Juste infect. Quelle honte d'avoir fait ce remake et de le présenter. Il a tous les défauts d'un remake et aucun avantage (s'il peut y en avoir). Si vous avez la chance de ne pas l'avoir vu, revoyez les autres mais ne succombez pas à la tentation de vérifier les commentaire sur celui-là. Ce remake est proche du néant.
Pour apprécier Les Visiteurs En Amérique, il faut oublier Les Visiteurs. Ainsi les gags de ce remake trouvent toute la fraîcheur qu'ils méritent aux yeux du spectateur. La projection de personnages du Moyen Âge en plein Chicago du XXIe siècle occasionne un double choc à la fois de temps et de culture. Car les héros français se retrouvent plongés dans un environnement anglo-saxon bien différent de leur époque. Jean Reno (Thibault de Malfète) est toujours aussi noble dans son attitude. Christian Clavier (André le Paté) en fait des tonnes. Les répliques d'André sont hilarantes : "J'ai de bonnes chausses ! Je cours prestement ! Je vais chier aisément demain matin !". Quant à la scène au restaurant La Tour, café français à Chicago, le comique se surpasse d'agitation, rappelant Louis de Funès. Une belle citation de Thibault à retenir : "On ne se perd que si l'on n'a point de but". À (re)voir avec un regard neuf, sans se laisser influencer par les aventures de Godefroy de Montmirail et de Jacquouille la Fripouille.
Consternant de médiocrité, le film ne fait même pas semblant d'avoir un brin de crédibilité ou de finesse. Tout est d'une lourdeur incommensurable, le texte comme le jeu des acteurs, et l'on n'esquisse pas le moindre sourire.
Une version américaine encore plus mauvaise que l originale, il fallait le faire ! Ce film n a strictement aucun intérêt pour le public français car ç est du copié collé de ce que l on a déjà vu mais remis à la sauce américaine, ç est à dire en plus poli. Le rendu final est assez ridicule, les acteurs n y croient pas, à l exception de Cristina Applegate géniale dans son rôle et très convaincante, elle sort clairement du lot.
Certes, la comparaison avec les deux premiers de la saga fait beaucoup de mal à ce film. La plupart des gags ne sont que des reprises. Cependant, j'ai passé un bon moment devant ce film qui m'a plutôt fait rire grâce à ce duo de personnages extraordinaires. A noter également la présence d'un Malcolm Mcdowell très drôle. Cependant, sur ce film, il faut bien admettre que le cadre de la France avec toute son histoire se prête bien mieux à ce type d'histoire qu le cadre américain. En conclusion, ce film se laisse regarder sans prise de tête même si effectivement, il vaut mieux se revoir les deux originaux.
Pour gâcher un film à se point il faut le vouloir. Certes les remakes américains de film français sont rarement bon, du fait des codes d'humour différends entre nos cultures, mais quand il s'agit des mêmes acteurs principaux et du même réalisateur, il y a quand même de quoi râler. L’aseptisation du film est énorme, tant au niveau du look des héros que de l'humour. Je trouve d’ailleurs très étonnant qu'il n'y est pas d'équivalent à Jacquart, pourtant très très important dans le version française.
C'est beaucoup moins bon que le premier. Le scénario est poussif et les découvertes du modernisme par nos visiteurs, qui étaient la principale source du comique deviennent fatigantes. Mais ce n'est rien à côté des pitreries de Clavier qui semble vouloir dépasser De Funès dans les grimaces stupides.
Le remake américain des Visiteurs donne lieu à une comédie insipide bien pale, en comparaison de l' original. Le spectateur se contentera en vain d' une comédie molle, sans rythme incluant quelques gags plus ou moins lourds, et pour cause éducolorés. C'est pas okaaaay !
Un bien triste copié/collé de l'original. Les gags sont tristes ou sentent le réchauffé. On ne comprend pas l'intérêt de faire une 2e fois le même film en moins bien . Probablement une affaire de gros sous et le financement d'un gros producteur américain, bien triste , on s'ennuie beaucoup, avec pourtant un gros budget.
Le savoir-faire des studios américains est venu supplanter l'histoire imaginé par le duo Poirer-Clavier, mais l'a aussi édulcoré. L'ensemble dégage peu de chose sinon pas mal de clichés, un doublage catastrophique, c'est besogneux Quelques bons gags subsistent comme Jacqouille découvrant la coolitude. Dommage