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7 abonnés
815 critiques
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4,0
Publiée le 18 avril 2020
Une bonne suite dans la lignée du premier. Henry Guibet remplace Aldo Maccione dans le rôle de Tassin. Le film exploite l'idée d'évasion . Le comique de situation est toujours bien servi notamment avec les uniformes. Des comédies françaises comme on en fait plus
Le premier film, "Mais où est donc passée la 7ème compagnie ?" m'avait laissé un sentiment mitigé. J'avais ri quelques fois mais je ne m'étais pas roulé par terre non plus et pourtant, j'y décelé un énorme potentiel comique.
A ma grande surprise, "On a retrouvé la 7ème compagnie" a finalement su exploiter ce potentiel pour en faire un film hilarant.
J'ai donc eu plaisir à retrouver ces personnages de bras cassés qui sont au coeur de running gags efficaces.
Il faut saluer le talent de Jean Lefebvre pour jouer les imbéciles. Il est irrésistible dans ce rôle et apporte beaucoup au côté comique de ce long-métrage.
Son personnage évolue dans une histoire linéaire mais qui n'est au moins pas capillotractée. Elle permet d'apporter d'une façon crédible les conditions pour qu'un quiproquo surgisse et fasse rire le spectateur. C'est réussi !
Cette suite est aussi bonne que le premier volet. Aldo Maccionne à laissé sa place à Henry Guibet qui s en tire pas mal. Mondy et Lefevre sont toujours excellent dans le rôle. Ce second volet à réussi à ne pas trop reprendre les gags du premier et donc à innover un peu. Même s il garde un certain comique de répétition. En effet le si je connaissais le C... Qui a fait sauter le pont n est pas sans rappeler le j ai glisse chef du premier volet.
Du cinéma comique efficace, qui atteint sans problème son objectif : faire rire. La scène chez le pharmacien est monumentale ("la guerre, c'est rien à côté de la mère Crouzy"). Classique !
Ah le 2e volet de la 7e compagnie je pense pas qu'il aurait pu faire mieux. ce qui est dommage c'est que Aldo Macionne n'est pas revenue dans cette suite car il était trop gourmand en terme d'argent. Les réplique de cette suite sont encore plus culte et drôle que le précédent film. certaine scene sont loufoque et le personnage de petivier et tellement drôle et ca réplique que tous le monde connais et qui est devenue culte. Et l'histoire et les dialogue sont grandiose .
La suite des aventures de ce deuxième volet en compagnie de nos trois compères : Tassin, Pitivier et Chaudar. Une suite excellente et au niveau du premier volet avec toujours et encore pus de gags, des scènes hilarantes (comme celle des lits dans les châteaux dont je m'en lasse jamais). Un film donc que l'on aimerais voir plus souvent et qui permet de nous divertir sur un sujet gravissime celui de cette Seconde guerre mondiale et ces hommes tentant de survivre. Quand aux acteurs ils jouent tous pleinement leurs rôles et le générique du début est très intéressant puisqu'il nous permet de nous remettre le spectateur dans l'histoire. Un volet vu et revus, similaire à son premier mais qui reste cependant une belle comédie de guerre culte
L'humour potache et l'originalité des blagues (comme avec les matelas), fait que l'on rigole souvent de bon coeur. Le trio d'acteurs principaux excellent ensemble et maintiennent le film dans les bons rails. Des répliques devenues cultes, grace a la simplicité et l'aura des personnages et aussi d'un scénario sans encombres.
Une suite tout aussi réussi que le premier. Un film excellent avec de nombreuses répliques devenues cultes, des scènes d'anthologie, des mimiques et des acteurs géniaux.
Ahhh ! nos trois garnements n'en manquent pas une pour se faire remarquer, mais c'est ce que l'on aime ! :D sur les mêmes pas que le premier, toujours aussi hilarant. : )
Une suite inférieure au premier film mais qui reste encore de très bonne tenue, même si le scénario est parfois discutable. Par exemple, je trouve dommage que la septième compagnie soit reprise par les allemands et que le lieutenant soit séparé des trois lascars car j'aimais beaucoup l'équipe qu'ils formaient. Enfin, le film fonctionne toujours grâce au trio. On retrouve d'ailleurs Henri Guybet remplaçant Aldo Maccione dans le rôle de Tassin. Et vraiment, je trouve qu'il assure très bien le rôle (dommage que sa carrière n'ait jamais vraiment décollé car c'est un excellent acteur).
