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    Orca
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    Hotinhere
    Hotinhere

    583 abonnés 5 028 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 15 juillet 2021
    Un film de vengeance maritime au récit assez prenant et aux effets spéciaux qui ont pas trop mal vieilli, doté d’un excellent casting et accompagné par la BO de Morricone.
    Renaud  de Montbas
    Renaud de Montbas

    30 abonnés 683 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 10 juin 2021
    2 ans après le triomphe des "dents de la mer" on aurait pu s'attendre à ce qu'"Orca" soit une tentative vers le plus gros et le plus sanglant. Pas du tout, le film se rapprocherait presque plutot de "Moby Dick" et on a vite qu'une envie que les pécheurs crévent les uns après les autres. Difficile de ne pas prendre le parti de l'Orque dans cette histoire d'aventures maritimes (plus que que film d'horreur). C'est superbement filmé, la musique colle à merveille, ça n'a pas pris une ride. Film fortement recommandé 4/5
    Xavier D
    Xavier D

    64 abonnés 1 074 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 2 avril 2021
    Ce film souffre évidemment de la vague à succès du Jaws de Spielberg, sortie deux ans plus tôt. La belle Charlotte Rampling et Richard Harris font ce qu'ils peuvent pour sauver ce film du naufrage. Un message sur la barbarie de la pêche est délivré, et du la notion de vengeance entre les animaux et les hommes. Le scénario est assez proche de l'idée de l'œuvre de Peter Benchley version cinéma et la réalisation est assez classique et un peu vieillotte. Une fin plutôt surprenante, et pleine de justice.
    Buddy_Noone
    Buddy_Noone

    2 abonnés 89 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 28 décembre 2020
    Sorti en juin 1977, soit près d'un an avant la sortie de Jaws 2, Orca (de son vrai titre L'Orque assassinée) peut-être considéré aujourd'hui comme un des rares ersatz réussis des Dents de la mer, à ceci près, bien entendu, que l'animal vedette n'est ici pas un grand requin blanc mais un épaulard, animal à la réputation pourtant plus positive et rassurante. Toujours prêt à suivre les tendances cinématographiques de l'époque, le producteur Dino De Laurentiis décidait ainsi de s'attaquer au film de terreur aquatique et concluait de la sorte sa trilogie des "monstres", initiée par le remake de King Kong et poursuivi par Le Bison Blanc et Orca, ces deux derniers films étant d'ailleurs sortis à quelques mois d'écart. La réalisation d'Orca fut confiée à Michael Anderson, un grand habitué des films marins et réalisateur de quelques classiques de l'anticipation (1984, L'âge de Cristal), assisté ici pour l'occasion par Brian W.Cook, célèbre assistant-réalisateur de Stanley Kubrick. A sa sortie, le film fut un modeste succès, à tel point que les producteurs de la saga Jaws lui adresseront même un clin d'oeil au début de Jaws 2, lorsque Martin Brody découvrira un épaulard échoué sur la plage, et apparemment victime du monstre d'Amity.

    Lors d'une expédition dans les eaux, au large de Terre-Neuve, le Capitaine Nolan sauve la jeune océanographe Rachel d'une attaque de grand blanc. Mais au cours du sauvetage, un des hommes de Nolan, Ken, tombe à l'eau et est attaqué par le requin. Il est finalement sauvé par l'intervention d'une orque femelle qui tue aussitôt le squale et permet au jeune homme d'être secouru par l'équipage de Nolan. Obsédé par cette rencontre et la remarquable intelligence des orques, ce dernier se met alors en tête de capturer la femelle pour la revendre à un zoo, malgré les mises en garde de Rachel. L'opération tourne mal et la femelle orque se blesse grièvement sur l'hélice du bateau. L'équipage la hisse alors sur le pont et assistent avec horreur à sa mise à bas d'un foetus agonisant que Nolan éjecte aussitôt dans la mer. Tout cela se passe sous le regard impuissant et les plaintes de l'orque mâle. Dès lors, celui-ci n'aura de cesse de poursuivre Nolan de sa vengeance et s'en prendra tout autant aux membres de son équipage qu'aux autres marins du port. Une guerre sans merci va alors opposer le capitaine à l'animal qui le traque.

