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MoMo420
5 abonnés
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2,5
Publiée le 19 juin 2014
Troisième opus d’une série qui commence fortement à se répéter, on retrouve cependant pour notre plus grand plaisir ce trio incroyablement marrant. Jean Lefebvre est toujours fidèle à lui-même, Pierre Mondy et Henri Guybet restent eux toujours très bons. Autant dire que le film n’existe et ne satisfait que grâce aux 3 personnages car la réalisation de Robert Lamoureux a tendance à mal vieillir et le scénario comme à l’accoutumée ne casse pas trois pattes à un canard. Si le spectateur repart satisfait, l’originalité n’est pas présente et il manque une petite touche nouvelle qui aurait fait passer ce film au-dessus des 2 précédents, ce qui n’est ici pas du tout le cas.
La 7ème compagnie au clair de lune est très différent des deux précédents épisodes. Il leur est inférieur certes, mais surtout il y a un coté étonnamment mélancolique, un peu crépusculaire. Il y a de l’humour, et pourtant on sent que la saga touche à sa fin, beaucoup de pages se sont tournées par rapport aux épisodes antérieurs, des personnages ont disparu. Cela fait qu’il est probablement plus difficile d’entrer pleinement dans le film. Le trio principal est toujours au rendez-vous avec Mondy-Lefèbvre-Guybet. Ils livrent tout trois un numéro sans surprise, mais qui parvient toujours à être efficace et amusant, même si la complicité Lefèbvre-Guybet est moins bien exploitée ici. Il y a par ailleurs quelques seconds rôles de qualité, notamment ceux de Gérard Hérold, Gérard Jugnot et André Pousse. A noter le petit rôle de Jean Carmet aussi. Tout ce casting assure un divertissement sympathique, mais il est vrai qu’il y a un coté plus réaliste, avec une absence presque totale de personnages décalés, au contraire de ce que proposait les deux films antérieurs, et surtout le 2. Le scénario est ici un peu étrange. En fait il avance assez péniblement, s’intéressant cette fois au milieu de la résistance, mais en paraissant stagner. Après un début prometteur, jusqu’à la séquence de l’avion, ensuite le film s’enlise, ne sachant trop quelle direction prendre. Il n’a plus vraiment d’enjeu, les décisions des personnages sont plutôt contradictoires. Par ailleurs le rythme est nettement moins soutenu, et les gags s’enchainent de façon plus poussive. Si quelques-uns sont toujours efficaces, malheureusement leur fréquence est assez rare, avec de surcroît, une dimension « aventure » moins cocasse. Sur la forme, la 7ème compagnie au clair de lune est dans la continuité des épisodes antérieurs. La mise en scène est assez convaincante. Lamoureux souffre toujours d’un léger manque de fluidité dans son travail, avec quelques séquences d’action qui en souffrent un peu (celle du bateau à la fin), néanmoins c’est très convenable, et il y a des passages réussis (la course poursuite avec les allemands). La photographie est sobre mais réaliste et élégante. Elle sert parfaitement les décors naturels et la reconstitution d’époque, qui s’avère très bonne. C’est bien l’âme des années 40 que délivre ce film, et c’est franchement prenant. De ce point de vue il n’y a rien à redire. Enfin, la musique est toujours au rendez-vous, le thème bien connu de la série qui d’entrée saisit le spectateur. Au final, la 7ème compagnie au clair de lune est un métrage convenable, mais qui marque un certain essoufflement par rapport aux deux précédents films. L’intention de Lamoureux en changeant l’univers de sa saga est louable, mais il s’est coupé de beaucoup trop d’éléments pour inscrire ce troisième film dans la continuité des deux autres. Par ailleurs, il a visiblement peiné lui-même pour garder le même dynamisme, et le même allant comique. Heureusement il reste les acteurs principaux et un travail formel de qualité, pour continuer d’entretenir un réel intérêt.
Le dernier épisode, toujours aussi drôle, voir pour ma part le meilleur des 3, je trouve que les épisodes de cette trilogie sont tous biens, dans celui ci, Pierre Mondy est au top, surtout avec ces mimics. Un chef d'oeuvre du cinéma français, vive le chef
Les deux premiers volets sont cultes, cette troisième et dernière partie est un voire deux crans en dessous. En effet, malgré la présence de Gérard Jugnot, André Pousse et Jean Carmet, l'ensemble est assez poussif, on rigole beaucoup moins, les gags sont plus rares. Ca reste néanmoins une comédie sympathique.
" La 7e compagnie au clair de lune " troisième et dernier volet de la trilogie de " La 7e compagnie " .
