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Votre avis sur Demolition Man ?
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Demolition Man est sans conteste un de mes films d'action et de science-fiction fétiches des années 90 ! Plusieurs facteurs entrent en compte pour cela:
1. Le casting et les personnages incarnés par eux sont très performants et intéressants. Mentions spéciaux pour Sylvester Stallone en John Spartan, incarnant parfaitement le héros d'action typique dont il en est un des grands spécialistes, et Wesley Snipes en Simon Phoenix, un criminel psychopathe excentrique doté d'un charme et de compétences redoutables qui le rende à la fois dangereux, drôle, et admiratif. Un des meilleurs villains de cinéma à mes yeux !
2. Les genres de la dystopie et de l'utopie sont bien employés dans le scénario à des fins assez parodiques, nous décrivant alors une société en apparence paisible et non-violente. On apprendra toutefois que les différences de classes sociales subsistent encore, notamment avec l'introduction spoiler: des Rebuts, un peuple rejetant la doctrine de paix du docteur Raymond Cocteau, doctrine qui s'avérera en effet assez tyrannique car supprimant pas mal de libertés, y compris moins graves et simplistes comme la consommation de tabac, de viande, de chocolat, et l'exercice de sports de combat pour en citer certains..
. Sans oublier également que la confrontation de Phoenix avec les autorités de la ville de San Angeles va également montrer qu'à force de vivre cette nouvelle ère de paix, ceux-ci et les citoyens de la cité se retrouvent totalement sans défense à des criminels endurcis comme Simon Phoenix. On pourrait y voir parfois des échos avec la réalité de notre monde d'aujourd'hui également.
3. Enfin je citerai également le bon mélange entre le sérieux dramatique et l'humour dans ce film, qui est rempli de pas mal de répliques cultes, drôles et badass, surtout en français, que je ne saurais que recommander :) La confrontation de John Spartan arrivé récemment dans ce même nouveau monde va créer pas mal de situation hilarantes et absurdes concernant les nouvelles technologies et tendance. Je citerai notamment spoiler: les bornes de contravention détectrices de langage grossier, le fait que Taco Bell (Pizza Hut dans d'autres pays) est la seule chaine de restaurant de la ville, les chansons de pub enfantin remplaçant des titres classiques de musiques, ou encore les fameux trois coquillages des toilettes.
Avec tous les points cités plus haut, je peux confirmer que ce film à toutes les chances de conquérir les coeurs de plusieurs types d'amateurs, tant les thèmes employés sont bien exploités de sorte que ça arrive. Il a en tout cas réussi son premier coup avec moi je vous le garanti !
1. Le casting et les personnages incarnés par eux sont très performants et intéressants. Mentions spéciaux pour Sylvester Stallone en John Spartan, incarnant parfaitement le héros d'action typique dont il en est un des grands spécialistes, et Wesley Snipes en Simon Phoenix, un criminel psychopathe excentrique doté d'un charme et de compétences redoutables qui le rende à la fois dangereux, drôle, et admiratif. Un des meilleurs villains de cinéma à mes yeux !
2. Les genres de la dystopie et de l'utopie sont bien employés dans le scénario à des fins assez parodiques, nous décrivant alors une société en apparence paisible et non-violente. On apprendra toutefois que les différences de classes sociales subsistent encore, notamment avec l'introduction spoiler: des Rebuts, un peuple rejetant la doctrine de paix du docteur Raymond Cocteau, doctrine qui s'avérera en effet assez tyrannique car supprimant pas mal de libertés, y compris moins graves et simplistes comme la consommation de tabac, de viande, de chocolat, et l'exercice de sports de combat pour en citer certains..
. Sans oublier également que la confrontation de Phoenix avec les autorités de la ville de San Angeles va également montrer qu'à force de vivre cette nouvelle ère de paix, ceux-ci et les citoyens de la cité se retrouvent totalement sans défense à des criminels endurcis comme Simon Phoenix. On pourrait y voir parfois des échos avec la réalité de notre monde d'aujourd'hui également.
