Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
23 critiques presse
Abus de Ciné
par Olivier Bachelard
Icíar Bollaín réussit ici un film définitivement important sur le harcèlement et les violences morales et sexuelles, qui pointe intelligemment du doigt la cruelle relativité de la solidarité féminine, et met en évidence les conséquences physiques, psychologiques, comme parfois sociales, qu’il faut souvent une force incroyable pour affronter, à l’image de cette inoubliable Nevenka.
La critique complète est disponible sur le site Abus de Ciné
Elle
par Ophélie Daguin
Un film poignant, brillamment porté par Mireia Oriol et Urko Olazabal.
La critique complète est disponible sur le site Elle
CinemaTeaser
par Emmanuelle Spadacenta
S’en suit un portrait fulgurant de justesse de la stigmatisation des victimes, de l’indécence des questions posées au tribunal et de la détresse dans laquelle la procédure les plonge. Une acuité sociétale qui fait d’Icíar Bollaín l’une des réalisatrices les plus pugnaces de notre époque.
La critique complète est disponible sur le site CinemaTeaser
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Nathalie Chifflet
La douleur de la victime se montre dans ses nuances les plus vives, lente destruction psychologique doublée d’un anéantissement physique, par un homme de pouvoir, puissant, manipulateur, asservissant les institutions pour imposer son crime.
Franceinfo Culture
par Falila Gbadamassi
Les comédiens Mireia Oriol et Urko Olazabal livrent avec virtuosité leur partition quand la cinéaste espagnole rend perceptible, de façon graduelle, les mécanismes souvent indicibles et indescriptibles d'un drame, devenu cas d'école.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
La Septième Obsession
par Maryline Alligier
Récit d’une première femme qui parvient à faire traduire en justice un homme politique influent et populaire pour harcèlement sexuel au travail, bien avant l’ère #MeToo, L’AFFAIRE NEVENKA est un film de résistance nécessaire.
Le Dauphiné Libéré
par Nathalie Chifflet
Une dénonciation, avec pour corollaire, une nécessité impérieuse : croire enfin celles qui osent parler.
Le Journal du Dimanche
par Baptiste Thion
Un film dossier dépeignant la mécanique du harcèlement, entre manipulation et intimidation. De plus en plus étouffant à mesure qu’il progresse, il portraiture dans le même mouvement une époque pré-#MeToo où l’opinion publique inverse les rôles de coupable et victime.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Les Echos
par Olivier De Bruyn
Iciar Bollain s'inspire de faits réels et décrit la relation toxique entre un homme politique influent et une de ses jeunes conseillères. Edifiant.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Libération
par Didier Péron
[...] la fiction d’Icíar Bollaín avec Mireia Oriol prolonge ce travail de définition des contours de l’emprise, et la réalisatrice espagnole le fait avec une sécheresse et une précision qui permet d’entrer de plain-pied dans cette mécanique de pouvoir et d’affects qui repose sur la permanence de l’inégalité de genre [...].
La critique complète est disponible sur le site Libération
Marie Claire
par Emily Barnett
Si la seconde partie centrée sur les poursuites judiciaires est un peu plus scolaire, le double portrait de ce bourreau et sa victime [...] illustre magistralement ce que signifie "être sous emprise".
Positif
par Éric Derobert
Dans la filmographie d’Iciar Bollain, "L’Affaire Nevenka" s’inscrit dans la continuité de son film précédent, "Les Repentis" (2021), qui évoquait l’assassinat du socialiste Juan Maria Jauregui par l’ETA. Des événements politiques réels, survenus à la même époque - au tournant du siècle -, à propos desquels la cinéaste prend clairement position, son empathie et son soutien allant sans la moindre ambiguïté à Nevenka Fernandez [...].
Télérama
par Frédéric Strauss
Le basculement de la souffrance psychologique à la terreur physique est radicalement impressionnant, preuve de la force du ressenti qui traverse ce film où la compassion est mise au service de la lucidité.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Voici
par Daniel Bois
Cette histoire vraie revêt une grande force féministe.
