" On a retrouvé la 7e compagnie " second volet de la trilogie de " La 7e compagnie " .
Pitivier , Tassin , Duvauchel et le chef Chaudard ont réussit à libérer la 7e compagnie prisonnier des allemand grâce à la dépanneuse voler . Mais à peine les ont ils libérer que la 7e compagnie se refait capturer aussitôt par les allemands . Pitivier , Chaudard , Duvauchel et Tassin se retrouve de nouveau livré à eux mêmes en plein milieu de la France occuper par les allemands et c'est le début d'un nouvelle série de mésaventures hilarantes ...
L’énorme succès de " Mais où est donc passé la 7e compagnie " qui était devenu le 3e plus gros succès de l’année 1973 poussera son réalisateur Robert Lamoureux à poursuivre l’aventure dans une suite deux ans plus tard nommer " On a retrouver la 7e compagnie " . Ce second volet de la trilogie de " La 7e compagnie " est excellent . il est aussi bien que le premier film voir même plus hilarant . Une suite qui connu également un gros succès en salle ( plus de 3,6 millions d'entrées ) . Nos trois compères ( Chaudard , Tassin et Pitivier ) vont donc se retrouver de nouveau livré à eux mêmes en plein milieu d’une france en guerre face aux allemands et sa sera alors le début d'une nouvelles série de mésaventures hilarantes . Pierre Mondy est toujours parfait et drôle dans le rôle du chef Chaudard qui doit de nouveaux gérer ses deux compagnons d’armes Pitivier et Tassin ce duo de bras cassé lors d’une nouvelle série de mésaventures délirantes et qui va de nouveaux s’arracher les cheveux . Pitivier est toujours incarner à merveille par un Jean Lefebvre hilarant dans un ce rôle de pantouflard vraiment pas futé qui lui colle à la peau embarqué bien malgré lui dans des mésaventures pas possible . Il est accompagner par Tassin qui change de visage car incarner cette fois ci par Henry Guybert . Aldo Maccione n'ayant pas voulu reprendre son rôle de Tassin apparemment pour des différents financiers avec les producteurs du film ( apparemment il demandait un salaire trop élever pour jouer dans cette suite ) c’est Henry Guybert qui le remplace . Il le remplace à merveille et il se fond parfaitement dans ce personnage de grand benêt même si l’accent italien et le charisme de Aldo nous manque un peu . Un film remplit de scénes cocasse très drôles spoiler:
( les trois compères coincer dans la roue , l'évasion du château avec la scène des matelas , la scène finale sur le train ... )
et de répliques cultes hilarantes spoiler:
( " Groupir j'ai dit groupir " , " le fil vert sur le bouton vert le fil rouge sur le bouton rouge " , " si je connaissait le con qui a fait sauter le pont " , " mais non l'exemple c'est quand le plus chef donne au moins chef pas le contraire " , " château vieux " .... )
. La reconstitution de la France en guerre de 1940 est toujour très bien reconstituer grâce a de très bons décors et costumes . La musique est toujour très bonne et colle toujours à merveille a l'esprit délirant du film .
Pour résumer " On a retrouver la 7e compagnie " est une très bonne suite de " Mais où est donc passé la 7e compagnie " encore plus drôle que le premier volet et qui est devenu comme son aîné un classique de la comédie française des années 70 . Sans hésitation le meilleur épisode de la trilogie .
Une très bonne comédie à la française , bien écrite, on retrouve toute la finesse de Robert Lamoureux, on s'amuse beaucoup. Les acteurs sont tous excellents, et nous font un numéro de haute gags s'enchainent à un bon rythme, des répliques cultes, et puis il y a un côté cocardier , nostalique. Ces braves gars deviennent des héros sans le vouloir . C'est très français , les personnages sont bien vus , les faux résistants , les passifs, les proactifs. C'est une bonne perception assez juste. Un très bon moment de comédie.
Dans les bons vieux classiques de la comédie française des années 70 voilà donc On a retrouvé la 7ème compagnie. Bon, ce n’est pas un chef d’œuvre, mais malgré le poids des années, ce film reste encore distrayant, et amusant en dépit de gags pas très fins. L’interprétation est d’abord un bon point. Les acteurs en présence ont eu plus de bas que de haut, certes, mais bien dirigés ils ont un réel potentiel comique. Lefebvre est de ceux-là, formant avec Guybet un bon duo, ce-dernier succédant très bien à Aldo Maccione et s’avérant même à mon sens supérieur. A leur coté Pierre Mondy est solide, livrant une prestation qui trouve le bon point d’équilibre entre le comique et le sérieux, suffisamment du moins pour apporter un contraste avec les deux sus-nommés. On notera pour le reste un Pierre Tornade un peu placide mais assez discret en même temps, et quelques seconds rôles de valeur, même si le jeu est parfois assez outré. Coté scénario, c’est un peu faible. L’histoire en elle-même est dynamique, avec des rebondissements, et quelques moments « légendaires » que les ainés connaissent par cœur. Elle est amusante, et réserve quelques moments « films d’aventure » tout à fait honorables, notamment avec le train sur la fin. Maintenant l’ensemble est trop répétitif, manquant réellement de liant entre les différents chapitres du film. On sent un certain affaissement en matière de narration par rapport au premier film. C’est dommage car du coup on a plus l’impression d’une suite de sketch, qu’autre chose. La fin ouvre bien sur sur une suite (laquelle ne sera d’ailleurs pas vraiment dans la continuité), mais elle n’est pas franchement enthousiasmante. Visuellement, On a retrouvé la 7ème compagnie offre les mêmes éléments que le 1. La mise en scène est un peu roide, peinant à donner de l’intensité par moment, surtout en fait dans les passages « action », comme sur le train à la fin. Lamoureux pour le reste arrive à s’en sortir, mais évidemment c’est peu audacieux. La photographie reste tout à fait convenable pour un film de 1975, et elle accompagne des décors de très bonne facture. Ces-derniers donne au film une surprenante allure tout à fait classieuse. Enfin, niveau musique, aucune surprise, le premier film à légué tout son répertoire à cette suite. En clair, On a retrouvé la 7ème compagnie est un film agréable, qui n’a pas énormément vieilli. Certes l’humour ne vole pas très haut, mais les acteurs le font bien passer, et puis il a un coté potache et bon enfant enthousiasmant. Par ailleurs quelques moments sérieux viennent donner au film une réelle dimension « aventure » qui le distingue d’autres comédies militaires de l’époque. Formellement très convenable, il mérite d’être vu.