3. Enfin je citerai également le bon mélange entre le sérieux dramatique et l'humour dans ce film, qui est rempli de pas mal de répliques cultes, drôles et badass, surtout en français, que je ne saurais que recommander :) La confrontation de John Spartan arrivé récemment dans ce même nouveau monde va créer pas mal de situation hilarantes et absurdes concernant les nouvelles technologies et tendance. Je citerai notamment spoiler: les bornes de contravention détectrices de langage grossier, le fait que Taco Bell (Pizza Hut dans d'autres pays) est la seule chaine de restaurant de la ville, les chansons de pub enfantin remplaçant des titres classiques de musiques, ou encore les fameux trois coquillages des toilettes.
Avec tous les points cités plus haut, je peux confirmer que ce film à toutes les chances de conquérir les coeurs de plusieurs types d'amateurs, tant les thèmes employés sont bien exploités de sorte que ça arrive. Il a en tout cas réussi son premier coup avec moi je vous le garanti !
Très bon film, que ce soit au niveau des personnages ou des décors, des scènes d'action ou des éléments comiques :
spoiler:
dans 9 ans, finis les grossièretés et les bêtises, mais aussi l'amour tactile et le papier toilette...
Seuls bémols : les précisions familiales sur le héros paraissent superflues, tandis que les motifs des antagonistes du futur auraient gagné à davantage de fond.
Seuls bémols : les précisions familiales sur le héros paraissent superflues, tandis que les motifs des antagonistes du futur auraient gagné à davantage de fond.
Sans doute pas le plus sophistiqué des films d anticipation, néanmoins sur la thématique des hommes augmentés et e un avenir où doit régner le politiquement correct c est assez bien vu. Reste que le scénario basique qui sert la trame est sans surprise, les muscles et l action sont mus en avant... c est distrayant du moment qu on attend pas plus qu un spectacle...
Du culte qui fait BAM
Si vous cherchez Marco Brambilla, vous le trouverez davantage au MOMA qu’à Hollywood. Parce qu’il faut bien vivre, celui-ci a commencé par la pub puis s’est retrouvé là, à filmer Stalone. Pas sûr que l’expérience lui ait plu vu que c’est son seul long-métrage. Il est depuis revenu à ses premières amours, la vidéo. Son site est d’ailleurs assez fun. Reste que Demolition Man est une réussite à retardement assez exemplaire.
Ça commence dans les années 1990 où tout n’est que chaos. Les gangs ont pris le pouvoir et les méthodes du flic Spartan sont aussi efficaces que contestées. A la suite d’une bévue, lui et son adversaire sont condamnés à la cryogénisation pendant plusieurs décennies. En 2032, le vilain Phoenix parvient à s’échapper et il faut donc décongeler Spartan pour le coffrer à nouveau. Sauf que dans le monde aseptisé de 2032, leur violence et leur grossièreté font tache.
En voilà un pitch qui donne envie ! Il faut se rappeler le contexte, on est en pleine période des films d’action de bourrins, Stalone en pleine gloire est déjà caricaturé et Snipes bastonne à tout va. Sur le papier, le projet ressemble donc à un film bas de plafond. Ce qu’il n’est en fait pas. Il y a d’abord le ton. Il y a cet humour à la fois potache et irrévérencieux qui parcourt l’ensemble du film. On aimera toutes ces petites blagounettes et ces gags sur le voyage dans le temps, source inépuisable de quiproquos. On notera aussi ce regard acéré sur la création d’une société totalitaire gérée par un gourou PDG technophile qui, pour le bien de tous, a banni la violence et dans le même coup toute liberté. La logique hygiéniste est poussée ici à son extrême. Ceux qui n’acceptent pas ce contrat vivent sous terre et se nourrissent de rats. On retrouve donc un des thèmes de prédilection de la SF d’anticipation, traité ici avec toute la légèreté de la subversion soft du cinéma de divertissement. N’empêche que 30 ans plus tard, certaines paroles ou situations feront écho au monde actuel. Pour ce qui est de la narration, pas d’accroc ni de temps mort, tout est diablement efficace. Idem à l’interprétation au petits oignons, d’autant que retrouver Bullock est toujours un plaisir. Les scènes de baston sont bien menées et cognent à l’ancienne (comprendre sans chorégraphie matrixienne).
