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ferdinand75
547 abonnés
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2,5
Publiée le 3 juin 2017
Dans cet opus , notre bande de anti -héros se trouve impliquée dans une affaire de résistant. Ils se retrouveront héros malgré eux. Le scénario est assez mince, et le film vaut surtout par la bonne interprétation impeccable du trio : Guybet, Mondy, Lefevre, qui focntionne très bien.
Encore un bon épisode de la septième même si je le trouve un cran en-dessous des deux premiers. En tout cas c'est toujours un plaisir de retrouver le trio. Très bon quand même et que de nostalgie.
L'ensemble manque de finesse, demeure franchouillard, souvent lourdaud et souvent prévisible. Quelques gags se font bien sentir, mais restent noyés dans un flot de situations téléphonés et une histoire pas toujours très intéressante et amusante. En conclusion, le moins bon volet de la trilogie.
Troisième et dernier volet des aventures de nos 3 héros impromptus. Toujours écrit et réalisé par Robert Lamoureux, "La 7ème compagnie au clair de lune" s’avère être l’épisode le moins bon de la trilogie. Pourtant, les rangs du casting ont été gonflés par la présence de Gérard Jugnot, celle d’André Pousse, ainsi que celle de Jean Carmet. Les gags sont pour certains un peu plus gros, et on pourrait même penser qu’ils seraient plus à leur avantage dans une pièce de théâtre, comme le coup de la chaise reculée. Mais quel plaisir de retrouver ce trio hors du commun, ce trio qui nous a fait partager tant d’aventures aussi folles et cocasses les unes que les autres ! L’esprit bon enfant est toujours là, peut-être même un peu trop. "Hein Tassin ?" "Hein Pithivier ?" Car il faut quand même bien le reconnaître : ça tombe parfois dans une certaine puérilité, certes déjà auparavant présente, mais quelque peu démultipliée ici. "Oh ! un mulot !" par ci, des "Haaaaaaaaah" par là… Il n’empêche qu’il reste pas mal des scènes drôles qui réussissent à compenser largement cette baisse de qualité : le quiproquo dans la cave, la scène des paniers retournés, et le summum avec les déguisements en aviateurs anglais qui inspirent encore des répliques cultes ("Tas-sine ! Do-nne ton fal-zar !" spoiler: avec un pseudo accent british aussi déformé que par quelqu’un qui ne connait pas un traître mot de la langue de Shakespeare ; et ça ose dire qu’ils ne comprennent pas parce que l’accent de leur interlocuteur n’est pas bon… hilarant ). Des scènes savoureuses avec des quiproquos utilisés à bon escient pour meubler une nouvelle réalisation moins épique et surtout moins dense. Le rythme est en deçà de ce que nous avaient offert les retrouvailles avec la 7ème compagnie, et on sent bien que des pages ont été tournées et que la franchise arrive à son terme. Si le premier épisode tendait à ridiculiser la débâcle de l’armée française, et si l’armée allemande en prenait pour son grade aussi dans le deuxième, ce coup-ci c’est la milice française aux services de la Gestapo qui est visée. La réalisation laisse parfois à désirer, notamment celle du bateau où la séquence-clé a été montée en accéléré. Peu importe, la trilogie est restée dans toutes les mémoires et va y rester encore pour un bout de temps. Flanqué de ses deux hommes pour des vacances bien méritées et qui ne seront pas de tout repos, Pierre Mondy est encore une fois excellent avec ses mimiques dont lui seul a le secret. Deux ans après avoir retrouvé la 7ème compagnie, le spectateur n’a pas de mal à se remettre dans le bain, grâce au rappel des folles aventures fait par l’intermédiaire de rapides extraits venus constituer le générique de début, porté par le sempiternel thème musical que tout le monde connait. Au final, on ne peut critiquer cette trilogie : on ne peut que louer l’adéquation qu’il y a eu dans le trinôme constitué par les acteurs/personnages/dialogues. Et en prime, nous, les spectateurs, repartons avec des répliques cultes sous le bras et le sourire aux lèvres. Que demander de plus ?
"La Septième compagnie au clair de lune" est le troisième et dernier volet de la trilogie. Et globalement, pour faire simple, on se retrouve face à une conclusion très semblable au deuxième épisode en matière de qualité globale. Les défauts ne sont pas forcément les mêmes, mais le résultat est globalement assez similaire à ce que nous avions vu dans le second opus. Dans le précédent film, c'est le côté très répétitif et vite redondant du projet qui pêchait. Ici, le scénario essaie d'être un poil plus réfléchi au niveau de ces situations. L'histoire suit une ligne directrice assez précise, mais elle aura quand même pas mal de rebondissements pour essayer de venir remplir le tout. L'idée de voir nos personnages en fuite, cela va permettre d'éviter une trop grande redondance des enjeux. Cependant, le problème va bien plus venir du fait que cette nouvelle histoire n'ait rien de très intéressante et que le film est peut-être le moins drôle des trois volets. Il y a toujours quelques bons gags, on rigole quand même, mais on est bien loin de l'humour du premier volet. La force de ce premier film reposait essentiellement sur le fait de toujours renouveler ses gags, même si la situation était la même. Ici, les gags s'éternisent parfois trop et reviennent bien trop souvent. Par exemple, on peut prendre ce gag de la chaise qui se fait retirer ou de l'amant dans la cave. C'est très répétitif et cela n'apporte pas grand-chose de neuf. C'est peut-être drôle une fois, à la limite, mais c'est tout. Par conséquent, ce film est probablement celui que j'aime le moins des trois épisodes. Il est plutôt du même niveau que le deuxième, mais il reste quand même bien moins drôle et percutant. Cependant, même si les deux derniers volets sont assez moyens, on n'oubliera pas l'influence qu'aura eue cette saga à cette époque. Rire de la guerre a certainement fait du bien à beaucoup de monde, et rien pour cela, on peut saluer cette licence ! Pour conclure, un dernier film dans la lignée du précédent.
