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Votre avis sur Demolition Man ?
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ManoCornuta
Dans la catégorie des films d'action futuristes, ce Demolition Man garde une aura particulière, liée à son casting détonnant, ses scènes d'action explosives et son humour assez savamment dosé. Le film joue à fond le décalage entre méthodes à l'ancienne et univers aseptisé, compensant en cela un scénario qui se révèle sans véritable surprise. Sylvester Stallone et Wesley Snipes sont dans leur élément et le rythme est assez soutenu tout au long du film.
L'humour et le ton décalé sont les principaux atouts de ce film d'action .
Caine78
Un film d'action qu'on oublie pas. Le scénario futuriste est très bien fait, et on loin d'un vulgaire film d'action. Tout est très bien fait et tparfaitement maitrisé par Brambilla, bon metteur en scène. L'opposition Stallone-Snipes tient ses promesses. Mais le vrai secret de ce film est d'être bourré d'humour, faisant souvent mouche et permettant au film d'être une oeuvre presque a part.
Râââh Demolition Man. Réalisé en 1993, ce fut une année extrêmement riche puisque étaient également sorti Last Action Hero avec Schwarzenegger et Jurassic Park de Spielberg. Stallone qui venait de connaître 2 cuisants échecs avec L'embrouille est dans le sac et Arrête ou ma mère va tirer se remet au film d'action là où il a connu sa gloire malgré l'émergence de nouveaux actions-heroes qui ne tarderont pas à le pousser vers la sortie. Alors ça faisait un moment que je n'avais pas vu ce film, pratiquement depuis sa sortie en fait et 16 années plus tard, un regard neuf permet d'en apprécier toutes les qualités. Tout d'abord le duel Stallone-Snipes tient toutes ses promesses. Leurs différents affrontements sont bien musclés et permettent d'admirer leur art du combat. Les répliques hilarantes échangées sont également jouissives et cultes, les exemples sont tellement nombreux qu'ils ne tiendraient pas ici. Enfin figure un portrait de notre futur, aseptisé, qui fait froid dans le dos autant que s'il apparaissait à feu et à sang. C'est bien simple, tous les plaisirs auxquels nous sommes habitués ont proprement disparu. Saluons aussi le visionnaire involontaire Brambilla qui nous parle de Schwarzy en tant que président des Etats-Unis, ce qui atterre Stallone en passant. Au final, nous avons une bonne série B qui marquait les débuts de Sandra Bullock 1 an avant Speed, bourrine, remplie d'humour (la difficile adaptation de Stallone à ce futur qu'il ne connaît pas) et bien réalisée.
La Voie Du Juste Milieu
« Il doit bien y avoir un juste milieu entre deux extrêmes » est le message de ce film, qui est bien plus qu’un film d’action ordinaire. C’est un film d’anticipation, devenu un classique culte, et une des satires sociales les plus intéressantes de la fin du siècle dernier et du début de ce siècle. Le scénario, habillement écrit et magnifiquement interprété pose, intelligemment, plusieurs questions essentielles quant à ce que nous voulons faire de nos vies et de notre monde.
« Il doit bien y avoir un juste milieu entre deux extrêmes » est le message de ce film, qui est bien plus qu’un film d’action ordinaire. C’est un film d’anticipation, devenu un classique culte, et une des satires sociales les plus intéressantes de la fin du siècle dernier et du début de ce siècle. Le scénario, habillement écrit et magnifiquement interprété pose, intelligemment, plusieurs questions essentielles quant à ce que nous voulons faire de nos vies et de notre monde.
Un bon divertissement idiot mais plaisant.
Des moyens, de l'humour, de l'action.
Du second degrés qui fait plaisir.
Rien de très intelligent mais on passe un bon moment...
Des moyens, de l'humour, de l'action.
Du second degrés qui fait plaisir.
Rien de très intelligent mais on passe un bon moment...
Le film a franchement pas trop mal vieillit, il y a pas mal d'idées sympa, les caisses du futur sont pas mal imaginées, Stalonne, Bulock et Snipes on l'air de prendre plaisir sans se prendre aux sérieux. On pardonnera beaucoup d'invraisesenblaces et de scènes d'action trop longues mais le film reste un très bon divertissement que j'ai eu plaisir à revoir.
Yannickcinéphile
Demolition Man est un classique des années 90, et un film d’action très particulier. Avec son coté second degré totalement assumé, il se distingue de la concurrence. Je commence par le casting. Celui-ci est brillant, et repose surtout sur un trio gagnant : Stallone-Snipes-Bullock. Le premier trouve là un de ses meilleurs rôles, et mêle sans problème action et comédie. S’il est un peu balourd au niveau de la comédie, cela colle ici très bien car il est censé jouer un type un peu perdu dans un monde qu’il ne connait pas. Ca change des vrais comédies dans lesquelles il a tourné et souvent assez médiocres. Snipes est toujours excellent en méchant, et là il se fait plaisir avec la caricature ultime ! Excessif à souhait, il livre une prestation haute en couleur qui marque les esprits. Il vole presque la vedette à Stallone. Bullock entre ces deux montagnes de muscles et de testostérone est brillante. Elle avait le rôle casse-figure du film, étant doté d’un personnage plus subtil que ses deux collègues. Mais elle s’en sort parfaitement, et dégage un charme fou ! Le reste du casting est globalement bon, même si clairement ce sont les trois acteurs principaux qui donnent le tempo.
