Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
12 critiques presse
Abus de Ciné
par Olivier Bachelard
Particulièrement intéressante, la première partie dissèque d’abord les interrogatoires policiers [...], puis entraîne dans un autre rythme de vie, contestant par là celui effréné qui nous est imposé par le monde moderne.
La critique complète est disponible sur le site Abus de Ciné
Critikat.com
par Valentine Guégan
Composé d’une série de plans-séquences, DIRECT ACTION dresse le portrait d’un lieu de la façon la moins discursive qui soit, en s’intéressant aux actions et situations qui le constituent matériellement.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Le Monde
par Cl. F.
L’idée géniale de cette œuvre plastique, Grand Prix au Cinéma du réel, est d’articuler le visible (le présent de la ZAD, au jour le jour) et l’invisible (l’aéroport qui ne sortira pas de terre).
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Fiches du Cinéma
par Simon Hoarau
Parfois usant, d’autres fois répétitif, ce documentaire-fleuve impose un geste esthétique que l’on ne voit que trop rarement au cinéma.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
par Bruno Deruisseau
Entre l’urgence à saisir la violence du rapport de force avec l’État et la nécessité de représenter un idéal de vie autonome dans toutes ses dimensions, "Direct Action" accomplit un geste d’une rare justesse.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Luc Chessel
"Direct Action" construit, par la perception, la durée, son côté «montage interdit», une théorie de l’action (y compris politique) assez précieuse.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Ouest France
par La Rédaction
Un geste politique fort.
Première
par Nicolas Moreno
Ce documentaire brûlant est sans aucun doute le film le plus politique de l’année.
La critique complète est disponible sur le site Première
Culturopoing.com
par Claude Atlas
Passionnant sur son dernier quart, austère dans sa volonté de « direct cinema », "Direct Action" soulève deux questions : a-t-on besoin de montrer en temps réel des actions hors du temps pour restituer leur temporalité et plonger le spectateur en immersion ?"
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
L'Obs
par Xavier Leherpeur
Filmée entre 2022 et 2023 au lendemain de la fragile victoire remportée par les zadistes contre le projet de l’aéroport de Notre-Dame-des-Landes, cette longue immersion scrutatrice, au cœur de ce monde militant, gagne à être découverte.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Télérama
par Jérémie Couston
(...) aucun discours militant ne se fait entendre, quasiment aucun visage n’est visible. À la place, on assiste, dans la longueur, au tri des larves de doryphore, à la destruction d’un mur à la masse, à la fabrication du pain, à l’aiguisage d’une tronçonneuse, à un atelier de sérigraphie, au perçage d’une oreille, à la confection de galettes de sarrasin… Autant de gestes anodins qui prouvent que, après la bataille, la vie continue.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Cahiers du Cinéma
par Raphaël Nieuwjaer
Arrivés après la bataille, les cinéastes n’ont plus à composer qu’avec la patience des gestes quotidiens. Couper du bois, faire du pain, forger des outils, préparer des crêpes. Tel est le programme que s’assigne Direct Action : redonner à l’emblème du ‘zadisme’ sa part de matérialité (…).
Abus de Ciné
Particulièrement intéressante, la première partie dissèque d’abord les interrogatoires policiers [...], puis entraîne dans un autre rythme de vie, contestant par là celui effréné qui nous est imposé par le monde moderne.
Critikat.com
Composé d’une série de plans-séquences, DIRECT ACTION dresse le portrait d’un lieu de la façon la moins discursive qui soit, en s’intéressant aux actions et situations qui le constituent matériellement.
Le Monde
L’idée géniale de cette œuvre plastique, Grand Prix au Cinéma du réel, est d’articuler le visible (le présent de la ZAD, au jour le jour) et l’invisible (l’aéroport qui ne sortira pas de terre).
Les Fiches du Cinéma
Parfois usant, d’autres fois répétitif, ce documentaire-fleuve impose un geste esthétique que l’on ne voit que trop rarement au cinéma.
Les Inrockuptibles
Entre l’urgence à saisir la violence du rapport de force avec l’État et la nécessité de représenter un idéal de vie autonome dans toutes ses dimensions, "Direct Action" accomplit un geste d’une rare justesse.
Libération
"Direct Action" construit, par la perception, la durée, son côté «montage interdit», une théorie de l’action (y compris politique) assez précieuse.
Ouest France
Un geste politique fort.
Première
Ce documentaire brûlant est sans aucun doute le film le plus politique de l’année.
Culturopoing.com
Passionnant sur son dernier quart, austère dans sa volonté de « direct cinema », "Direct Action" soulève deux questions : a-t-on besoin de montrer en temps réel des actions hors du temps pour restituer leur temporalité et plonger le spectateur en immersion ?"
L'Obs
Filmée entre 2022 et 2023 au lendemain de la fragile victoire remportée par les zadistes contre le projet de l’aéroport de Notre-Dame-des-Landes, cette longue immersion scrutatrice, au cœur de ce monde militant, gagne à être découverte.
Télérama
(...) aucun discours militant ne se fait entendre, quasiment aucun visage n’est visible. À la place, on assiste, dans la longueur, au tri des larves de doryphore, à la destruction d’un mur à la masse, à la fabrication du pain, à l’aiguisage d’une tronçonneuse, à un atelier de sérigraphie, au perçage d’une oreille, à la confection de galettes de sarrasin… Autant de gestes anodins qui prouvent que, après la bataille, la vie continue.
Cahiers du Cinéma
Arrivés après la bataille, les cinéastes n’ont plus à composer qu’avec la patience des gestes quotidiens. Couper du bois, faire du pain, forger des outils, préparer des crêpes. Tel est le programme que s’assigne Direct Action : redonner à l’emblème du ‘zadisme’ sa part de matérialité (…).