Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
15 critiques presse
L'Humanité
par Vincent Ostria
La destinée du fils d’un tueur de cartel de la drogue, filmée sur un mode impressionniste. Hijo de sicario fait la part belle à la nature et montre le caractère aléatoire et atavique d’une criminalité née de la pauvreté rurale.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
L'Obs
par Xavier Leherpeur
Tour à tour thriller étouffant, western nihiliste, film de fantômes et réflexion sociale sur le Mexique contemporain, Hijo de Sicario est un film puissant, à la fois désespéré et optimiste.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Septième Obsession
par Xavier Leherpeur
HIJO DE SICARIO est l’histoire d’un déterminisme poisseux. De celui qui vous colle à la peau, vous stigmatise dans un pays (et en particulier une région reculée et caniculaire) gangrénée par une violence endémique. HIJO DE SICARIO est le mouvement asphyxié d’une fuite donnée d’emblée comme impossible.
Positif
par Baptiste Roux
Dans le présent film, les deux cinéastes poursuivent l’autopsie d’un pays où la violence est l’alphabet d’une société balafrée par la misère et la désespérance.
Voici
par D.B.
Les deux réalisatrices de Hijo de Sicario, fortes de leur mise en scène et de belles images qui n'en font jamais trop, parviennent à insuffler à leur film un vrai regard, notamment dans ce qu'elles racontent du déterminisme.
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
Hijo de Sicario est un remarquable tableau initiatique sur le parcours d’un enfant puis d’un adolescent, rongé par le crime de son père et le déterminisme social. Une œuvre autant romanesque que picturale grâce à un grand soin apporté à la photographie.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Cahiers du Cinéma
par Olivia Cooper-Hadjian
En symbiose avec son héros discret, Hijo de sicario dessine une fresque en mode mineur, et fait de sa modestie apparente la ressource d’une émotion patiemment construite.
CinemaTeaser
par Rose Piccini
Le film ne révolutionne jamais le discours sur le Mexique contemporain et les menaces sous lesquelles il ploie mais son empathie et l'accent qu'il met sur la place des femmes lui donnent une aura singulière dans ce cinéma criminel qu'on connaît par cœur.
Culturopoing.com
par Michaël Delavaud
Parfois un peu trop démonstrative ou didactique [...], l'oeuvre d'Astrid Rondero et de Fernanda Valadez s'avère néanmoins le joli récit finalement optimiste d'un combat pacifique que livre un jeune homme tendre et discrètement obstiné contre le chemin tout tracé menant à la tragédie que le destin semblait avoir fatalement choisi pour lui.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Les Fiches du Cinéma
par Julie Loncin
Pour leur première réalisation commune, les deux cinéastes signent un récit initiatique délicat et prometteur.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
par Arnaud Hallet
Subtilement teinté de magie, entre ses rumeurs de sorcière et ses incursions ésotériques liées aux rites ancestraux, le film cisèle ainsi son héritage de la violence avec des pas de velours. Et c’en est parfois profondément émouvant.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Olivier Lamm
Les cinéastes Astrid Rondero et Fernanda Valadez décrivent la violence du narcotrafic du point de vue des enfants, premières victimes.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Télérama
par Frédéric Strauss
Un film ambitieux, parfois trop visuellement, qui revisite l’univers violent des sicarios avec une sensibilité féminine.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Le Monde
par Cl. F.
L’image est soignée, les personnages attachants, mais le découpage du film en épisodes plombe le rythme et étire le scénario, dont les rebondissements sont un peu attendus.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Première
par Lucie Chiquer
Difficile de ne pas tomber dans le déjà-vu. D’autant plus que le récit, fugace et dénué de tension, effleure son sujet et ne parvient pas à cultiver le mysticisme introduit en début de film. On en ressort finalement plus indifférent qu’envoûté…
La critique complète est disponible sur le site Première
L'Humanité
La destinée du fils d’un tueur de cartel de la drogue, filmée sur un mode impressionniste. Hijo de sicario fait la part belle à la nature et montre le caractère aléatoire et atavique d’une criminalité née de la pauvreté rurale.
L'Obs
Tour à tour thriller étouffant, western nihiliste, film de fantômes et réflexion sociale sur le Mexique contemporain, Hijo de Sicario est un film puissant, à la fois désespéré et optimiste.
La Septième Obsession
HIJO DE SICARIO est l’histoire d’un déterminisme poisseux. De celui qui vous colle à la peau, vous stigmatise dans un pays (et en particulier une région reculée et caniculaire) gangrénée par une violence endémique. HIJO DE SICARIO est le mouvement asphyxié d’une fuite donnée d’emblée comme impossible.
Positif
Dans le présent film, les deux cinéastes poursuivent l’autopsie d’un pays où la violence est l’alphabet d’une société balafrée par la misère et la désespérance.
Voici
Les deux réalisatrices de Hijo de Sicario, fortes de leur mise en scène et de belles images qui n'en font jamais trop, parviennent à insuffler à leur film un vrai regard, notamment dans ce qu'elles racontent du déterminisme.
aVoir-aLire.com
Hijo de Sicario est un remarquable tableau initiatique sur le parcours d’un enfant puis d’un adolescent, rongé par le crime de son père et le déterminisme social. Une œuvre autant romanesque que picturale grâce à un grand soin apporté à la photographie.
Cahiers du Cinéma
En symbiose avec son héros discret, Hijo de sicario dessine une fresque en mode mineur, et fait de sa modestie apparente la ressource d’une émotion patiemment construite.
CinemaTeaser
Le film ne révolutionne jamais le discours sur le Mexique contemporain et les menaces sous lesquelles il ploie mais son empathie et l'accent qu'il met sur la place des femmes lui donnent une aura singulière dans ce cinéma criminel qu'on connaît par cœur.
Culturopoing.com
Parfois un peu trop démonstrative ou didactique [...], l'oeuvre d'Astrid Rondero et de Fernanda Valadez s'avère néanmoins le joli récit finalement optimiste d'un combat pacifique que livre un jeune homme tendre et discrètement obstiné contre le chemin tout tracé menant à la tragédie que le destin semblait avoir fatalement choisi pour lui.
Les Fiches du Cinéma
Pour leur première réalisation commune, les deux cinéastes signent un récit initiatique délicat et prometteur.
Les Inrockuptibles
Subtilement teinté de magie, entre ses rumeurs de sorcière et ses incursions ésotériques liées aux rites ancestraux, le film cisèle ainsi son héritage de la violence avec des pas de velours. Et c’en est parfois profondément émouvant.
Libération
Les cinéastes Astrid Rondero et Fernanda Valadez décrivent la violence du narcotrafic du point de vue des enfants, premières victimes.
Télérama
Un film ambitieux, parfois trop visuellement, qui revisite l’univers violent des sicarios avec une sensibilité féminine.
Le Monde
L’image est soignée, les personnages attachants, mais le découpage du film en épisodes plombe le rythme et étire le scénario, dont les rebondissements sont un peu attendus.
Première
Difficile de ne pas tomber dans le déjà-vu. D’autant plus que le récit, fugace et dénué de tension, effleure son sujet et ne parvient pas à cultiver le mysticisme introduit en début de film. On en ressort finalement plus indifférent qu’envoûté…