Le scénario est très original et part sur une idée neuve. Le développement est à la hauteur, et fait le choix de ne pas se prendre trop au sérieux. Du coup, entre des scènes d’action remarquables bien qu’un peu répétitives, il y a des moments savoureux, confrontant nos deux protagonistes masculins au monde futur ! L’humour se base d’ailleurs essentiellement sur la différence des époques et des mentalités, et c’est très réjouissant même si l’on n’avance pas dans des montagnes de finesse. Je pense qu’à la vue du titre, à la vue du casting, peu de gens de toute manière vont regarder ce film en pensant assister à un modèle d’écriture. En tout cas c’est rythmé, nerveux, consistant, et si le déroulement n’est pas parfait (c’est parfois un peu haché, il y a un certain manque de fluidité), Demolition Man procure un réel plaisir.
La mise en scène de Brambilla est très convaincante, et il y a d’excellents choix de cadrages. La caméra bouge bien, suit l’action avec précision, il n’y a aucun problème de lisibilité. La photographie n’a pas vraiment vieilli, en tout cas elle ne choque pas et les décors sont tout à fait à la hauteur. Souvent les films comme celui-ci qui dépeigne un futur qui parait presque déjà derrière nous en terme technologique, vieillissent mal. Là c’est parfois le cas, mais dans l’ensemble il reste très qualitatif. Les effets visuels sont honorables, et Demolition Man a le mérite de ne pas abuser des effets spéciaux. C’est avant tout un film d’action avec des combats, des gunfights, mais pas des fx à profusion. A noter une musique pas désagréable, même si un thème un peu plus marquant aurait été bienvenu.
Pour conclure, voilà un très bon divertissement. C’est clair que ca ne vole pas haut, mais le film remplit sans faillir le cahier des charges. Action, humour, interprétation décontractée, ont a tout les ingrédients des bons films d’action des années 90. Bien rythmé, mis en scène avec efficacité par un réalisateur qui malheureusement n’a pas vraiment percé par la suite, Demolition Man est indémodable, et fait un peu figure d’hapax dans l’univers de l’action, car il est doté d’un scénario partant sur une idée très originale. Vraiment fun et excellent pour se détendre et oublier les tracas du quotidien !
Le scénario est très original et part sur une idée neuve. Le développement est à la hauteur, et fait le choix de ne pas se prendre trop au sérieux. Du coup, entre des scènes d’action remarquables bien qu’un peu répétitives, il y a des moments savoureux, confrontant nos deux protagonistes masculins au monde futur ! L’humour se base d’ailleurs essentiellement sur la différence des époques et des mentalités, et c’est très réjouissant même si l’on n’avance pas dans des montagnes de finesse. Je pense qu’à la vue du titre, à la vue du casting, peu de gens de toute manière vont regarder ce film en pensant assister à un modèle d’écriture. En tout cas c’est rythmé, nerveux, consistant, et si le déroulement n’est pas parfait (c’est parfois un peu haché, il y a un certain manque de fluidité), Demolition Man procure un réel plaisir.
La mise en scène de Brambilla est très convaincante, et il y a d’excellents choix de cadrages. La caméra bouge bien, suit l’action avec précision, il n’y a aucun problème de lisibilité. La photographie n’a pas vraiment vieilli, en tout cas elle ne choque pas et les décors sont tout à fait à la hauteur. Souvent les films comme celui-ci qui dépeigne un futur qui parait presque déjà derrière nous en terme technologique, vieillissent mal. Là c’est parfois le cas, mais dans l’ensemble il reste très qualitatif. Les effets visuels sont honorables, et Demolition Man a le mérite de ne pas abuser des effets spéciaux. C’est avant tout un film d’action avec des combats, des gunfights, mais pas des fx à profusion. A noter une musique pas désagréable, même si un thème un peu plus marquant aurait été bienvenu.
Pour conclure, voilà un très bon divertissement. C’est clair que ca ne vole pas haut, mais le film remplit sans faillir le cahier des charges. Action, humour, interprétation décontractée, ont a tout les ingrédients des bons films d’action des années 90. Bien rythmé, mis en scène avec efficacité par un réalisateur qui malheureusement n’a pas vraiment percé par la suite, Demolition Man est indémodable, et fait un peu figure d’hapax dans l’univers de l’action, car il est doté d’un scénario partant sur une idée très originale. Vraiment fun et excellent pour se détendre et oublier les tracas du quotidien !
génial, à l'époque c'était un truc de fou bah c'est encore le cas
Le meilleur De Sly avec Rocky 4 une turie action ; réplique on ne s’ennuie jamais à le regarder encore et encore !!
