Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
24 critiques presse
Marie Claire
par Emily Barnett
Une comédie pince-sans-rire maniant à merveille l'autodérision, sur une bourgeoise intellectuelle qui n'a pas attendu le covid pour vivre sous cloche. Grinçant.
Télérama
par Frédéric Strauss
À la fois sérieux et pas sérieux, profond et léger, Hors du temps nous dit que la pandémie a changé nos vies et que le cinéma peut se réinventer aussi. En faisant du confinement une échappée belle, drôle et émouvante.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Nathalie Chifllet
Affleure de cette comédie limpide mais somme toute assez mineure, une insondable mélancolie.
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
Olivier Assayas prend la tangente dans un film en lâcher prise qui nous ramène au temps du confinement, avec légèreté et en pleine nature.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
L'Obs
par Xavier Leherpeur
Une réjouissante comédie, parfois acide et sombre, sur la fratrie et la douleur des souvenirs en fuite.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Croix
par La rédaction
Le temps semble s’être arrêté dans ce lieu, dont le pouvoir consolateur imprègne tout le film et lui confère un charme mélancolique.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Dauphiné Libéré
par Nathalie Chifllet
Un huis clos autobiographique, réflexif et proustien.
Le Parisien
par Catherine Balle
C’est souvent drôle, léger, un peu maniéré parfois, mais savoureux.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Le Point
par La rédaction
Dans cette comédie en forme de confession intime, parfois complaisante, le cinéaste Olivier Assayas se livre en voix off, retrouve les sensations du passé, sans nostalgie, et fait de Vincent Macaigne son double.
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Les Inrockuptibles
par Gérard Lefort
Dialogues élégants, parfois au bord de l’alexandrin, qui par contraste rendent d’autant plus hilarantes les scènes de ménage, notamment dans la cuisine où s’électrisent toutes les tensions : le drame d’une compote qui crame, la tragédie d’une casserole qui attache, le problème épineux du recyclage
Positif
par Raphaël Sergeant
Un film à envisager comme une parenthèse intime dans l'œuvre éclectique de l'auteur de Carlos : un ouvrage mineur, parfois irritant, mais suffisamment attachant pour justifier qu'on s'arrête "du côté de chez Assayas" en attendant un projet plus ambitieux.
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Une douce torpeur nous envahit devant ce curieux objet théorique, qui brille par le réalisme des situations restituant la paranoïa d’alors mais pêche par son manque d’émotion et son récit qui s’étire, en dépit de ses dialogues élégants.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Monde
par J. Ma.
Pris par l’accent élégiaque et sensible du passé, qui tient sur la voix et les lieux, on a du mal à suivre le film, qui raccorde sur une comédie de la trivialité, avec, en toile de fond, des retrouvailles fraternelles.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Echos
par Adrien Gombeaud
Olivier Assayas revient sur les mois de confinement et sur sa famille. Dans des paysages champêtres photographiés comme des toiles impressionnistes, l'auteur d'Irma Vep se revendique hors du temps et semble aussi vaguement hors sol.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Les Fiches du Cinéma
par Nicolas Marcadé
Un film assez embarrassant dans sa façon d’être conjointement l’un des plus personnels et l’un des plus anecdotiques d’Olivier Assayas.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Libération
par Sandra Onana
On peut parler de film sur le patrimoine, trouvant sa conclusion dans une scène de transmission du bien immobilier. L’envisager comme un documentaire animalier sur une intelligentsia hors sol, finalement érigée comme tributaire des valeurs vraies, n’aide pas à comprendre le fourvoiement d’un auteur dont on préfère largement se rappeler l’œuvre passée.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Sud Ouest
par Julien Rousset
D’abord assez drôle, la comédie d’Olivier Assayas s’épuise dans un humour mécanique et autocentré. Le récit se recroqueville petit à petit sur des personnages trop détachés pour être attachants.
Télé Loisirs
par S.O.
Il faut reconnaître une certaine audace à Olivier Assayas, ici sous les traits de Vincent Macaigne, pour construire un film autour des petits tracas, entre porte qui coince et casserole usée, du confinement privilégié qui fut le sien. On peut prendre plaisir au résultat… ou s'en agacer.
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
Si les incises autobiographiques éclairent brillamment l’œuvre cinématographique d’Olivier Assayas, tout le reste n’est que bavardages inutiles de bobos privilégiés, réfugiés dans une magnifique maison de campagne pendant la pandémie, que même l’ironie du propos ne parvient pas à sauver.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Cahiers du Cinéma
par Olivia Cooper-Hadjian
L’entreprise autofictionnelle s’avère corrodée par la vanité, et l’autodérision dont le cinéaste aimerait faire preuve apparaît comme une expression supplémentaire de sa tendresse envers lui-même.
Critikat.com
par Lucas Mongai
"Comédie Covid" assez poussive, Hors du temps se veut aussi une plongée dans l'élégie des souvenirs. Mais le film célèbre en vérité moins une mémoire qu’un héritage.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Le Figaro
par Eric Neuhoff
Le confinement, vous vous souvenez ? Ces quelques mois de claustration forcée constituèrent pour certains une épreuve de douloureuse mémoire. Ça n'était rien comparé aux cent cinq minutes que nous inflige Olivier Assayas, nous enfermant dans le noir comme ses héros sont prisonniers de leur maison familiale de l'Essonne.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Ouest France
par Thierry Chèze
Un ego trip d'un ennui abyssal.