La Croix
par Céline Rouden
Réalisatrice engagée, en prise avec le réel, Iciar Bollain s’empare de ce sujet de société en évitant tout didactisme, montrant que les images, mieux que les mots, peuvent traduire la réalité de ce phénomène.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Parisien
par Renaud Baronian
Cette affaire, qui est considérée comme l’une des premières liée au phénomène #MeToo en Europe, a fait couler beaucoup d’encre en Espagne à l’époque. Son adaptation en fiction aurait mérité une mise en scène plus inspirée. Reste le récit du déroulement des faits, qui fait froid dans le dos à la vision du film, et la très juste et remarquable interprétation de Nevenka par la jeune comédienne Mireia Oriol…
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Fiches du Cinéma
par Antoine Corte
Avec "L’Affaire Nevenka", Icíar Bollaín livre un film glaçant sur ce qui fut le premier procès pour harcèlement sexuel contre un homme politique en Espagne. Et transforme cette chronique sociale en un thriller psychologique.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Nice-Matin
par Cédric Coppola
Icíar Bollaín illustre comment une relation professionnelle devient toxique et les conséquences psychologiques qui en découlent (...) Les prestations exemplaires de Mireia Oriol et Urko Olazabal, dont les changements physiques : elle, dans la détresse, lui, dans la monstruosité, impressionnent.
Première
par Thierry Chèze
Un film implacable et glaçant.
La critique complète est disponible sur le site Première
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
(...) ce film demeure utile pour toutes celles et tous ceux qui douteraient encore de la nécessité de recourir à la justice à chaque fois que leur intégrité physique ou sexuelle est atteinte.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Cahiers du Cinéma
par Ariel Schweitzer
Un scénario efficace mais sans grande épaisseur, une mise en scène plate et une musique omniprésente qui amplifie inutilement le drame.
L'Obs
par Guillaume Loison
Le film, quant à lui, est infusé par le sentiment qu’il advient un peu trop tard : si sa reconstitution, très sage, ne manque pas de justesse, elle semble condamnée à répéter des évidences.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Monde
par M. Dl
Malgré une reconstitution méticuleuse qui décrit pas à pas les rouages d’une relation abusive, du guet-apens à l’emprise, les personnages n’incarnent rien d’autre que leurs statuts de victime et de prédateur, renvoyant le tout à sa dimension standard.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Abus de Ciné
Icíar Bollaín réussit ici un film définitivement important sur le harcèlement et les violences morales et sexuelles, qui pointe intelligemment du doigt la cruelle relativité de la solidarité féminine, et met en évidence les conséquences physiques, psychologiques, comme parfois sociales, qu’il faut souvent une force incroyable pour affronter, à l’image de cette inoubliable Nevenka.
Elle
Un film poignant, brillamment porté par Mireia Oriol et Urko Olazabal.
CinemaTeaser
S’en suit un portrait fulgurant de justesse de la stigmatisation des victimes, de l’indécence des questions posées au tribunal et de la détresse dans laquelle la procédure les plonge. Une acuité sociétale qui fait d’Icíar Bollaín l’une des réalisatrices les plus pugnaces de notre époque.
Dernières Nouvelles d'Alsace
La douleur de la victime se montre dans ses nuances les plus vives, lente destruction psychologique doublée d’un anéantissement physique, par un homme de pouvoir, puissant, manipulateur, asservissant les institutions pour imposer son crime.
Franceinfo Culture
Les comédiens Mireia Oriol et Urko Olazabal livrent avec virtuosité leur partition quand la cinéaste espagnole rend perceptible, de façon graduelle, les mécanismes souvent indicibles et indescriptibles d'un drame, devenu cas d'école.
La Septième Obsession
Récit d’une première femme qui parvient à faire traduire en justice un homme politique influent et populaire pour harcèlement sexuel au travail, bien avant l’ère #MeToo, L’AFFAIRE NEVENKA est un film de résistance nécessaire.
