Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
28 critiques presse
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
"Grand tour" revivifie la force du cinéma des origines, dans la sincérité de sa cinématographie, vecteur d'émotions plastiques et sentimentales. Grand film.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
Paris Match
par Yannick Vely
Le réalisateur portugais Miguel Gomes propose avec « Grand Tour » un voyage dans le temps et l’espace, s’affranchit des règles de la reconstitution pour une œuvre d’une incroyable beauté plastique.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Cahiers du Cinéma
par Marcos Uzal
Grand Tour est un film qui invente ses propres règles et les expose clairement, à la manière d’un jeu libre plus que d’un dispositif, s’amusant avec la narration et les matériaux, plutôt que de les soumettre à un principe théorique.
CinemaTeaser
par Renan Cros
Exigeant, hypnotique et somptueux.
La critique complète est disponible sur le site CinemaTeaser
Culturopoing.com
par Pierig Leray
Gomes filme magistralement la libération des croyances, le désapprentissage de l’amour individuel, ce détachement du carcan occidental par l’observation et l’écoute, la défection de l’égoïsme pour l’amour du pluralisme.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
L'Humanité
par Samuel Gleyze-Esteban
Ces allers-retours d’un régime visuel à l’autre compliquent la situation figurative induite par l’histoire de ce couple, somme toute anecdotique, et donnent à Grand Tour une touffeur rare au cinéma. Y apparaît, vers la fin, un très beau personnage, Ngoc (Lang-Khê Tran), domestique dans une maison d’un riche propriétaire, qui ouvre son monde à Molly. À son contact, le film confirme ce que le spectateur sentait depuis le départ : l’essentiel, ici, est dans les à-côtés.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
L'Obs
par Guillaume Loison
Comment interpréter cette drôle d’incursion dans l’échappée d’Edward et de Molly ? C’est sans doute pour Miguel Gomes une manière de regarder les richesses d’un monde que ces amants contrariés traversent sans rien voir, et de cristalliser ces personnages comme les fantômes d’un passé rendu volatil par la magie du cinéma.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Croix
par Céline Rouden
Si la démarche peut apparaître au premier abord expérimentale, il faut accepter de se laisser guider dans les méandres de son imaginaire pour en apprécier la beauté. Qu’il s’agisse des forêts de bambou artificielles de son Orient de pacotille, des temples enneigés du Japon ou du ballet de scooters sur un rond-point vietnamien sublimé par une valse de Vienne.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Monde
par J-F. R.
A l’arrivée, la redistribution discursive d’un matériau dès lors mis au service d’une narration originale. A moins que ce ne soit le contraire, c’est-à-dire la recomposition d’une trame romanesque s’adaptant aux images préexistantes. Il s’agit en tout état de cause d’un récit tragi-comique, picaresque et épique, tout autant qu’un mélange de sensations, un trip géographique et mental, un puzzle conceptuel.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Fiches du Cinéma
par Paul Fabreuil
Un Miguel Gomes fascinant, qui marie des structures expérimentales à un mélo plein de rêveries. Il déconstruit avec douceur le colonialisme et fait ainsi sentir tout en finesse l’écœurante fascination, vers 1910, pour les stéréotypes qu’il fabriquait.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
par Arnaud Hallet
Voilà un récit de voyage qui ressemble à un rêve, où le cinéaste portugais excelle comme à son habitude à entrechoquer ses imaginaires.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Sandra Onana
Comme ça, pour voir, Miguel Gomes provoque des idées comme pour vérifier ce qu’il est possible de faire avec le cinéma. Il le fait avec ce sens de l’humour quasi-indécodable, ou cette drôle de gravité qui n’en est pas, toujours cette sensation d’émoi à l’ouvrage.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Nice-Matin
par Cédric Coppola
Justement récompensé à Cannes par le prix de la mise en scène, ce geste exigeant de prime abord s’avère être au fil des minutes hautement universel. Une attraction qui, plutôt que de jouer sur les loopings, préfère la séduction, la réflexion et privilégie toujours l’émotion. Brillant.
Positif
par Nicolas Bauche
Ce souvenir érotique au masculin est la pierre de touche de l’œuvre de Gomes. Un homme-obsession dont la rémanence bouscule notre vision du monde et du cinéma. Grand Tour nous invite à ce bouleversement inédit, ne passez pas outre !
Transfuge
par Frédéric Mercier
[...] des bribes d'images inoubliables jaillissent de ce grand Tour de magie de cinéma [...], comme seul le grand cinéma, le plus aventureux en tout cas, peut réussir à nous le faire percevoir.
Télérama
par Jacques Morice
Une insolite épopée romantique.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
Une œuvre atemporelle qui émerveille.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Abus de Ciné
par Olivier Bachelard
Certains seront sans doute déroutés, par l’absence régulière du ou de la protagoniste à l'écran, donnant la sensation que la caméra elle-même se laisse aller au rythme de certains lieux, errant à sa guise, se détachant d’une notion d’intrigue. Il en résulte une véritable sensation de voyage et de dépaysement.