Alors comme ça, "On a retrouvé la 7ème compagnie" ? Eh bien tant mieux, pour le plus grand plaisir des spectateurs, friands de comédies légères sans prise de tête. Nous sommes heureux de retrouver nos trublions "en poste avancé" pour "faire la tenaille" dans le cas très hypothétique où les forces allemandes viendraient à battre en retraite. Pour se remettre dans le bain, rien de mieux que de placer un petit résumé des exploits involontaires de notre trio de choc, héros malgré eux. On remarquera que ces quelques scènes de rétrospective ne comportent jamais Tassin à l’écran, puisque Henri Guybet est venu prendre la place d’Aldo Maccione, devenu trop gourmand quant à son cachet. Jamais ? Excepté la dernière, retournée pour l’occasion avec la nouvelle recrue pour reprendre exactement là où le premier épisode nous avait laissés. Sauf que nous avions eu droit à un petit baroud d’honneur puisque l’épilogue se situait au temps du débarquement en Normandie en juin 1944. Nous voilà donc partis pour une "midquel", une "intra-aventure" imprimée dans le même moule que l’entame de la trilogie. Autrement dit, on prend les mêmes (ou presque) et on recommence, avec en prime la présence de l’inimitable Jackie Sardou, interprétant la mère Crouzyspoiler: qualifiée de bien pire que la guerre. Et il est vrai qu’elle ne laisse aucune équivoque… Le fait est que la continuité ne nous fait pas perdre le fil, avec un Robert Lamoureux toujours aux commandes, muni cette fois de sa solitude, d’une bonne paire de chaussures, et d’une mission : faire sauter des ponts. Et c’est ce qui va entraîner bon nombre de situations truculentesspoiler: (dépannage de la dépanneuse de chars) , et des répliques encore cultes : entre "ce que j’en ai marre !" ou "Si je connaissais l’con qui a fait sauter l’pont !" ou encore "Qu’est-ce qu’y dit ?" et le célèbre "Le fil vert sur le bouton vert, le fil rouge sur le bouton rouge", sans oublier le non moins célèbre "Groupir !". Les gags se multiplient, frisant même parfois le ridicule (les allemands n’étaient pas aussi idiots) comme par exemple lors de ce que j’appelle la scène du ballet des paillasses. Assurément, cette folle équipe a dû bien se marrer pendant le tournage, même si les choses ont été loin d’être simples lors de l’échappée dans la rivière. Esprit léger, dérision, sans aucune vulgarité ni violence, on prend à nouveau du plaisir à suivre cette comédie franchouillarde pour un bon moment de détente. D’autant plus que Henri Guybet nous fait presque oublier Aldo Maccione, en ayant su s'approprier toutes les attitudes, avec toutefois un peu plus de douceur. Alors on pardonnera volontiers cette plus complète improbabilité lors de la séparation du convoi de son matériel moteur. Je vous le dis, c'est IM-PO-SSI-BLE. En tout cas, pas avec le système d’accrochage et de freinage (pneumatique) tel qu’ils sont conçus en France, alors que le convoi roule et que de ce fait, l'attelage est en complète tension. Rassurez-vous, je n'ai pas l'intention de vous faire un cours là-dessus, je préfère plutôt vous laisser profiter de cette bonne petite comédie qui n'a nulle autre prétention que d'amuser et de distraire le spectateur.
"On a retrouvé la 7ème compagnie" est le deuxième épisode de cette trilogie culte des années 70. Après un premier volet assez correct et ayant marqué le public par beaucoup de ses gags, la tendance va cependant s'inverser avec les deux suites. Le premier problème à ce niveau-là étant assez simple, étant donné qu'elles n'étaient même pas prévues. Quand on voit le final du premier film et l'introduction de celui-ci, on comprend que nous sommes en face d'un long-métrage uniquement réalisé à la suite du succès du précédent. Rien n'était prévu et cela se ressent. Le film garde quelques bons gags et il réussit à faire rire grâce à quelques répliques cultes, notamment celle du pont ! Mais pour le reste, l'œuvre souffre de bien trop de défauts assez dérangeants. Déjà, au niveau des gags, beaucoup sont repris du premier volet. On retrouve ce gag sur la façon de nager du chef, le fait que le chef se croit largement supérieur, etc... Il y a peu de nouveautés qui nous seront apportées, ce qui est bien dommage. Et globalement, le film tourne beaucoup trop en rond pour réussir à aller vers un chemin nouveau. On passe notre temps à voir nos personnages se faire capturer, puis tenter de s'échapper. C'est toujours la même chose, jusqu'à la fin du film ! Le scénario n'a donc rien de très original, il se contente sans cesse de reproduire ces rebondissements. Par conséquent, si le début du film arrive à être une sorte de suite immédiate au précédent volet, à partir du milieu de l'intrigue, on commence vraiment à beaucoup s'ennuyer. Et c'est dommage, car je pense qu'il y avait mieux à faire avec cette suite. Je sais que les personnages ne sont pas très profonds et qu'ils n'ont rien de transcendant, mais avec une histoire en temps de guerre, un effort supplémentaire aurait été une bonne chose. L'ensemble est donc assez drôle et dans la continuité du premier volet, mais il n'apporte rien de très intéressant à regarder. Pour conclure, une suite sans inspiration.