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    La Chambre d’à côté
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    Didier Albessart
    Didier Albessart

    51 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 9 janvier 2025
    Almodovar est un grand cinéaste. Sa chambre d'à côté est un petit film snob et bavard. Il y a toujours la belle musique d'Iglesias, toujours ce sens du cadre et ce goût de la répartition des couleurs... mais c'est tout...Les deux comédiennes excellentes ne peuvent sauver tant de clichés et de redites. C'est "directed by Almodovar" : le prénom à disparu. Le symbole d'une régression et d'un manque d'inspiration.
    Fablegrand
    Fablegrand

    3 abonnés 43 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 9 janvier 2025
    Du très bon almodovar mais quel film un film vrai sur le suicide assister avec ces doutes et ces conséquences une grande histoire de vie les actrices sont sublime jusqu a la mort excellent
    norman06
    norman06

    355 abonnés 1 680 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 9 janvier 2025
    L'un des meilleurs films du cinéaste, qui retrouve ses thèmes familiers dont celui de la mort. Une merveille d'épure, admirablement servie par deux des plus grandes mondiales.
    Jean Pierre Angelini
    Jean Pierre Angelini

    2 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 9 janvier 2025
    Film de grande qualité tant par l'interprétation des deux actrices principales que par la patte typiquement almodovarienne
    Iloonoyeil
    Iloonoyeil

    43 abonnés 261 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 9 janvier 2025
    Bonjour tout le monde, Voici le plus récent film de Pedro Almodovar. Cette œuvre cinématographique traite d' une problématique humaine ardue et complexe. Chaque plan séquence est savamment coloré et filmé avec l'amour du septième art! Toutefois, la musique extra -diégétique aurait mérité de toucher plus notre sensibilité ,de mon point de vue. Cordialement. Gérard Michel
    mat niro
    mat niro

    366 abonnés 1 846 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 9 janvier 2025
    Pedro Almodovar signe un film poignant sur l'amitié avec comme toile de fond la maladie, tout en nous interrogeant sur la fin de vie. Martha (Tilda Swinton) et Ingrid (Julianne Moore) se retrouvent dans des circonstances terribles pour la première. Elle va pouvoir compter sur le soutien sans faille de son amie et confidente. Ce mélo est porté par deux actrices superbes et le cinéaste espagnol s'essaie à la langue anglaise avec succès. Le bémol est à mes yeux le fait de vouloir un peu trop "intellectualiser" les relations de ces deux bourgeoises. Pour le reste, l'ensemble est une réussite qui questionne sur l'amitié, la maladie ou la mort, bref, la vie!
    Gėrard Michel
    Gėrard Michel

    1 critique Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 9 janvier 2025
    Bonjour tout le monde, Voici le nouveau film de Pedro Almodovar qui traite d' un thème ardu et complexe. Cela est filmé de main de maître et avec brio . Chaque plan séquence est savamment coloré et cadré. Un grand film où la musique extra -diégétique est toutefois assez discrète et peu prégnante de mon point de vue . Cordialement. Gérard Michel
    cinono1
    cinono1

    312 abonnés 2 071 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 9 janvier 2025
    Pedro Almodovar a réalisé une œuvre testamentaire. Une œuvre élégante et pleine de questions autour de cette grande inconnue qui nous attend tous. Il en profite pour prendre position autour de l'euthanasie et s'interroger sur le devenir du monde. Son film est très beau, heureusement, car il finit par faire penser à une dissertation sur la mort, réalisé par un monsieur tres agé et un peu abattu, c'est une œuvre tres et trop maîtrisée, dépourvu de rebondissements narratifs et de débordements. Belles compositions de Julianne Moore et Tilda Swinton tout de même.
    Yves G.
    Yves G.

    1 518 abonnés 3 534 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 8 janvier 2025
    Ingrid (Julianne Moore), écrivaine new yorkaise à succès, avait perdu le contact avec Martha (Tilda Swinton), journaliste de guerre, qu’elle retrouve mourante, en phase terminale d’un cancer de l’utérus. Elle accepte de l’accompagner dans ses derniers jours.

    À 75 ans passés, le maestro espagnol, qui a incarné la Movida et conteste à Buñuel le titre de plus grand réalisateur espagnol de tous les temps, n’a plus rien à prouver. Loin de se reposer sur ses lauriers, il continue inlassablement à réaliser des chefs d’oeuvre. Il creuse le sillon dans lequel il excelle : filmer des femmes dans des toilettes d’une folle élégance et des décors d’une flamboyance formelle millimétrée.