    Bien qu'il se présente comme un ersatz des Dents de la mer, Orca s'en démarque pourtant par sa mécanique narrative et la thématique qui lui est propre. Car il s'agit plutôt ici d'un pur film de vengeance animalière lorgnant clairement sur l'antagonisme au centre du roman Moby Dick d'Herman Melville. Animé par la colère, l'épaulard ne cessera de poursuivre le capitaine Nolan de sa vindicte, poussant aussi ce dernier à lui vouer une haine féroce pour les proches auxquels il s'en est pris en voulant l'atteindre. En confrontant l'homme et la bête dans une intrigue essentiellement vengeresse, Orca aurait pu facilement dériver vers les poncifs du nanar, d'autant plus que la réalisation de certaines séquences peut paraitre assez bâclée. Pourtant, le scénario du film réussit à dresser une comparaison intéressante entre ces deux protagonistes, les mettant constamment en opposition dans leur chassé-croisé vengeur tout en mettant en parallèle leurs similitudes et leur trajectoire. Du côté de l'homme, c'est le regretté Richard Harris qui est à l'honneur dans ce rôle de loup des mers, homme à femme plutôt charismatique et non dénué de bon sens, qui semble totalement dépassé par la hargne surnaturelle de son poursuivant. Le premier interprète de Dumbledore se révèle ici tout simplement impeccable dans un rôle ambigu au possible qui appelle autant l'empathie que le mépris du spectateur. Le regard bleu azur de l'acteur, son charisme magnétique et son jeu ambivalent, soulignent tout autant la hargne que la vulnérabilité d'un personnage dont n'importe quel autre réalisateur aurait pu faire un simple salaud.

    Du côté de l'animal, le scénario se sert adroitement des quelques particularités connues de l'espèce des orques pour dérouler son intrigue. Les épaulards sont ainsi réputés pour être des animaux marins à l'intelligence supérieure aux autres espèces, plus encore que les dauphins dont ils partagent bon nombre de similitudes. Ce sont des super-prédateurs dans leur environnement, qui ne craignent aucun chasseur si ce n'est l'homme. Ils éprouvent de l'empathie, ont une mémoire phénoménale, évoluent en groupe et arrivent à communiquer et vocaliser avec leurs congénères. Dans ce film, l'épaulard est endeuillé et donc essentiellement solitaire, et sa soif de vengeance surnaturelle semble en faire une authentique némésis pour sa proie, notamment dans sa manière de traquer Nolan et de se plaire à le tourmenter. Qui plus est, le parcours de l'animal prend une aura réellement tragique dans le fait que l'orque est effectivement un animal monogame, connu pour n'avoir qu'un seul partenaire dans sa vie et se laissant ensuite dépérir s'il en vient à perdre ce dernier, selon les observations de certains océanographes. Orca suppose ainsi que les agissements de son animal vedette sont essentiellement motivés par l'affection que ce dernier portait à sa femelle.

    Le final, d'un pessimisme bouleversant, verra ainsi l'épaulard survivant devenir vagabond et disparaitre dans les eaux noires du pôle, le réalisateur semblant évoquer l'errance finale d'une créature vouée à se laisser mourir puisqu'étant blessée et n'ayant plus aucun but.

    Sublimé par le score d'Ennio Morricone, Orca bénéficie aussi d'un casting de haute volée. Aux côtés de Richard Harris et face à l'orque, on retrouve ainsi la jeune Charlotte Rampling, sublime dans un rôle d'océanographe témoin du combat entre les deux protagonistes, Will Sampson, le géant amérindien jouant ici un professeur se joignant à Nolan, et la jeune débutante Bo Derek, dont l'innocence et la beauté diaphane ne préserveront pas son personnage d'un sort injuste. Le film compte quelques scènes marquantes, particulièrement traumatisantes dans leur mise en scène, comme la fameuse scène du foetus tombant sur le pont du bateau, de la destruction de la maison sur pilotis et même cette confrontation finale dans les eaux glacées du pôle.
    Depuis sa sortie, Orca a beau être tombé un peu dans les limbes du cinéma de genre, il n'en reste pas moins un excellent film fantastique et une des meilleures déclinaisons du parangon spielbergien. C'est aussi un rappel poignant à la préservation et à la compréhension de cette formidable espèce qui, comme les autres odontocètes, souffre toujours de la bêtise et des intérêts de son seul prédateur.
    Graziacampanielo
    Graziacampanielo

    6 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 30 août 2020
    ce film m'a marquée durant mon enfance .. la musique est magnifique, les plans au début du film spectaculaire... le scénario est super, tout était pour me plaire.. L'ayant revu il y a peu, il n'a en rien vieilli à mon goût, superbe film !
    Ykarpathakis157
    Ykarpathakis157