Pour beaucoup le moins bon de la trilogie. On retrouve nos héros dans la vie civile qui vont devenir malgré eux des héros résistants. L'ambiance n'est donc plus la même que pour les deux autres mais les gaffes sont toujours légions. On s'amuse toujours autant et on apprécie de voir certains seconds rôles (André Pousse, Jugnot, Carmet..). Sympathique !
Pour moi c est très clairement un épisode en trop. Si les deux premiers étaient des films familiaux qui s amusaient de la débâcle avec des soldats à la fois couards et orgueilleux. Ce troisième volet qui voit plonger Chaudard, Tassin et Pitivier bien malgré eux dans la résistance est loupé. Les gags sont plus lourds et se rapprochent même de la beauferie selon moi, cela devient redondant. Mise à part deux trois choses sympathiques comme la quincaillerie de Chaudard ou le déguisement en aviateurs anglais ce dernier épisode ne me laissera pas un grand souvenir.
Décevant par rapport deux premiers. Moins drôle car nos trois braves sont retournés à la vie civile, et font malgré eux, de la résistance. Le sujet reste intéressant mais l'humour est moins surprenant, moins travaillés. On s'attend déjà au gag avant qu'il n'arrive. Du plaisir à retrouver nos 3 camarades et une transition faite par rapport à la fin du premier (1944) qui est plausible.
Très bonne suite et dernier opus de la trilogie.Le casting est un peu différent avec notamment Gerard Jugnot en plus dans un petit rôle.On a le droit à quelques gaffes des personnages qui nous font rire à plusieurs reprises.De plus le trio principal a la chance de son côté et comme à son habitude ils ont les mérites de quelqu'un d'autre. Très bon moment devant ce film.
Un poil moins drôle que le cultisme "On a retrouvé la septième compagnie", cette dernière aventure des trois plus braves soldats que la France à sans doute enfanté n'en reste pas moins excellente. Merci Jean Lefebvre, merci Pierre Mondy, merci Lamoureux, merci tout ce beau monde pour cette trilogie tellement plaisante à revoir année après année. Du cinéma français comme on en fait plus... 16/20
On saluera la recherche de nouveauté, comme le quotidien du civil Chaudard, ou l'apparition des résistants et de la Gestapo. Mais, à l'image de la deuxième aventure, le film peine à maintenir le rythme sur la durée totale et s'essouffle après 45 minutes de quiproquos et de répliques assez drôles.
Les nouvelles péripéties comiques de nos joyeux trouffions sont tellement tordantes et les acteurs naturellement excellent (en premier Mondy et Lefebvre) que finalement on ne peut que passer un bon moment avec ce 3ème volet des aventures de la 7ème compagnie. Pierre Tornade et Robert Lamoureux ayant déserté les rangs, les héros vont se retrouvé à faire malgré eux de la Résistance et devront toujours se tirer des pires embuches afin d'échapper au terrible "Lambert" de la Gestapo joué par André Pousse et bien sur les Allemands. Les répliques sont comme de coutume aussi fendart que de coutume et la musique toujours culte. De la comédie française fait pour distraire, sans violence ni vulgarité, un cinéma qui ne se fait plus du tout de nos jours, hélas.
Le fond du fond de la comédie est ici atteint par cette septième compagnie au clair de lune. Le pire, c’est que certains gags sont tellement pourris que j’ai réussi à en rire nerveusement et à en faire des running jokes dans mon quotidien (si un jour vous entendez un mec vous dire « Tassin, file-moua ton fâlsawe », vous saurez que c’est moi…) Mais bon… Voila bien la seule raison qui m’a poussé à mettre une gentille petite étoile à ce film.
On retrouve avec plaisir Pierre Mondy, Jean Lefebvre et Henri Guybet mais cette nouvelle escapade des trois vedettes de "la 7ème Compagnie" est un peu à part par rapport aux deux précédentes. Malgré des seconds rôles sympas, quelques passages marrants, des quiproquos amusants, on sourit plus que l'on ne rit. Avec une histoire bancale, ce «Clair de Lune» est l’épisode de trop.