Face à Wesley Snipes en psycho-killer hystérique et blond oxygéné, Sly parodie avec bonheur ses rôles de justiciers musclés en semant la merde dans un futur new age politiquement correct, où le crime, le sexe et même les jurons ont disparu. Tout ceci donne lieu à des scènes fort drôles (la machine à gros mots, le coup des 3 coquillages, des répliques lapidaires de Stallone ou encore l'allusion à Schwarzy président...), et le mérite du réalisateur est de combiner habilement l'humour décapant et les scènes d'action sans que l'un déborde sur l'autre. Ce thriller d'anticipation est en plus une charge très amusante des tares de notre société, tout en multipliant les clins d'oeil et un côté bourrin bien maîtrisé. Probablement l'un des meilleurs films de Stallone où il s'autoparodie ; c'est décoiffant et jouissif.
Très bon film, que ce soit au niveau des personnages ou des décors, des scènes d'action ou des éléments comiques :
spoiler:
dans 9 ans, finis les grossièretés et les bêtises, mais aussi l'amour tactile et le papier toilette...
Seuls bémols : les précisions familiales sur le héros paraissent superflues, tandis que les motifs des antagonistes du futur auraient gagné à davantage de fond.
Seuls bémols : les précisions familiales sur le héros paraissent superflues, tandis que les motifs des antagonistes du futur auraient gagné à davantage de fond.
On sourit et même on rit tellement c'est idiot!
Un divertissemenjt basique.
Un divertissemenjt basique.
ce thriller à l'humour bon enfant et aux scènes d'action renversantes vaut surtout pour wesley snipes. il est juste tordant en simon phoenix.
gimliamideselfes
Je me demande quand même comment on pouvait tourner ce genre de trucs, sans aucune peur du mauvais goût. Stallone qui fait son tricot, il fallait oser.
Bon a on a un pitch bien perché, bien con, un méchant qui a le droit d'être libéré sur parole avant le policier… ils sont dans le futur, plus de crimes, mais on n'a plus le droit de dire des gros mots non plus…
En fait ce qui me pose problème c'est le message susjacent du film. On est d'accord que le futur sans crime, mais où on n'a rien le droit de faire ce n'est pas franchement le monde rêvé, mais qu'est-ce-que regrette Stallone ? Le droit de manger du fast food ! C'est un peu gênant que la liberté c'est le droit d'avoir du cholestérol et de fumer. Dire que c'est con, ça serait insulter la connerie. C'est vraiment des réflexions de beauf de base. Et ce n'est pas si second degré que cela, lorsque tu regardes le film tu te dis quand même "oh putain ils abusent".
Après pour le reste, c'est un film d'action très banal, avec un méchant banal, tout y est très banal, rien de bien palpitant, ce n'est pas déplaisant à suivre non plus, mais ce n'est pas du grand cinéma. Je n'ai ni trouvé ça particulièrement fun, bien qu'il y ait deux ou trois punchlines sympathiques, sans doute la faute à une mise en scène très molle et à une structure narrative plus que convenue.
Bref rien de nouveau sous le Soleil, ça peut occuper les yeux sans que l'on boude trop son plaisir, mais rien d'extraordinaire non plus.
Bon a on a un pitch bien perché, bien con, un méchant qui a le droit d'être libéré sur parole avant le policier… ils sont dans le futur, plus de crimes, mais on n'a plus le droit de dire des gros mots non plus…
En fait ce qui me pose problème c'est le message susjacent du film. On est d'accord que le futur sans crime, mais où on n'a rien le droit de faire ce n'est pas franchement le monde rêvé, mais qu'est-ce-que regrette Stallone ? Le droit de manger du fast food ! C'est un peu gênant que la liberté c'est le droit d'avoir du cholestérol et de fumer. Dire que c'est con, ça serait insulter la connerie. C'est vraiment des réflexions de beauf de base. Et ce n'est pas si second degré que cela, lorsque tu regardes le film tu te dis quand même "oh putain ils abusent".
Après pour le reste, c'est un film d'action très banal, avec un méchant banal, tout y est très banal, rien de bien palpitant, ce n'est pas déplaisant à suivre non plus, mais ce n'est pas du grand cinéma. Je n'ai ni trouvé ça particulièrement fun, bien qu'il y ait deux ou trois punchlines sympathiques, sans doute la faute à une mise en scène très molle et à une structure narrative plus que convenue.
Bref rien de nouveau sous le Soleil, ça peut occuper les yeux sans que l'on boude trop son plaisir, mais rien d'extraordinaire non plus.
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