Après l'avoir perdue, la 7ème compagnie revient en grande forme. Situations cultes, des dialogues en or, et un jargon qu'on peut encore utiliser aujourd'hui (le fameux "groupir", "le fil bleu sur le bouton bleu"...), le duo Lamoureux (encore une fois à la réalisation)/Jean-Marie Poiré (fils d'Alain et se faisant scénariste) se fait plaisir, et ce avec des bidasses en folie incroyables : Lefebvre, Mondy, Guybet (le remplaçant d'Aldo), Tornade, et aussi un Lamoureux super. Si l'on met de côté le scénario (la Guerre 1939-45), il faut dire que ces sacrés trognes s'en donnent à cœur joie. Ici, le but est atteint. Rigolades en perspective. Rediffusions aidant, ce film culte a tout pour lui. En revanche, il reste un classique, indétrônable certes, mais qui fait aujourd'hui "vieux film". On rit pour des gags efficacement simples. Robert Lamoureux s'amuse en bonne compagnie, et c'est tant mieux. A regarder au moins une fois dans sa vie.
Le second volet de la fameuse trilogie du magistral Robert Lamoureux, Henri Guybet rejoint l’équipe en la personne de Tassin qui était interprété par le génial Aldo Maccione dans le premier, il le remplace à merveille et se mélange parfaitement à l’équipe, le scénario est une fois de plus à mourir de rire, les répliques sont des perles, les situations sont irrésistibles, bref ce deuxième volet est aussi parfait que le premier.
Ce deuxième épisode est le retour(Aldo Maccione en moins) d'une équipe qui gagne,enfin qui perds à coup sûr. Robert Lamoureux continu de se moquer des défauts d'une armée totalement inadaptée face à ce qu'elle allait trouver sur son chemin. Ce volet tient toujours son lot de scènes hilarantes.
Utilisant la même recette que le premier film, ce nouvel épisode de la 7ème compagnie est tout aussi efficace grâce encore une fois à ses acteurs (dont le fabuleux Jean Lefebvre) malgré le changement notable et discutable d’Aldo Maccione par Henri Guybet. Cependant, les mêmes critiques que pour son prédécesseur s’abattent sur ce film qui souffre aussi de son âge ainsi que d’un rythme haché. Robert Lamoureux ici se contente un peu trop d’additionner des scènes comiques sans faire plus attention à l’ensemble du film. Comme pour son grand frère, ce deuxième épisode de la 7ème compagnie s’apprécie, fait sourire (et même parfois franchement rire) sans pour autant transcender le spectateur.
"On a retrouvé la 7ème compagnie" continue sur le succès du 1er; toujours avec des situations et des péripéties tordantes. Il fallait des comédies telles que celle-ci pour éponger (un peu) le traumatisme de la guerre. Très bon film signé par le talentueux Robert Lamoureux.
Un 2ème opus nettement plus drôle que le précèdent. Nos 3 compères se retrouve dans des situations rocambolesques, avec plus de gags et plus de répliques cultes. Personnellement mon préféré des 3, même si le meilleur reste le 1er.
J'ai personnellement trouvé ce second épisode meilleur que le premier. Deuxième volet d'une trilogie, "on a retrouvé la septième compagnie" a vu le jour uniquement grâce à la très bonne prestation au box-office du premier (il n'y a qu'à voir la fin du premier film qui n'annonce absolument pas le deuxième). Les acteurs reprennent leurs propre rôle hormis Aldo Maccione qui quitte malheureusement l'aventure (problème de sous, évidemment) et est remplacé par Henri Guybet qui reprend donc le rôle de Tassin. Bien que le film soit entaché d'un manque de crédibilité, l'humour n'en reste pas moins présent pour notre plus grand bonheur et même plus que dans le premier, le montage qui faisait défaut dans le premier est un peu corrigé et le rythme est plus soutenu, tout cela agrémenté de phrases cultes dans l'histoire de la comédie française. Un très bon épisode donc !
Moins bon que le premier opus, ce second volet se laisse cependant regarder avec plaisir. Les évasions et les reprises à répétition par les Allemands finissent par lasser. Henri Guybet a du mal à faire oublier Aldo Maccione. Dans l'ensemble, on assiste à un bon gros comique bien franchouillard, notamment lorsque nos trois lascars sont déguisés en officiers français et en infirmiers allemands.