En 1942 soit deux ans après leurs mésaventures pendant la bataille face aux allemands qui avaient envahit la France et qui avait amener à la fameuse débâcle de 1940 où les soldats français ont du s’incliner le chef chaudard ( Pierre Mondy ) et ses compagnons d’armes Tassin (Henry Guybert ) et Pitivier (Jean Lefebvre ) sont revenus à la vie civile et se sont adapter à l’occupation allemande . Tassin et Pitivier se rendent à Vesoul rendre visite à Chaudard dans sa quinquaillerie . Suite à un quiproquos ils sont pris pour des résistants et les voilà embarquer dans de nouvelles mésaventures pourchasser par les allemands et la Gestapo ...
Après l’énorme succès des deux premiers volets ( " Mais où est donc passée la 7e compagnie " et " On a retrouver la 7e compagnie ” ) en 1973 et 1975 il était évident qu’un troisième opus verrait le jour pour continuer à surfer sur ce succès . Le réalisateur Robert Lamoureux décida donc de poursuivre l’aventure en lançant une troisième mouture de sa " 7e compagnie ” en 1977 avec toujour la même équipe de choc . Ce troisième et dernier opus de la trilogie de " la 7e compagnie " est sympathique mais un peu décevant et assez inférieur aux deux premiers volets . Le film est un peu moins drôle que les précédents opus avec un peu moins de gags et moins de répliques drôle ( Le réalisateur et scénariste du film Robert Lamoureux était moins inspiré à l’évidence ) ce qui convainquera un peu moins le public à sa sortie le film faisant un succès assez inférieur aux deux premiers volets ( 1,7 millions d’entrées ) . De plus le film n’est pas une suite direct du deuxième volet ( comme c’était le cas avec le deuxième opus qui était une suite direct du 1 qui reprenait tout de suite la ou le 1 c’était arrêter ) mais une suite qui se situe deux ans plus tard pendant l’occupation allemande . C’est un peu dommage j’aurais aimer continuer sur la même lancer et voir notre trio en soldats complètement à la ramasse poursuivre leurs mésaventures pendant la débâcle c’était vraiment amusant . Et la du coup sa fait une suite qui est un peu moins lié aux deux premiers films . Vu que ce 3e opus ne se situe pas tout à fait à la même période sa crée un petit décalage avec les deux premiers films ( Le trio n’est plus soldat mais est revenu à la vie civile , le contexte à changer on est plus en bataille face aux allemands mais sous leur occupation...) . Bon après ce changement de contexte permet d’apporter également un peu de nouveauté par rapport aux deux premiers films ce qui n’est pas désagréable non plus . Malgré ses quelques points négatifs sa reste une comédie sympathique avec toujours quelques scènes et répliques amusante qui nous divertissent bien . On se marre pas comme des baleines mais c’est distrayant dans l’ensemble . Le film est toujour porter par le trio culte Pierre Mondy , Henry Guybert et Jean Lefebvre qui sont toujour excellent dans le rôle de Chaudard , Tassin et Pitivier ses trois compagnons d’armes complètement à la ramasse qui vont réussir une fois de plus à s’embourber dans de nouvelles mésaventures délirantes quand ils vont être pris pour des résistants et que la gestapo va les traquer . Au cour de leur mésaventures ils vont rencontrer de sympathique seconds rôles comme Jean Carmet dans le rôle d’un type qui va les aider à s’enfuir et à passer la ligne de démarcation , Gérard Jugnot dans l’un de ses premiers rôle à l’écran qui joue le beau frère de Chaudard ou encore André Pousse excellent en membre de la gestapo qui va traqué notre trio . Un 3ème opus qui contient toujour son lot de scènes cocasses
spoiler: ( Pitivier and co déguiser en aviateur anglais et qui tente de s'exprimer en anglais alors qu'ils ne connaissent pas la langue , le trio déguisé en membre de la gestapo et qui infiltre la commandantur , le quiproquo avec le résistant dans la cave que Tassin prend pour l'amant de la femme de Chaudard , le trio sur le bateau qui tente de rejoindre l’Angleterre ...)
et de répliques amusantes
spoiler: ( " Je t'aime joli fleur des champs " , " Tassine donne ton falzar ... " )
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Pour résumer " La 7e compagnie au clair de lune " , même si elle n’atteint pas le niveau comique des deux premiers volets , est un 3e et dernier opus sympa qui conclu bien cette sympathique trilogie .