    Si je devais me réincarner, j’aimerais être une corbeille à fruits dans un décor d’Almodovar. Dans "La Chambre d’à côté", Almodovar utilise peu de décors ; mais ils frisent tous la perfection. L’action commence à New York. On y voit Ingrid dans son appartement, dans la chambre d’hôpital de Martha et, quand elle en sort après sa dernière chimio, dans l’appartement de celle-ci. La seconde moitié du film se déroule up-state, comme disent les New Yorkais, dans le nord de l’Etat, en remontant l’Hudson, près de Woodstock (j’en parle comme si la région m’était familière alors que je n’y ai jamais mis les pieds !), dans une maison sublime. Cet enchevêtrement de volumes cubiques en cascade, extraordinairement lumineux, a été construit en 2020. Cette construction n’est en réalité pas située aux Etats-Unis, comme l’action du film, mais dans la banlieue de Madrid.

    "La Chambre d’à côté" peut se regarder comme un film sur la fin de vie, sur l’euthanasie, sur la dignité de mourir, sur l’amitié et la sororité jusque dans ces instants ultimes. Mais il ne se réduit pas à cela. Almodovar a le génie d’ajouter à son scénario une note sourde et lancinante, celle d’un thriller qu’on soupçonne et dont on attend qu’il se révèle : Martha est-elle vraiment mourante ? n’attire-t-elle pas Ingrid dans un piège ? n’entend-elle pas se venger de son amie qui, vingt années plus tôt, avait eu une liaison avec son amant, Damian (John Turturro) ?

    Je serais curieux de lire le livre "Quel est donc ton tourment ?" de Sigrid Nunez, dont "La Chambre d’à côté" est l’adaptation, pour voir si, avec autant de subtilité, les deux niveaux de lecture y sont entremêlés ou bien si c’est un ajout d’Almodovar auquel l’admiration révérencieuse que je lui porte me prête peut-être à imaginer plus de talent encore qu’il n’en a.
    Omg151
    Omg151

    69 abonnés 51 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 8 janvier 2025
    Quelle déception ! Après ses deux courts métrages anecdotiques sponsorisés par des marques de luxe, Almodovar continue à vivre dans sa bulle chic et toc de luxe, coupé du monde, à discourir de manière lourde et sentencieuse sur l'état du monde, sur le mode, c'était mieux avant... L'extrème droite, l'écologie, l'euthanasie... tout y passe, sans oublier la playlist de ses films préférés, de très bon gout évidemment. ça se voudrait profond et émouvant et c'est juste snob et chic, réservé à une élite de pauvre gens riches qu'on ne laisse pas mourir en paix... Les actrices sont au garde à vous, mais les dialogues en anglais apparaissent souvent didactiques et les personnages sont très évanescents. La pauvre Julianne Moore joue les utilités pour faire briller sa copine. Quant on pense à la vitalité, la transgression, l'humour et la joie de ses premiers films, on ne peut que souscrire à ce vieil adage : la vieillesse est un naufrage.
    Tofol.
    Tofol.

    3 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 8 janvier 2025
    Almodovar à la sauce Hollywood !!! Sacre Dieu, qu'allait il rester de l'esprit Movida qui, même beaucoup léger dans ses dernières œuvres, continuait de soupoudrer son cinéma !
    Ouf, Almodovar a gardé sa signature, sa caméra, sa photographie, ses décors et ses couleurs (sa signature éternelle selon moi). Il a même gardé ses actrices, certes nouvelles (presque seulement pour Tilda Swinton qui a déjà collaboré avec le maître madrilène dans "The Room Next Door", sorti en 2024), mais filmées tel qu'il sait le faire.
    Polar, mélo, drame brut, satire sociale Almodovar mélange les genres et nous entraîne dans un suspense à l'issue inévitable. La question n'est pas "qui va mourir ?" Mais quand cela va-t-il arriver et quelles en seront les conséquences ? La symbolique de la porte nous fait frémir à chaque montée de marches de Julianne Moore ! Allez, encore un jour... et l'on respire avec elle ce ouf de soulagement.
    Et que dire de l'hommage manifeste à "The Dead (Gens de Dublin)" de John Huston (et James Joyce), cité et récité à de multiples reprises... Même les plans d'extérieurs nous rappellent l'ambiance mythique et mystique de l'œuvre ultime de Huston : la neige tombe sur New-York en flocons roses, la neige tombe sur la forêt comme un linceul inéluctable et une poésie hors du temps !
    Petit bémol sur deux scènes flash-back qui ne rajoute rien à l'intensité des relations de ses deux femmes en face à face, tant entre elles, que chacune séparément avec son propre bilan de vie.
    Un bien bel Almodovar que ce cru 2025 !
    weihnachtsmann
    weihnachtsmann

