Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
16 critiques presse
CinemaTeaser
par Emmanuelle Spadacenta
Drôle de proposition de film d’animation, documentaire chelou, (l)egotrip rigolo et inoffensif. Être conscient de ce qu’est Piece By Piece garantit de passer un excellent moment.
La critique complète est disponible sur le site CinemaTeaser
GQ
par Chérine Bouafassa
Ce qui rend ce "Piece by Piece" singulier, c’est la manière dont il invite le spectateur à explorer la notion de déconstruction. Le format LEGO n’est pas un simple artifice esthétique, il devient le fondement d’une réflexion plus large sur la nature de la créativité.
La critique complète est disponible sur le site GQ
Le Parisien
par Renaud Baronian
Multipliant les audaces visuelles, bourré de hits musicaux du début à la fin, ce film certes hagiographique mais remuant, coloré et très inventif en met plein les yeux et les oreilles.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Echos
par Adrien Gombeaud
La vie de Pharrell Williams raconté en Lego. Ou comment une idée saugrenue aboutit à un portrait funky, amusant et diablement malin.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
20 Minutes
par Caroline Vié
Pharrell Williams a coproduit le film dans lequel il ne souhaitait pas apparaître physiquement. Visuellement superbe, il manque un peu de relief et reste trop sage pour convaincre totalement.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Konbini
par Arthur Cios
Sorte de faux biopic/docu sur Pharrell Williams en animation façon Lego, le film est surtout l’occasion de se replonger dans un des plus beaux CV de l’industrie musicale actuelle.
Télé Loisirs
par M.A.
Un résultat amusant qui vaut plus pour sa créativité visuelle que pour son récit, qui reste pour sa part simpliste et assez classique.
Télérama
par Yohan Haddad
Si le talent de Pharrell est indéniable, on regrette toutefois une absence de recul quant à ses défauts, à peine effleurés, ainsi qu’un manque de considération pour ses collaborateurs, relégués au second plan.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Abus de Ciné
par Christophe Brangé
À l’image du plastique qui anime les protagonistes, tout semble mécanique, contrôlé, et in fine sans âme. Un exercice de style à probablement limiter aux plus grands fans de Pharrell.
La critique complète est disponible sur le site Abus de Ciné
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Thibault Liessi
Si l’animation en 3D façon Lego offre de jolies séquences, elle ne permet pas à Piece by Piece, qui narre la vie de Pharrell Williams, de se démarquer des autres documentaires musicaux. Pire, certaines briques sont manquantes…
Le Dauphiné Libéré
par Thibault Liessi
Pharrell Williams et Lego, un duo qui ne casse pas des briques.
Les Fiches du Cinéma
par Marine Quinchon
Entre documentaire et biopic, le long métrage, dont on peine à comprendre à qui il s’adresse, ne parvient jamais à émouvoir ou intéresser.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Nice-Matin
par Cédric Coppola
Ceux qui apprécient modérément le musicien trouveront le film très plat… Entendre pendant 1 h 34 que Pharrell Williams était un génie précoce, qu’il a su fédérer autour de lui et surmonter quelques obstacles artistiques avec brio, finit par lasser. Pour contrebalancer a minima le propos, « Piece by Piece » s’attarde cinq minutes sur un passage post « Happy » où le principal intéressé a pris la grosse tête et n’arrivait plus à séduire le public.
L'Obs
par Xavier Leherpeur
Voilà un film pour personne (sinon pour Williams lui-même), réalisé en Lego avec sans doute l’arrière-pensée mercantile de commercialiser les boîtes de figurines dérivées du film et d’empocher ainsi de juteuses royalties.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Libération
par Lelo Jimmy Batista
Sans aspérités ni enjeux dramatiques, le biopic de la star version briques en plastique charrie le cortège habituel de clichés et commentaires ineptes mais ne raconte strictement rien.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Première
par Sylvestre Picard
Bref, une sacrée pile de propagande où tout s'imbrique comme par magie, même le drame de la perte de la grand-mère placée juste avant la fin, comme dans un banal blockbuster. La seule scène à sauver ? L'intervention très drôle de Snoop Dogg, dans un brouillard de beuh, remplacé par du « Spray Tous Publics ». Le seul moment où le film s'amuse vraiment avec sa forme.
