Derniers Avis : La Septième compagnie au clair de lune - Page 9

Beaucoup moins bien que les deux premiers, on ne peut que être déçu de ce volet. Des moments de lenteurs entre quelques grands moments de rire. Rien a voir avec les premiers de la série, triste déception.

Le pari était osé de donner une nouvelle suite aux aventures de Chaudart, Tassin et Pithiviers en transposant les 3 soldats hors du front dans une France Occupée. La volonté de renouvellement de Robert Lamoureux était louable mais le risque était grand de voir les 3 soldats perdre de leur drôlerie privés du front et de leur uniforme et cantonnés à leur vie civile. Au final, si "La 7e compagnie au clair de Lune" est l’épisode le moins réussi, il n’en demeure pas moins une excellente comédie qui retrouve un peu du mordant du 1er opus dans sa critique des collaborateurs (ici la traque des résistants par la milice française aux services de la Gestapo). Certes, le rythme est moins soutenu, les gags paraissent plus émoussés et l’effet de surprise s’estompe de plus en plus. Mais Robert Lamoureux (qui n’apparaît pas dans le film) peut toujours compter sur l’alchimie hilarante liant ses 3 comédiens vedette avec l’hilarant Pierre Mondy qui se voit affublé d’une épouse dominatrice, Jean Lefebvre qui nous ressert son numéro de grand naïf si attachant et Henry Guybet qui traîne son air de grand dadais gaffeur. Ils sont très clairement l’atout majeur d’un film qui, pour le reste, se repose un peu sur ses lauriers même s’il réserve de très bons moments (les retrouvailles du début, Chaudart imaginant que sa femme a un amant, les 3 héros déguisés en aviateurs anglais…) et qu’il s’offre les services de l’énorme André Pousse en collabo, de Jean Carmet en passeur dépassé ou encore de Gérard Jugnot en beau-frère. La saga de la 7e compagnie finit certes sur sa note la moins glorieuse mais, avec le temps et la nostalgie, impossible de dissocier ce 3e opus des 2 premiers films et de considérer la trilogie dans son ensemble comme une très grande comédie comme on n’en fait plus.

Un cran en dessous ces deux premiers, mais ce film ce régarde et s'apprécie tout de même facilement pour les fans de la septième compagnie.

J'ai trouvé celui-là un peu moins bien réussi que les autres. L'humour est toujours présent, mais on commence à sentir que le concept (et la trilogie) s'essoufle. Quand on prend du recul, on s'aperçoit que le scénario et les rebondissements sont assez simples. Je pense qu'il était bon de s'arrêter à ce troisième épisode, un quatrième aurait été de trop.

Je me dois t'intervenir pour tenter de relever la note, moi je l'ai adoré j'ai vraiment passé un bon moment, c'est clair que l'humour c'est pas du gros humour de yankee donc je comprend que ca plaise pas à tous.

Ils ne sont plus soldats... Et ils sont triste. Sans l'armée, il n'y a plus de vie. Engagez-vous qu'ils disaient. Moi je zappe on voyant ce mélange de film militariste et chauviniste. A fuir !

C'est le moins bon mais il n'est pas mal! Les retrouvailles sont convenables, les gags aussi c'est bien de fermer la série avec cet épisode! Plus court mais toujours aussi rythmé... Un film moyen qui nous arrache tout de même de nombreux rires et sourires... Le dernier et c'est tant mieux! Une trilogie géniales avec des films bien français, bien potache, au raz des paquerettes mais vraiment très marrants! Merci Mr Lamoureux!

Clairement le plus mauvais de la série de "la septième compagnie". Ce film est en trop, il est bien moins bons que ses prédécesseurs. Mais bon, les films à succès connaissent des suites, c'est comme ça. Les gags sont trop rares et trop caricaturaux (quand les trois lascars sont habillés en imperméables et chapeaux pour faire ambiance espionnage, franchement nul). Les personnages sont moins drôles, moins bien mis en avant et surtout le film est d'une lenteur soporifique. Il ne se passe pas grand chose et les rebondissements sont franchement nuls. Les personnages secondaires sont ratés et même nos trois personnages principaux sont moins drôles que dans les précédents. En fait, une grosse erreur est d'avoir fait le film durant l'occupation, la série perd de son esprit originel et les 3 acteurs principaux sans leurs costumes de soldats français sont moins reconnaissables. Autre problème, le film est trop "noir", trop sombre. De nombreuses scènes se déroulent de nuit et le ton est souvent trop sérieux (l'occupation est une période noire de l'histoire française, c'est certainement pour cela), on perd l'esprit de départ avec nos 3 soldats qui traversaient la France gaiement alors que tout aller mal. Enfin, le film est un peu figé et on se retrouve souvent dans la ville où vit le chef Chaudard, ainsi ce n'est pas varié au niveau des décors. Au final, ce troisième volet de "la septième compagnie" est décevant. On rigole peu et on regrette les deux premiers épisodes en voyant ce film. Un film chiant et pas très drôle, aller plutôt voir ou revoir les deux premiers, ils sont bien meilleurs.

Tout est raté dans ce dernier volet de la septième compagnie. Les gags tombent complètement à plat et aucun acteur n'est convaincant.

Encore une fois trop marrant, on garde les memes et on recommence. Les trois complices rentrent dans la resistance. Avalanche de gags et dialogues a se tordre de rires ( dialogue en anglais entre pitiviers et le chef : grandiose) . Bref on ne peut pas trouver les bons termes pour dire a quel point ce film est géant.

J'aime moins cet épisode (dans lequel joue légèrement Gérard Jugnot) qui est le seul à se passer pendant l'Occupation (les autres se passent en 39). Moins drôle, hormis certaines scènes (le bateau, à la fin). Le film est aussi beaucoup plus court, ce qui n'est pas un mal. Ca s'essouffle pas mal, heureusement qu'il n'y à pas eu de quatrième volet...ça aurait été catastrophique.

Peut-être le moins drôle des 3 volets, celui-ci reste pourtant une réussite par les situations désopilantes et franchement rocambolesques qui nous sont proposées. Cette fois, les 3 compères se retrouvent en civil pour cause de France occupée et de démobilisation. Le regretté André Pousse livre une excellente composition en chef de la Gestapo et donne une truculente réplique aux bidasses reconvertis en résistants malgré eux!