En clair, on tient là un petit bijou de simplicité et de malice, un bout de cinéma qui n’existe plus vraiment sous cette forme, une pièce qui prend de la valeur avec le temps et dont il faut savoir apprécier l’intelligence.
Si vous cherchez Marco Brambilla, vous le trouverez davantage au MOMA qu’à Hollywood. Parce qu’il faut bien vivre, celui-ci a commencé par la pub puis s’est retrouvé là, à filmer Stalone. Pas sûr que l’expérience lui ait plu vu que c’est son seul long-métrage. Il est depuis revenu à ses premières amours, la vidéo. Son site est d’ailleurs assez fun. Reste que Demolition Man est une réussite à retardement assez exemplaire.
Ça commence dans les années 1990 où tout n’est que chaos. Les gangs ont pris le pouvoir et les méthodes du flic Spartan sont aussi efficaces que contestées. A la suite d’une bévue, lui et son adversaire sont condamnés à la cryogénisation pendant plusieurs décennies. En 2032, le vilain Phoenix parvient à s’échapper et il faut donc décongeler Spartan pour le coffrer à nouveau. Sauf que dans le monde aseptisé de 2032, leur violence et leur grossièreté font tache.
En voilà un pitch qui donne envie ! Il faut se rappeler le contexte, on est en pleine période des films d’action de bourrins, Stalone en pleine gloire est déjà caricaturé et Snipes bastonne à tout va. Sur le papier, le projet ressemble donc à un film bas de plafond. Ce qu’il n’est en fait pas. Il y a d’abord le ton. Il y a cet humour à la fois potache et irrévérencieux qui parcourt l’ensemble du film. On aimera toutes ces petites blagounettes et ces gags sur le voyage dans le temps, source inépuisable de quiproquos. On notera aussi ce regard acéré sur la création d’une société totalitaire gérée par un gourou PDG technophile qui, pour le bien de tous, a banni la violence et dans le même coup toute liberté. La logique hygiéniste est poussée ici à son extrême. Ceux qui n’acceptent pas ce contrat vivent sous terre et se nourrissent de rats. On retrouve donc un des thèmes de prédilection de la SF d’anticipation, traité ici avec toute la légèreté de la subversion soft du cinéma de divertissement. N’empêche que 30 ans plus tard, certaines paroles ou situations feront écho au monde actuel. Pour ce qui est de la narration, pas d’accroc ni de temps mort, tout est diablement efficace. Idem à l’interprétation au petits oignons, d’autant que retrouver Bullock est toujours un plaisir. Les scènes de baston sont bien menées et cognent à l’ancienne (comprendre sans chorégraphie matrixienne).
En clair, on tient là un petit bijou de simplicité et de malice, un bout de cinéma qui n’existe plus vraiment sous cette forme, une pièce qui prend de la valeur avec le temps et dont il faut savoir apprécier l’intelligence.
Un film d'action bourrin , plutôt moche .
quelques scènes sympathiques mais le film a pris un gros coup de vieux
aussi bien visuel que dans le scénar vraiment vide.
Un petit film.
quelques scènes sympathiques mais le film a pris un gros coup de vieux
aussi bien visuel que dans le scénar vraiment vide.
Un petit film.
Un chef d'oeuvre, un film extraordinaire à la fois avec de l'action, des blagues, une vision du future qu'on vit actuellement, et une critique de la société...
Excellent film
Excellent film
L'un de mes films préférés.
Style de films d'action qui semble comme bcp d'autres. Puis on le regarde (en 94 pour moi), et là, il se passe qqchose.
Ce film est ultra bien foutu. Et on peut mm dire qu'il est visionnaire sur plusieurs points.
Les acteurs sont fabuleux.
Rien n'est à jeter, du pur bonheur.
Style de films d'action qui semble comme bcp d'autres. Puis on le regarde (en 94 pour moi), et là, il se passe qqchose.
Ce film est ultra bien foutu. Et on peut mm dire qu'il est visionnaire sur plusieurs points.
Les acteurs sont fabuleux.
Rien n'est à jeter, du pur bonheur.
spoiler:
C'est l'histoire d'un film qui dit : "Simon a dit..."
