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David F. Sandberg [...] met en scène une version de l’histoire qui ne s’embarrasse pas des détails du jeu et nous plonge dans l’ambiance dès la première nuit avec ses meurtres gratuits.
La critique complète est disponible sur le site Abus de Ciné
L’idée d’adapter le jeu vidéo "Until Dawn" était douteuse, mais on peut saluer les efforts de l’équipe qui a cherché une bonne pirouette pour s’en sortir. Résultat : un film qui a le mérite d’essayer d’éviter les pièges… sans y parvenir au-delà de quelques scènes amusantes. Et ça donne surtout envie de revoir "La Cabane dans les bois".
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Faute de soigner les psychologies, David F. Sandberg mise sur l’action, les jump scares et les effets gore. Corps qui explosent, pieu dans les yeux, éventrations, intestins pendants… Certes, cette barbarie est vaguement expliquée dans une scène finale, mais suggérer par le hors-champ aurait permis à « Until Dawn » de franchir un cap et de se distinguer de « Saw » ou « Destination finale » (...).
Hélas, le récit s'engonce dans sa structure en perpétuel recommencement, que rien ne vient transcender. Pourtant, la chose n'est pas mal réalisée et compte de jolies idées visuelles [...].
Sur près de cent minutes, ce manque d’ambition finit par lasser, comme si les scénaristes se forçaient à ne pas dépasser le stade du divertissement facile et décérébré pour attirer un public aussi large que possible.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Abus de Ciné
David F. Sandberg [...] met en scène une version de l’histoire qui ne s’embarrasse pas des détails du jeu et nous plonge dans l’ambiance dès la première nuit avec ses meurtres gratuits.
Ecran Large
L’idée d’adapter le jeu vidéo "Until Dawn" était douteuse, mais on peut saluer les efforts de l’équipe qui a cherché une bonne pirouette pour s’en sortir. Résultat : un film qui a le mérite d’essayer d’éviter les pièges… sans y parvenir au-delà de quelques scènes amusantes. Et ça donne surtout envie de revoir "La Cabane dans les bois".
Le Journal du Dimanche
Une farce gore ultra-référencée, mais qui fourmille d’idées amusantes.
Le Journal du Geek
Finalement, on ne passe pas un mauvais moment devant le long métrage, à condition de ne pas attribuer à Until Dawn des ambitions qu'il n'a pas.
Nice-Matin
Faute de soigner les psychologies, David F. Sandberg mise sur l’action, les jump scares et les effets gore. Corps qui explosent, pieu dans les yeux, éventrations, intestins pendants… Certes, cette barbarie est vaguement expliquée dans une scène finale, mais suggérer par le hors-champ aurait permis à « Until Dawn » de franchir un cap et de se distinguer de « Saw » ou « Destination finale » (...).
Mad Movies
Hélas, le récit s'engonce dans sa structure en perpétuel recommencement, que rien ne vient transcender. Pourtant, la chose n'est pas mal réalisée et compte de jolies idées visuelles [...].
Télé Loisirs
Un véritable fourre-tout horrifique, parfois divertissant.
Télérama
Sur près de cent minutes, ce manque d’ambition finit par lasser, comme si les scénaristes se forçaient à ne pas dépasser le stade du divertissement facile et décérébré pour attirer un public aussi large que possible.