    4 806 abonnés 18 103 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 15 juillet 2020
    Étonnamment bon film de mammifère tueur de haute mer qui n'est produit que deux ans après un certain film réalisé par Steven Spielberg sur un tueur prédateur Jaws. Un bon casting est particulièrement en faveur de ce film. Richard Harris est vraiment une ancre très précieuse pour le film (jeu de mots) tandis que Charlotte Rampling était un autre casting solide qui aide à apporter de véritables côtelettes à ce qui peut être considéré comme juste un autre de ces arnaques Jaws. En fin de compte il s'agit de vengeance dans l'esprit d'un épaulard mâle après que le capitaine Harris ait accidentellement tué sa compagne enceinte en essayant de la capturer avec un harpon. Rampling est une scientifique marin possédant une connaissance approfondie des baleines. Les bouffonneries de la baleine incluent l'arrachage de l'assistant de Rampling et deux des pêcheurs de Harris sur l'eau. Une attaque plutôt surprenante mais efficace contre une maison de location avec vue sur la mer et la baleine mordant la jambe moulée de Bo Derek dans peut-être sa scène la plus mémorable. En parlant de Bo elle n'est pas très utilisée. Avec Pirhana, je pense qu'Orca est l'un des meilleurs films aquatiques de poissons/mammifères tueurs émergents à apparaître après Jaws. Il y a eu tellement de pommes pourries qui sont sorties des séquelles de Jaws mais je pense que Orca est l'un des rares efforts décents. L'épaulard a démantelé le requin au début sauvant Carradine (seulement pour le tuer plus tard ironie au plus sombre) dans le processus un message amusant qui parle haut et fort concernant la tentative de marteler la poitrine vers Jaws. Les baleines animatroniques sont incroyablement réalistes...
    Jean Begaud
    Jean Begaud

    1 abonné 158 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 9 mai 2020
    Surfant sur la vague des dents de la mer, voici l'orque assoiffé de vengeance.
    Richard Harris et Charlotte Rampling forment un tandem crédible. Le pêcheur qui veut gagner sa croûte coûte que coûte et la scientifique empathique et aimant la faune aquatique.
    Globalement le résultat est satisfaisant,les effets spéciaux ont pris un sacré coup de vieux et le final donne au spectateur ce qu'il attend.Bref, c'est pas a la hauteur de jaws mais bien meilleur que toutes les daubes qu'on nous donne en matière de monstres aquatiques....
    cinéman
    cinéman

    44 abonnés 817 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 11 janvier 2020
    Orca se laisse voir et on ne s'y ennuie pas, car il y a pas mal d'action et de dialogues durant 1h28, accompagnés d'images assez belles et d'une superbe musique.Toutefois, les effets spéciaux ont vieilli, et le plus grotesque reste cette obstination de l'orque envers sa victime humaine, ici un homme quinquagénaire, comme si un poisson pouvait penser à tous les menus détails pour la suivre et l'atteindre!!. C'est ridicule de donner des pensées humaine à un animal. Enfin et surtout, la vengeance sanguinaire de l'animal semble disproportionnée, si bien qu'il attise plus d'antipathie que de sympathie envers le spectateur, et le message du film est renversé : la victime devient le coupable et inversement. Autrement dit ce film accuse l'orque quand il semble pourtant vouloir le défendre, et le message écologiste a un effet tout-à-fait opposé à sa volonté initiale, et s'avère donc raté.
    Philippe G.
    Philippe G.

    26 abonnés 168 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 1 janvier 2020
    L'Anti Dents De La Mer par excellence, surfant il est vrai sur la vague cinématographique des prédateurs et autres monstres aquatiques de la fin des années 70, mais cette fois ci à contre courant, si je puis dire, au propre comme au figuré. En effet, dans le film de Spielberg, le schéma était que le monstre était le méchant prédateur et les chasseurs de requins, quelque part les justiciers, avec toutefois quelques nuances quant à la complexité du personnage joué par Bobert Shaw. Ici, le prédateur est non pas l'orque épaulard mais bien l'homme, en l'occurrence Richard Harris et son équipe de pêcheurs chasseurs, pour qui, d'entrée, on n'éprouve pas la moindre sympathie. Bien au contraire. Le spectateur ne peut que s'émouvoir devant les malheurs que cette escouade de tueurs de gros poissons infligent à l'orque mâle et sa famille, femelle et bébé - orque à naître. Vous aurez compris que va alors s'installer une terrible histoire de vengeance où l'orque - personnage humain tout autant qu'une personne normale - fera tout son possible pour suivre le bourreau de sa famille jusqu'au bout de ce film captivant, émouvant, où peu à peu le spectateur va s'apercevoir que l'orque devient un monstre auquel celui des Dents de La Mer n'a finalement rien à envier. Une vengeance terrible, même si elle se trouve justifiée. Et en même temps, c'est là que ça devient intéressant, le personnage de Richard Harris - antipathique au début - va progressivement nous attirer vers lui, vers sa détresse et sa tragédie intérieure, tout comme celle de celui qui le traque. Les deux ennemis ne sont que le reflet de l'un et de l'autre. L'orque que lui, à son tour, va se mettre à traquer. Voilà la clé de voûte de ce film singulier. Les rôles sont constamment inversés: le chasseur du début devient la proie pour à nouveau faire face et se mettre sur la piste de celui qui a décidé de le poursuivre jusqu'en enfer s'il le faut. Le tout jusqu'au duel final. Un final splendide, majestueux, déchirant que le spectateur ne peut oublier, surtout car ne sachant quel parti choisir: l'homme où la bête. N'oubliez pas votre mouchoir.
    gregbox51
    gregbox51