Première
par Thomas Baurez
(...) Le cinéaste sort du bois et nous pond une fiction autocentrée sur cette vie mouvementée au grand air. Vincent Macaigne, down-tempo, phrasé affecté de rigueur, a la lourde charge d’incarner ici le cinéaste. Un cinéaste qui nous gratifie en surplomb d’une voix off pseudo-truffaldienne d’un ridicule achevé.
La critique complète est disponible sur le site Première
Marie Claire
Une comédie pince-sans-rire maniant à merveille l'autodérision, sur une bourgeoise intellectuelle qui n'a pas attendu le covid pour vivre sous cloche. Grinçant.
Télérama
À la fois sérieux et pas sérieux, profond et léger, Hors du temps nous dit que la pandémie a changé nos vies et que le cinéma peut se réinventer aussi. En faisant du confinement une échappée belle, drôle et émouvante.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Affleure de cette comédie limpide mais somme toute assez mineure, une insondable mélancolie.
Franceinfo Culture
Olivier Assayas prend la tangente dans un film en lâcher prise qui nous ramène au temps du confinement, avec légèreté et en pleine nature.
L'Obs
Une réjouissante comédie, parfois acide et sombre, sur la fratrie et la douleur des souvenirs en fuite.
La Croix
Le temps semble s’être arrêté dans ce lieu, dont le pouvoir consolateur imprègne tout le film et lui confère un charme mélancolique.
Le Dauphiné Libéré
Un huis clos autobiographique, réflexif et proustien.
Le Parisien
C’est souvent drôle, léger, un peu maniéré parfois, mais savoureux.
Le Point
Dans cette comédie en forme de confession intime, parfois complaisante, le cinéaste Olivier Assayas se livre en voix off, retrouve les sensations du passé, sans nostalgie, et fait de Vincent Macaigne son double.
Les Inrockuptibles
Dialogues élégants, parfois au bord de l’alexandrin, qui par contraste rendent d’autant plus hilarantes les scènes de ménage, notamment dans la cuisine où s’électrisent toutes les tensions : le drame d’une compote qui crame, la tragédie d’une casserole qui attache, le problème épineux du recyclage
Positif
Un film à envisager comme une parenthèse intime dans l'œuvre éclectique de l'auteur de Carlos : un ouvrage mineur, parfois irritant, mais suffisamment attachant pour justifier qu'on s'arrête "du côté de chez Assayas" en attendant un projet plus ambitieux.
Le Journal du Dimanche
Une douce torpeur nous envahit devant ce curieux objet théorique, qui brille par le réalisme des situations restituant la paranoïa d’alors mais pêche par son manque d’émotion et son récit qui s’étire, en dépit de ses dialogues élégants.
Le Monde
Pris par l’accent élégiaque et sensible du passé, qui tient sur la voix et les lieux, on a du mal à suivre le film, qui raccorde sur une comédie de la trivialité, avec, en toile de fond, des retrouvailles fraternelles.
Les Echos
Olivier Assayas revient sur les mois de confinement et sur sa famille. Dans des paysages champêtres photographiés comme des toiles impressionnistes, l'auteur d'Irma Vep se revendique hors du temps et semble aussi vaguement hors sol.
Les Fiches du Cinéma
Un film assez embarrassant dans sa façon d’être conjointement l’un des plus personnels et l’un des plus anecdotiques d’Olivier Assayas.
Libération
On peut parler de film sur le patrimoine, trouvant sa conclusion dans une scène de transmission du bien immobilier. L’envisager comme un documentaire animalier sur une intelligentsia hors sol, finalement érigée comme tributaire des valeurs vraies, n’aide pas à comprendre le fourvoiement d’un auteur dont on préfère largement se rappeler l’œuvre passée.
Sud Ouest
D’abord assez drôle, la comédie d’Olivier Assayas s’épuise dans un humour mécanique et autocentré. Le récit se recroqueville petit à petit sur des personnages trop détachés pour être attachants.
Télé Loisirs
Il faut reconnaître une certaine audace à Olivier Assayas, ici sous les traits de Vincent Macaigne, pour construire un film autour des petits tracas, entre porte qui coince et casserole usée, du confinement privilégié qui fut le sien. On peut prendre plaisir au résultat… ou s'en agacer.
aVoir-aLire.com
Si les incises autobiographiques éclairent brillamment l’œuvre cinématographique d’Olivier Assayas, tout le reste n’est que bavardages inutiles de bobos privilégiés, réfugiés dans une magnifique maison de campagne pendant la pandémie, que même l’ironie du propos ne parvient pas à sauver.
Cahiers du Cinéma
L’entreprise autofictionnelle s’avère corrodée par la vanité, et l’autodérision dont le cinéaste aimerait faire preuve apparaît comme une expression supplémentaire de sa tendresse envers lui-même.
Critikat.com
"Comédie Covid" assez poussive, Hors du temps se veut aussi une plongée dans l'élégie des souvenirs. Mais le film célèbre en vérité moins une mémoire qu’un héritage.
Le Figaro
Le confinement, vous vous souvenez ? Ces quelques mois de claustration forcée constituèrent pour certains une épreuve de douloureuse mémoire. Ça n'était rien comparé aux cent cinq minutes que nous inflige Olivier Assayas, nous enfermant dans le noir comme ses héros sont prisonniers de leur maison familiale de l'Essonne.
Ouest France
Un ego trip d'un ennui abyssal.
Première
(...) Le cinéaste sort du bois et nous pond une fiction autocentrée sur cette vie mouvementée au grand air. Vincent Macaigne, down-tempo, phrasé affecté de rigueur, a la lourde charge d’incarner ici le cinéaste. Un cinéaste qui nous gratifie en surplomb d’une voix off pseudo-truffaldienne d’un ridicule achevé.