La critique complète est disponible sur le site Première
CinemaTeaser
Drôle de proposition de film d’animation, documentaire chelou, (l)egotrip rigolo et inoffensif. Être conscient de ce qu’est Piece By Piece garantit de passer un excellent moment.
GQ
Ce qui rend ce "Piece by Piece" singulier, c’est la manière dont il invite le spectateur à explorer la notion de déconstruction. Le format LEGO n’est pas un simple artifice esthétique, il devient le fondement d’une réflexion plus large sur la nature de la créativité.
Le Parisien
Multipliant les audaces visuelles, bourré de hits musicaux du début à la fin, ce film certes hagiographique mais remuant, coloré et très inventif en met plein les yeux et les oreilles.
Les Echos
La vie de Pharrell Williams raconté en Lego. Ou comment une idée saugrenue aboutit à un portrait funky, amusant et diablement malin.
20 Minutes
Pharrell Williams a coproduit le film dans lequel il ne souhaitait pas apparaître physiquement. Visuellement superbe, il manque un peu de relief et reste trop sage pour convaincre totalement.
Konbini
Sorte de faux biopic/docu sur Pharrell Williams en animation façon Lego, le film est surtout l’occasion de se replonger dans un des plus beaux CV de l’industrie musicale actuelle.
Télé Loisirs
Un résultat amusant qui vaut plus pour sa créativité visuelle que pour son récit, qui reste pour sa part simpliste et assez classique.
Télérama
Si le talent de Pharrell est indéniable, on regrette toutefois une absence de recul quant à ses défauts, à peine effleurés, ainsi qu’un manque de considération pour ses collaborateurs, relégués au second plan.
Abus de Ciné
À l’image du plastique qui anime les protagonistes, tout semble mécanique, contrôlé, et in fine sans âme. Un exercice de style à probablement limiter aux plus grands fans de Pharrell.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Si l’animation en 3D façon Lego offre de jolies séquences, elle ne permet pas à Piece by Piece, qui narre la vie de Pharrell Williams, de se démarquer des autres documentaires musicaux. Pire, certaines briques sont manquantes…
Le Dauphiné Libéré
Pharrell Williams et Lego, un duo qui ne casse pas des briques.
Les Fiches du Cinéma
Entre documentaire et biopic, le long métrage, dont on peine à comprendre à qui il s’adresse, ne parvient jamais à émouvoir ou intéresser.
Nice-Matin
Ceux qui apprécient modérément le musicien trouveront le film très plat… Entendre pendant 1 h 34 que Pharrell Williams était un génie précoce, qu’il a su fédérer autour de lui et surmonter quelques obstacles artistiques avec brio, finit par lasser. Pour contrebalancer a minima le propos, « Piece by Piece » s’attarde cinq minutes sur un passage post « Happy » où le principal intéressé a pris la grosse tête et n’arrivait plus à séduire le public.
L'Obs
Voilà un film pour personne (sinon pour Williams lui-même), réalisé en Lego avec sans doute l’arrière-pensée mercantile de commercialiser les boîtes de figurines dérivées du film et d’empocher ainsi de juteuses royalties.
Libération
Sans aspérités ni enjeux dramatiques, le biopic de la star version briques en plastique charrie le cortège habituel de clichés et commentaires ineptes mais ne raconte strictement rien.
Première
Bref, une sacrée pile de propagande où tout s'imbrique comme par magie, même le drame de la perte de la grand-mère placée juste avant la fin, comme dans un banal blockbuster. La seule scène à sauver ? L'intervention très drôle de Snoop Dogg, dans un brouillard de beuh, remplacé par du « Spray Tous Publics ». Le seul moment où le film s'amuse vraiment avec sa forme.