste-gourou voulant se laisser guider par le hasard. D’où un humour assez laborieux, entre improvisations ineptes (quand la caméra tourne) et attentes absurdes (quand elle ne tourne pas).
Les Fiches du Cinéma
Une comédie brouillonne, à l’écriture approximative, mais jamais antipathique - c’est déjà ça.