Le Dauphiné Libéré
Une dénonciation, avec pour corollaire, une nécessité impérieuse : croire enfin celles qui osent parler.
Le Journal du Dimanche
Un film dossier dépeignant la mécanique du harcèlement, entre manipulation et intimidation. De plus en plus étouffant à mesure qu’il progresse, il portraiture dans le même mouvement une époque pré-#MeToo où l’opinion publique inverse les rôles de coupable et victime.
Les Echos
Iciar Bollain s'inspire de faits réels et décrit la relation toxique entre un homme politique influent et une de ses jeunes conseillères. Edifiant.
Libération
[...] la fiction d’Icíar Bollaín avec Mireia Oriol prolonge ce travail de définition des contours de l’emprise, et la réalisatrice espagnole le fait avec une sécheresse et une précision qui permet d’entrer de plain-pied dans cette mécanique de pouvoir et d’affects qui repose sur la permanence de l’inégalité de genre [...].
Marie Claire
Si la seconde partie centrée sur les poursuites judiciaires est un peu plus scolaire, le double portrait de ce bourreau et sa victime [...] illustre magistralement ce que signifie "être sous emprise".
Positif
Dans la filmographie d’Iciar Bollain, "L’Affaire Nevenka" s’inscrit dans la continuité de son film précédent, "Les Repentis" (2021), qui évoquait l’assassinat du socialiste Juan Maria Jauregui par l’ETA. Des événements politiques réels, survenus à la même époque - au tournant du siècle -, à propos desquels la cinéaste prend clairement position, son empathie et son soutien allant sans la moindre ambiguïté à Nevenka Fernandez [...].
Télérama
Le basculement de la souffrance psychologique à la terreur physique est radicalement impressionnant, preuve de la force du ressenti qui traverse ce film où la compassion est mise au service de la lucidité.
Voici
Cette histoire vraie revêt une grande force féministe.
La Croix
Réalisatrice engagée, en prise avec le réel, Iciar Bollain s’empare de ce sujet de société en évitant tout didactisme, montrant que les images, mieux que les mots, peuvent traduire la réalité de ce phénomène.
Le Parisien
Cette affaire, qui est considérée comme l’une des premières liée au phénomène #MeToo en Europe, a fait couler beaucoup d’encre en Espagne à l’époque. Son adaptation en fiction aurait mérité une mise en scène plus inspirée. Reste le récit du déroulement des faits, qui fait froid dans le dos à la vision du film, et la très juste et remarquable interprétation de Nevenka par la jeune comédienne Mireia Oriol…
Les Fiches du Cinéma
Avec "L’Affaire Nevenka", Icíar Bollaín livre un film glaçant sur ce qui fut le premier procès pour harcèlement sexuel contre un homme politique en Espagne. Et transforme cette chronique sociale en un thriller psychologique.
Nice-Matin
Icíar Bollaín illustre comment une relation professionnelle devient toxique et les conséquences psychologiques qui en découlent (...) Les prestations exemplaires de Mireia Oriol et Urko Olazabal, dont les changements physiques : elle, dans la détresse, lui, dans la monstruosité, impressionnent.
Première
Un film implacable et glaçant.
aVoir-aLire.com
(...) ce film demeure utile pour toutes celles et tous ceux qui douteraient encore de la nécessité de recourir à la justice à chaque fois que leur intégrité physique ou sexuelle est atteinte.
Cahiers du Cinéma
Un scénario efficace mais sans grande épaisseur, une mise en scène plate et une musique omniprésente qui amplifie inutilement le drame.
L'Obs
Le film, quant à lui, est infusé par le sentiment qu’il advient un peu trop tard : si sa reconstitution, très sage, ne manque pas de justesse, elle semble condamnée à répéter des évidences.
Le Monde
Malgré une reconstitution méticuleuse qui décrit pas à pas les rouages d’une relation abusive, du guet-apens à l’emprise, les personnages n’incarnent rien d’autre que leurs statuts de victime et de prédateur, renvoyant le tout à sa dimension standard.