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4,5
Publiée le 22 juillet 2019
Les gars de la 7eme compagnie sont de retour! Pierre Mondy / Chaudard, Jean Lefebvre / Pithiviers et Henri Guybet / Tassin reviennent dans une troisième partie à voir et à revoir tant le trio porte cette "Septième compagnie au clair de lune" sur leurs èpaules! Sous l'Occupation allemande, Chaudard revient dans sa fameuse quincaillerie à Vesoul que l'on aurait pu classer comme « monument historique » parce qu'on peut dire qu'il s'en passe des choses à l'intèrieur! Pithiviers et Tassin annoncent leur visite! Une visite qui va s'avèrer poilante car riche en gags: le grelot, le marchè noir, le braconnage, le rèseau Attila...Autant de scènes drôles avec plus que jamais cet humour franchouillard, qui nous va droit au rire a s'en tenir les côtes, même s'il prend parfois des chemins buissonniers (« oh, un mulot ! ») ou le large du côtè de Dahouët (les paniers retournès), magnifique petit port breton des Côtes-d'Armor que j'ai visitè en 2011! Le succès n'a (malheureusement) plus entraînè d'autres suites mais on n'oubliera jamais cette 7eme compagnie de transmission, son trio d'acteur èpatant, ses gags d'anthologies, sa musique mythique et surtout ses rèpliques qui, pour certaines, sont passèes à la postèritè (« Tassine, Downe towne falzar »). Merci Robert Lamoureux...
Robert Lamoureux clôture sa trilogie à merveille, l'humour est toujours aussi piquant et jouissif, les situations sont mortel, l'ambiance est follement plaisante et les acteurs sont formidables, nous voilà face à la conclusion d'une des meilleurs comédie de tout les temps.
Ce volet est le moins bon des trois,Lamoureux ayant deja exploité de très bonne manière ses personnages dans les deux épisodes précédents,se retrouve moins inspiré. Néanmoins le film reste sympathique meme s'il n'est pas vraiment de scènes hilarantes comme dans les deux précédents volets.
Certes, "la septième compagnie au clair de lune" est inégal aux précédents car plus faible et les effets comiques se sont estompés. Mais ça reste une comédie simple, qui fait passer le temps en nous requinquant le moral!
Même si cela reste le moins bon de la trilogie, voilà une comédie divertissante, sans prétention, très drôle dans la lignée des 2 précédents et c'est tous ce qui compte.
Ce troisième volet de la saga "la septième compagnie" est certainement le moins bon des trois. Les gags sont pourtant moins percutants, l'intrigue devient franchement moins crédible mais ça n'empêche pas le fait de passer un bon moment devant cette comédie réalisée comme les des premiers épisodes par Robert Lamoureux. Mais si l'on rigole encore c'est en grande partie grâce une nouvelle fois aux trois acteurs principaux qui se démènent tant bien que mal pour combler les failles d'un scénario bien trop peu travaillé pour qu'il soit vraiment crédible. A noter l'apparition sympathique de Gérard Jugnot qui joue un rôle secondaire assez drôle.
Dernier volet de la trilogie, ce film est désopilant et permet de passer un bon moment, bien que l'intrigue soit simplette et les gags éculés, l'une des meilleures scènes étant lorsqu'on retrouve nos trois compères vêtus en agents de la Gestapo. A noter, les seconds rôles tenus par Jean Carmet, Gérard Jugnot (en résistant) et André Pousse en chef de la Gestapo.
Episode très en retrait comparé aux deux précédents. Alors que les deux premiers volets nous régalent encore de leurs nombreux gags et de leurs répliques délicieuses, le troisième nous emmène dans un univers un peu plus sombre... Plantons le décors : 3 ans se sont écoulés depuis la séparation des trois baroudeurs français. Après avoir, non sans mal, convaincu Suzanne, sa femme, Chaudard accueille dans sa quincaillerie ses deux compères de la 7ème compagnie ! Et c'est parti pour un petit Week-End tranquille entre amis, en campagne, probablement en Loire Atlantique (Alors que dans les précédent épisode, la quincaillerie se trouvait à Vesoul ). Autre souci de continuité, la femme de Chaudard ne s’appelle plus Paulette mais Suzanne... Chaudard aurait-il changé de femme entre temps ? Cela parait peu probable. Mais ce n'est pas pour ces erreurs incompréhensibles que ce troisième laisse une impression plus que mitigée. Gags ratés, Atmosphère pesante pas vraiment en adéquation avec les deux premiers épisodes, et une histoire qui ne tient pas debout. Une atmosphère qu'on doit à la musique et au contexte de résistance qui ne se prête guère aux railleries. Bref, un épisode pour les fans, qu'ils regarderont sans doutes moins que les deux autres, vues et revues, inlassablement ! Même l'apparition de Jean Carmet et Gérard Jugnot ne sauveront pas cette dérive. Pas loin du naufrage, le film est sauvé par quelques gags et le plaisir de revoir nos guerriers en civils. Ce troisième volet et petit dernier d'une trilogie culte, n'est soutenu que par le caractère cultissime de ses grands frères.