    40 abonnés 1 035 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 24 décembre 2019
    Ca sent "Les dents de la mer" à plein nez dès les premières minutes : la mer, un grand prédateur, le combat. Sauf que dans ce cas les rôles sont inversés, Quand à la grande conférence, elle nous dévoile immédiatement la suite, intelligence du prédateur, monogamie, esprit de vengeance. Les bases étant posées, plus aucune surprise n'attend le spectateur par la suite. On passera les "effets spéciaux" très spéciaux, les mauvais raccords et le jeu très légers des acteurs...
    Alexis C.
    Alexis C.

    5 abonnés 391 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 14 décembre 2018
    Des films ayant surfé sur le succès de JAWS, ORCA est sans doute le plus réussi. L'intrigue est bien pensée et elle sait rester prenante jusqu'à la fin du film. La réalisation est correct mais si par moment elle supporte mal le poids des années. Le casting est de bonne qualité. La musique de Morricone est plutôt belle. Bref un bon divertissement.
    tomPSGcinema
    tomPSGcinema

    773 abonnés 3 323 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 1 septembre 2018
    Film d'aventure qui fait penser à la fois à "Moby Dick" ou encore aux "Dents de la Mer", "Orca" se distingue par une mise en scène percutante, car elle propose quelques moments bien spectaculaires. Mais ce long-métrage est plaisant à suivre aussi parce qu'il dégage pas mal d'émotions, en grande partie dû à la très belle BO d'Ennio Morricone. Je noterai également la bonne prestation de Richard Harris et des effets spéciaux très réussis pour l'époque. Bref, une excellente surprise en ce qui me concerne.
    Roub E.
    Roub E.

    1 003 abonnés 5 025 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 22 juillet 2018
    Voulant sûrement profiter du succès des dents de la mer Orca reprend le thème de l’homme contre l’animal, en ajoutant ici un aspect de vengeance. Car l’orque en question poursuit ici le pécheur qui a tué sa compagne. Si on passe outre le côté improbable de la chose et le fait que le film a par certains aspect pris un bon coup de vieux, il reste un film réussi sur l’homme qui se croit au dessus de la nature et qui devra subir les conséquences de son inconscience.
    JimBo Lebowski
    JimBo Lebowski

    402 abonnés 1 080 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 25 juin 2017
    Un film qui marche clairement dans les pas de Jaws, allant même jusqu'à montrer l'épaulard défoncer un requin blanc, la promesse étant de surélever la menace par une vendetta sans merci, en confrontant également les hommes entre eux, ça va au delà de la critique de la pêche sauvage, en apportant notamment une dimension mystique (vengeance divine). Après je trouve que la mise en scène de Michael Anderson manque de finesse, surtout lorsqu'il filme l'orque prendre des décisions, comme si il voulait l'humaniser, c'est parfois décrédibilisant, de même pour la mort de certains personnages dans la deuxième partie, il n'y a pas de répercussion sur la suite de l'action, le film s'en fout donc forcément nous aussi, c'est très bizarre. En tout cas j'ai aimé le rythme et le scénario, ainsi que cette volonté de dépasser son statut de prétendue petite série B par une réflexion sérieuse sur la nature humaine de ses personnages, ça fonctionne, mais je le répète le réalisateur montre trop souvent ses faiblesses pour que l'on prenne ce film comme il devrait être, plus mystérieux, sombre et viscéral.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 3 mars 2017
    Certainement pas un chef d'oeuvre, pas non plus un navet, mais une oeuvre particulière ...
    Je le regarde encore avec beaucoup d'émotion, car il me parle sur bien des aspects. Il présente assez bien l'espèce animale dont il est question, même s'il y a beaucoup trop d'anthropomorphisme. Je ne sais pas si une orque serait capable d'en faire autant, malgré son indéniable et fascinante intelligence. Je ne doute pas que l'animal aurait une peine immense, du chagrin, mais de là à scénariser sa vengeance...
    Cela dit ce film est un de ceux qui m'ont bercée, la musique est magnifique, l'histoire est émouvante même si après il faut regarder une bonne comédie ou un bétisier pour ne pas tomber dans la déprime !
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