La critique complète est disponible sur le site Abus de Ciné
Konbini
par Arthur Cios
Un prix de la mise en scène à Cannes plutôt logique tant la grande force du nouveau Miguel Gomes réside dans son images, ses cadres sublimes, cette caméra mouvante qui évolue au fil du temps. Pas nécessairement facile d'accès, mais le voyage en vaut la peine.
La Septième Obsession
par Xavier Leherpeur
Projet persifleur et salutaire, supporté ici par une expression formelle éthérée et picturale, superbement maîtrisée.
Sud Ouest
par Julien Rousset
Une errance parfois éblouissante, parfois ennuyeuse. On se demande souvent si c’est génial ou fumeux. Seule certitude : on voit au travail un cinéaste follement inventif, qui va au bout de ses intuitions.
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
Télé 2 semaines
par Margot Loisel
Ce qui fait la plus grande qualité de cette romance contrariée, c'est le personnage féminin, Molly, espiègle et résiliente, qui marque et qui touche.
Critikat.com
par Robin Vaz
Gomes tombe dans l’écueil qu’il avait jusqu’ici toujours réussi à éviter : celui du dandysme.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
La Voix du Nord
par Christophe Caron
Diaporama contemplatif hors du temps et jeu de piste accroché à une époque coloniale où tout le monde semble se perdre (y compris le spectateur), Grand Tour a obtenu le prix de la mise en scène au dernier Festival de Cannes. Mais en cherchant à nous envoûter, il a plutôt fini par nous ennuyer.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Journal du Dimanche
par Barbara Théate
On est hypnotisé par la virtuosité de la mise en scène et le sens du cadre, le charisme de l’héroïne et le jeu entre la couleur et le noir et blanc, mais on perd finalement pied car ce "Grand Tour" est surtout très long et manque d’enjeux.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Première
par Thomas Baurez
La singularité du cinéma de Gomes récompensé d’un prix de la mise en scène cannois, apparaît dès lors un poil fabriqué, d’une ironie factice. Sur le territoire du « film-rêve » (un genre en soi) on préférera les virées fiévreuses et mystiques d’un Lav Diaz ou la poésie iconoclaste d’Albert Serra
La critique complète est disponible sur le site Première
Le Figaro
par Etienne Sorin
Présenté en compétition à Cannes, le film du Portugais Miguel Gomes est reparti avec le prix de la mise en scène. Il aurait mieux valu lui décerner la palme de l’ennui.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Point
par La Rédaction
Le réalisateur souhaite à l'évidence nous faire réfléchir sur l'époque coloniale et ses contradictions en orchestrant ces collisions d'époques et d'histoires. Mais le sens peine à émerger, et les personnages sont trop antipathiques pour capter durablement l'attention.
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Franceinfo Culture
"Grand tour" revivifie la force du cinéma des origines, dans la sincérité de sa cinématographie, vecteur d'émotions plastiques et sentimentales. Grand film.
Paris Match
Le réalisateur portugais Miguel Gomes propose avec « Grand Tour » un voyage dans le temps et l’espace, s’affranchit des règles de la reconstitution pour une œuvre d’une incroyable beauté plastique.
Cahiers du Cinéma
Grand Tour est un film qui invente ses propres règles et les expose clairement, à la manière d’un jeu libre plus que d’un dispositif, s’amusant avec la narration et les matériaux, plutôt que de les soumettre à un principe théorique.
CinemaTeaser
Exigeant, hypnotique et somptueux.
Culturopoing.com
Gomes filme magistralement la libération des croyances, le désapprentissage de l’amour individuel, ce détachement du carcan occidental par l’observation et l’écoute, la défection de l’égoïsme pour l’amour du pluralisme.
L'Humanité
Ces allers-retours d’un régime visuel à l’autre compliquent la situation figurative induite par l’histoire de ce couple, somme toute anecdotique, et donnent à Grand Tour une touffeur rare au cinéma. Y apparaît, vers la fin, un très beau personnage, Ngoc (Lang-Khê Tran), domestique dans une maison d’un riche propriétaire, qui ouvre son monde à Molly. À son contact, le film confirme ce que le spectateur sentait depuis le départ : l’essentiel, ici, est dans les à-côtés.
L'Obs
Comment interpréter cette drôle d’incursion dans l’échappée d’Edward et de Molly ? C’est sans doute pour Miguel Gomes une manière de regarder les richesses d’un monde que ces amants contrariés traversent sans rien voir, et de cristalliser ces personnages comme les fantômes d’un passé rendu volatil par la magie du cinéma.
La Croix
Si la démarche peut apparaître au premier abord expérimentale, il faut accepter de se laisser guider dans les méandres de son imaginaire pour en apprécier la beauté. Qu’il s’agisse des forêts de bambou artificielles de son Orient de pacotille, des temples enneigés du Japon ou du ballet de scooters sur un rond-point vietnamien sublimé par une valse de Vienne.