Démolition Man était déjà une presque parodie à sa sortie, 30 ans plus tard ou presque : c'est un vrai nanar. Ce qui ne l'empêche pas de rester jubilatoire, par séquence.
Le scenario est absurde et complètement incohérent mais contrairement aux productions actuelles il ne prétend pas l'être. Cette honnêteté suffit à mon indulgence. Non mon problème avec Demolition Man sont les innombrables scènes d'action (vous allez me dire avec un titre pareil j'étais pas non plus pris en traitre :). J'aime leur violence absolument pas PG13 (le globe oculaire sur un cure dent !) mais il y en a vraiment trop, c'est répétitif et ça manque de panache malgré les vannes de détraqué de Simon. J'aurai aimé plus de scènes drôles et sarcastiques qui sont les vrais réussite de ce "peupeu" : les 3 coquillages VS imprimante à juron, sexe télépathique et chanson de pub.
Car 30 ans plus tard je l'affirme Demolition Man et son John Spartan testostéroné bas du front sont beaucoup plus malins et subversifs que les consensuels blockbusters contemporains à collant. Mieux encore, sa description d'un futur où la liberté de bouffer de la junk food, jurer et baiser ont été sacrifié au profit de la sécurité et de ce qui est "bon" pour les peuples est plus que crédible, elle est en réelle ! Grâce à une technologie invasive basée sur téléphone portable, CCTV et reconnaissance faciale j'affirme que la Chine et son système de notation sociale ont tout pompé à Démolition Man !
Une scène : la chanson en voiture
Démolition Man était déjà une presque parodie à sa sortie, 30 ans plus tard ou presque : c'est un vrai nanar. Ce qui ne l'empêche pas de rester jubilatoire, par séquence.
Le scenario est absurde et complètement incohérent mais contrairement aux productions actuelles il ne prétend pas l'être. Cette honnêteté suffit à mon indulgence. Non mon problème avec Demolition Man sont les innombrables scènes d'action (vous allez me dire avec un titre pareil j'étais pas non plus pris en traitre :). J'aime leur violence absolument pas PG13 (le globe oculaire sur un cure dent !) mais il y en a vraiment trop, c'est répétitif et ça manque de panache malgré les vannes de détraqué de Simon. J'aurai aimé plus de scènes drôles et sarcastiques qui sont les vrais réussite de ce "peupeu" : les 3 coquillages VS imprimante à juron, sexe télépathique et chanson de pub.
Car 30 ans plus tard je l'affirme Demolition Man et son John Spartan testostéroné bas du front sont beaucoup plus malins et subversifs que les consensuels blockbusters contemporains à collant. Mieux encore, sa description d'un futur où la liberté de bouffer de la junk food, jurer et baiser ont été sacrifié au profit de la sécurité et de ce qui est "bon" pour les peuples est plus que crédible, elle est en réelle ! Grâce à une technologie invasive basée sur téléphone portable, CCTV et reconnaissance faciale j'affirme que la Chine et son système de notation sociale ont tout pompé à Démolition Man !
Une scène : la chanson en voiture
Un très bon film de science-fiction avec Sylvester Stallone,Wesley Snipes et Sandra Bullock dans un futur pacifié et la scène mémorable des trois coquillages.
Demolition Man est un film fait pour les fans de Stallone avant tout ce que je suis. Celui-ci incarne un flic (comme souvent) condamné à une peine d'hibernation lors de la traque et l'arrestation du plus grand criminel de son époque pour le coup lui aussi mis en hibernation.
Bien plus tard, en 2032, ces deux antagonistes vont être réveillés au sein de San Angeles une mégalopole où aucune violence n'est présente. Une nouvelle lutte dans un monde nouveau s'ouvrira.
Que de rigolades devant les vannes qui fleurissent et devant de nombreuses scènes d'action digne des années 90.
Rien que le titre donne envie de rire !
Bref : un film de fan pour les fans pour lequel il ne faut pas trop réfléchir.
Bien plus tard, en 2032, ces deux antagonistes vont être réveillés au sein de San Angeles une mégalopole où aucune violence n'est présente. Une nouvelle lutte dans un monde nouveau s'ouvrira.
Que de rigolades devant les vannes qui fleurissent et devant de nombreuses scènes d'action digne des années 90.