    1 212 abonnés 5 234 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 7 janvier 2025
    Almodovar filme sobrement et avec élégance le drame de cette femme.
    C’est quelque peu froid. Pas de mélodrame dans cette histoire émouvante mais de l’amitié et de la chaleur humaine. C’est certainement ce que veulent les gens au moment de leur mort.
    Le cinéaste a complètement quitté le monde débordant et folklorique de ses débuts pour arriver à une épure tout à fait convaincante.
    Yael
    Yael

    1 critique Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 6 janvier 2025
    « La Chambre d’à côté » : Almodóvar face à l’essentiel

    En 2024, Pedro Almodóvar a publié Le Dernier Rêve, un recueil de nouvelles décrit comme une « autobiographie fragmentaire ».

    Mais c’est surtout avec La Chambre d’à côté, son premier long-métrage tourné en anglais, qu’il franchit une nouvelle étape dans sa carrière. Adapté du roman What Are You Going Through de Sigrid Nunez, le film réunit Julianne Moore et Tilda Swinton dans une œuvre profondément méditative où la mort, omniprésente dans l’œuvre du réalisateur, est abordée avec une retenue inédite.

    Cependant, ce tournant vers l’introspection ne date pas d’hier : Douleur et gloire (Pain & Glory, 2019), avec son récit autobiographique mêlé de souvenirs, de maladie et de réconciliation, marquait déjà un jalon. Ce film ouvrait la voie à une réflexion plus intime sur la mémoire et la finitude. Strange Way of Life, son court-métrage présenté à Cannes en 2023, explorait également les regrets et les adieux à travers la figure du western, genre classique associé à la fatalité et au destin.

    Avec La Chambre d’à côté, Almodóvar pousse cette exploration encore plus loin.

    L’amitié comme dernier refuge

    Les femmes sont toujours au cœur du cinéma d’Almodóvar. Elles portent des secrets, des blessures et des drames familiaux, mais elles trouvent la force de se reconstruire. Le réalisateur a exploré la maternité sous toutes ses formes dans Talons aiguilles (1991), Tout sur ma mère (1999), Volver (2006), La Fleur de mon secret (1995) et Julieta (2016).

    Il a également filmé des amours passionnés et ambivalents, comme dans La Loi du désir (1987), Julieta ou Parle avec elle(2002). Mais ces histoires sont souvent marquées par des écarts d’âge ou des relations complexes.

    Dans La Chambre d’à côté, Almodóvar raconte une autre forme d’amour : l’amitié, dans ce qu’elle a de plus dépouillé. Martha (Tilda Swinton), atteinte d’un cancer en phase terminale, demande à Ingrid (Julianne Moore), une amie de longue date qu’elle n’avait pas revue depuis longtemps, de l’accompagner dans ses derniers instant

    La mort comme un acte de liberté

    La mort a toujours plané dans l’œuvre d’Almodóvar, mais elle n’avait jamais été montrée avec autant de sobriété.

    Dans Tout sur ma mère, la perte d’un enfant déclenche un parcours vers le pardon et dans Parle avec elle, la frontière entre la vie et la mort est floue, interrogeant notre capacité à rester présents pour ceux qui sont déjà « ailleurs ». Avec Volver, la mort est presque familière, douce : elle devient une continuité, et les morts ne quittent jamais complètement les vivants.

    Mais dans La Chambre d’à côté, la mort est un choix. Martha refuse d’en être la victime et veut reprendre le contrôle sur son départ. Ce choix rappelle Amour de Michael Haneke, mais là où Haneke impose une froideur implacable, Almodóvar choisit une lumière douce et réconfortante. Ici, la mort est un adieu lucide, empreint de dignité et de tendresse.

    Une mise en scène minimaliste

    L’esthétique d’Almodóvar est souvent synonyme de couleurs éclatantes et de décors remplis de souvenirs. Ici, tout est minimaliste. Les pièces sont grandes, presque vides. Les dialogues sont réduits à l’essentiel. Le silence a un poids immense.

    Julianne Moore et Tilda Swinton interprètent leurs rôles avec une retenue remarquable. Leurs personnages n’ont plus besoin de grandes déclarations : tout est dans les regards et les gestes. Cette sobriété peut désorienter : on observe de loin, presque en retrait. Mais ce dépouillement rend leur histoire universelle.