Le Monde
A l’arrivée, la redistribution discursive d’un matériau dès lors mis au service d’une narration originale. A moins que ce ne soit le contraire, c’est-à-dire la recomposition d’une trame romanesque s’adaptant aux images préexistantes. Il s’agit en tout état de cause d’un récit tragi-comique, picaresque et épique, tout autant qu’un mélange de sensations, un trip géographique et mental, un puzzle conceptuel.
Les Fiches du Cinéma
Un Miguel Gomes fascinant, qui marie des structures expérimentales à un mélo plein de rêveries. Il déconstruit avec douceur le colonialisme et fait ainsi sentir tout en finesse l’écœurante fascination, vers 1910, pour les stéréotypes qu’il fabriquait.
Les Inrockuptibles
Voilà un récit de voyage qui ressemble à un rêve, où le cinéaste portugais excelle comme à son habitude à entrechoquer ses imaginaires.
Libération
Comme ça, pour voir, Miguel Gomes provoque des idées comme pour vérifier ce qu’il est possible de faire avec le cinéma. Il le fait avec ce sens de l’humour quasi-indécodable, ou cette drôle de gravité qui n’en est pas, toujours cette sensation d’émoi à l’ouvrage.
Nice-Matin
Justement récompensé à Cannes par le prix de la mise en scène, ce geste exigeant de prime abord s’avère être au fil des minutes hautement universel. Une attraction qui, plutôt que de jouer sur les loopings, préfère la séduction, la réflexion et privilégie toujours l’émotion. Brillant.
Positif
Ce souvenir érotique au masculin est la pierre de touche de l’œuvre de Gomes. Un homme-obsession dont la rémanence bouscule notre vision du monde et du cinéma. Grand Tour nous invite à ce bouleversement inédit, ne passez pas outre !
Transfuge
[...] des bribes d'images inoubliables jaillissent de ce grand Tour de magie de cinéma [...], comme seul le grand cinéma, le plus aventureux en tout cas, peut réussir à nous le faire percevoir.
Télérama
Une insolite épopée romantique.
aVoir-aLire.com
Une œuvre atemporelle qui émerveille.
Abus de Ciné
Certains seront sans doute déroutés, par l’absence régulière du ou de la protagoniste à l'écran, donnant la sensation que la caméra elle-même se laisse aller au rythme de certains lieux, errant à sa guise, se détachant d’une notion d’intrigue. Il en résulte une véritable sensation de voyage et de dépaysement.
Konbini
Un prix de la mise en scène à Cannes plutôt logique tant la grande force du nouveau Miguel Gomes réside dans son images, ses cadres sublimes, cette caméra mouvante qui évolue au fil du temps. Pas nécessairement facile d'accès, mais le voyage en vaut la peine.
La Septième Obsession
Projet persifleur et salutaire, supporté ici par une expression formelle éthérée et picturale, superbement maîtrisée.
Sud Ouest
Une errance parfois éblouissante, parfois ennuyeuse. On se demande souvent si c’est génial ou fumeux. Seule certitude : on voit au travail un cinéaste follement inventif, qui va au bout de ses intuitions.
Télé 2 semaines
Ce qui fait la plus grande qualité de cette romance contrariée, c'est le personnage féminin, Molly, espiègle et résiliente, qui marque et qui touche.
Critikat.com
Gomes tombe dans l’écueil qu’il avait jusqu’ici toujours réussi à éviter : celui du dandysme.
La Voix du Nord
Diaporama contemplatif hors du temps et jeu de piste accroché à une époque coloniale où tout le monde semble se perdre (y compris le spectateur), Grand Tour a obtenu le prix de la mise en scène au dernier Festival de Cannes. Mais en cherchant à nous envoûter, il a plutôt fini par nous ennuyer.
Le Journal du Dimanche
On est hypnotisé par la virtuosité de la mise en scène et le sens du cadre, le charisme de l’héroïne et le jeu entre la couleur et le noir et blanc, mais on perd finalement pied car ce "Grand Tour" est surtout très long et manque d’enjeux.
Première
La singularité du cinéma de Gomes récompensé d’un prix de la mise en scène cannois, apparaît dès lors un poil fabriqué, d’une ironie factice. Sur le territoire du « film-rêve » (un genre en soi) on préférera les virées fiévreuses et mystiques d’un Lav Diaz ou la poésie iconoclaste d’Albert Serra
Le Figaro
Présenté en compétition à Cannes, le film du Portugais Miguel Gomes est reparti avec le prix de la mise en scène. Il aurait mieux valu lui décerner la palme de l’ennui.
Le Point
Le réalisateur souhaite à l'évidence nous faire réfléchir sur l'époque coloniale et ses contradictions en orchestrant ces collisions d'époques et d'histoires. Mais le sens peine à émerger, et les personnages sont trop antipathiques pour capter durablement l'attention.