Rien que le titre donne envie de rire !
Bref : un film de fan pour les fans pour lequel il ne faut pas trop réfléchir.
Le film a franchement pas trop mal vieillit, il y a pas mal d'idées sympa, les caisses du futur sont pas mal imaginées, Stalonne, Bulock et Snipes on l'air de prendre plaisir sans se prendre aux sérieux. On pardonnera beaucoup d'invraisesenblaces et de scènes d'action trop longues mais le film reste un très bon divertissement que j'ai eu plaisir à revoir.
Une vision futuriste de notre société poussé dans ces derniers retranchements du " tout contrôle"
Argent, grossesse, nourriture ...
Tout est contrôlé, supervise et, admis en fait.
C'est la que notre bon vieux Sly, revenant du passé,ou il a été cryogénie, revient règler son compte au pas gentil snype.
Le film a plutôt bien veilli
Argent, grossesse, nourriture ...
Tout est contrôlé, supervise et, admis en fait.
C'est la que notre bon vieux Sly, revenant du passé,ou il a été cryogénie, revient règler son compte au pas gentil snype.
Le film a plutôt bien veilli
Ce film est assez sympa. ce scénario est assez original et Stallone a un rôle impeccable. il est excellent et il se rend compte de la distopie
Considéré comme une œuvre majeure des années 90, "Demolition Man" continue encore de faire parler de lui à notre époque. En même temps, le long-métrage étant une sorte d'œuvre d'anticipation se passant dans le futur, on comprend donc pourquoi le film continue à intriguer de nos jours. Toute la particularité de l'œuvre est d'ailleurs là-dedans, il essaie de proposer un futur utopique où la criminalité n'existe pas et où le monde est en paix. Un univers qui paraît donc très absurde, mais qui est pourtant loin d'être aussi stupide que certains peuvent le prétendre. Il n'y a qu'à voir comment certains pays du monde contrôlent actuellement leurs populations au niveau de leurs moindres faits et gestes, et les forcesnt à être des citoyens modèles, pour comprendre que le film était tombé assez juste au final. Tout l'univers paraît donc très crédible, régi par des règles clairement définies, et c'est ce qui en fait sa force. Cela n'empêche certes pas le film d'être assez léger au niveau de l'écriture et dans son histoire, on est quand même sur un récit typique pour Stallone, où il se voit affronter un ennemi très méchant pour être méchant. Mais, honnêtement, j'ai tellement été pris par ce qu'il a su me proposer, que je lui pardonne assez facilement sa simplicité. Évidemment, si le film propose cela, c'est qu'il ne faut pas oublier que nous sommes avant tout dans un gros film de divertissement avec Sylvester Stallone à l'affiche. Et pour cause, le film est vraiment bon en matière de divertissement, proposant des scènes d'actions bien rythmées et impressionnantes. Même si ce film est le seul gros projet de la carrière du réalisateur, Marco Brambilla réussit parfaitement à filmer l'action et à proposer un tout divertissant. Le film n'a honnêtement pas beaucoup vieilli et il reste encore une œuvre vraiment intéressante à regarder, même à notre époque. Je vous le recommande donc ! Pour conclure, un super film mélangeant du bon divertissement et de la bonne science-fiction.
La Voie Du Juste Milieu
« Il doit bien y avoir un juste milieu entre deux extrêmes » est le message de ce film, qui est bien plus qu’un film d’action ordinaire. C’est un film d’anticipation, devenu un classique culte, et une des satires sociales les plus intéressantes de la fin du siècle dernier et du début de ce siècle. Le scénario, habillement écrit et magnifiquement interprété pose, intelligemment, plusieurs questions essentielles quant à ce que nous voulons faire de nos vies et de notre monde.
« Il doit bien y avoir un juste milieu entre deux extrêmes » est le message de ce film, qui est bien plus qu’un film d’action ordinaire. C’est un film d’anticipation, devenu un classique culte, et une des satires sociales les plus intéressantes de la fin du siècle dernier et du début de ce siècle. Le scénario, habillement écrit et magnifiquement interprété pose, intelligemment, plusieurs questions essentielles quant à ce que nous voulons faire de nos vies et de notre monde.
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