    Les influences : Joyce, Huston et Rossellini

    Le film fait explicitement référence à Les Gens de Dublin (The Dead, 1987) de John Huston, adapté de la nouvelle de James Joyce. Huston, lui-même en fin de vie lors du tournage, raconte un banquet où la mémoire et la mort sont omniprésentes. La scène finale, où la neige tombe indistinctement sur les vivants et les morts, souligne que nous partageons tous le même destin.

    Almodóvar reprend cette idée en filmant des moments simples : une conversation sous un arbre, un silence partagé devant un paysage. Comme chez Huston, la vie continue de vibrer, même au bord de la fin.

    On retrouve également un clin d’œil à Voyage en Italie (1954) de Roberto Rossellini, où un couple redécouvre son lien en visitant des ruines antiques. Ici aussi, les souvenirs ressurgissent à travers des lieux presque immuables, tandis que les personnages évoluent vers l’acceptation de l’inévitable.

    Les couleurs : lumière et seuils

    Le jaune est omniprésent dans le film. Ce n’est pas un jaune éclatant ou joyeux, mais une teinte douce et chaude, comme une lumière de fin d’après-midi. Il évoque la chaleur des souvenirs et les instants suspendus entre deux êtres.

    Le rouge, plus discret, agit comme une balise. La porte entrouverte rouge n’est pas seulement un passage vers la mort, mais aussi une ouverture vers la mémoire. Contrairement aux rouges flamboyants de Talons aiguilles ou Parle avec elle, ce rouge-là est feutré, presque effacé, comme un murmure du passé.

    Un film sur la présence, pas l’adieu

    Ce film m’a marquée par sa simplicité et sa sincérité. Almodóvar ne cherche pas à créer des adieux grandiloquents, mais à montrer ce que signifie « être là ». Ingrid ne cherche pas à convaincre ni à retenir Martha. Elle reste, tout simplement.

    C’est un film qui interroge : comment accompagne-t-on quelqu’un sans chercher à l’en détourner ? Quelle force faut-il pour accepter, sans fuir, la fin d’un être aimé ? Almodóvar pose ces questions sans donner de réponses, seulement des fragments d’humanité capturés dans un cadre délicat et dépouillé.

    Conclusion

    La Chambre d’à côté n’est seulement pas un film sur la mort, mais sur l’amour dans sa forme la plus pure : être là. Sans chercher à sauver, sans chercher à combler le vide. Juste rester, jusqu’au bout.

    Contrairement aux effusions et aux drames flamboyants des premiers Almodóvar, ici, tout est contenu. Pas de grandes déclarations ni de réconciliations spectaculaires, mais une présence silencieuse qui en dit plus que mille mots. Ce n’est pas un adieu théâtral : c’est un dernier geste d’amour, intime, sans éclat.

    Ce film me touche parce qu’il raconte ce qu’on ne sait jamais comment affronter : laisser partir ceux qu’on aime. Almodóvar ne cherche pas à apaiser ni à rendre la mort poétique. Il nous dit simplement que l’on peut être là, que l’on doit être là, même quand il ne reste plus rien à dire.

    C’est pour cela que ce film est devenu mon préféré. Il dit tout sans le dire, et c’est ce silence-là qui résonne longtemps après.
    Leoj
    Leoj

    11 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 6 janvier 2025
    J'ai pu visionner ce nouvel opus d'Almodovar car il est sorti en Belgique une semaine avant la France. Le cinéma d'Almodovar continue d'évoluer vers un univers moins kitch, mais reste marqué par son amour pour les grandes actrices. Que dire des prestations de Julianne Moore et de Tilda Swinton si ce n'est qu'elles sont exceptionnelles de justesse et de sensibilité. La direction d'acteurs d'Almodovar est toujours aussi précise et remarquable. Pour ce premier film en anglais, le réalisateur espagnol nous embarque dans un quasi huis-clos dans lequel, outre le thème de la fin de vie, d'autres thèmes très sensibles, comme l'amitié, sont abordés. Une nouvelle réussite !
    yanfort
    yanfort

    2 abonnés 1 critique Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 4 janvier 2025
    J ai eu la chance d’assister à l’avant première au Théâtre Rutebeuf à Clichy animée par Philippe Rouyer.

    Malgré la langue anglaise , on retrouve les codes almodovariens : les couleurs , les ( petits) flashbacks , les œuvres d’art parsemées ça et là. Les actrices sont très touchantes. Un sujet dur traité avec sobriété , on rit même parfois …
    D’aucuns ne seront pas d’accord mais ce film m’a rappelé «  Parle avec elle « 
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