Mon compte
    Le Deuxième acte
    Note moyenne
    3,3
    4207 notes En savoir plus sur les notes spectateurs d'AlloCiné
    Votre avis sur Le Deuxième acte ?

    570 critiques spectateurs

    5
    34 critiques
    4
    181 critiques
    3
    118 critiques
    2
    84 critiques
    1
    77 critiques
    0
    76 critiques
    Trier par :
    Les plus utiles Les plus récentes Membres avec le plus de critiques Membres avec le plus d'abonnés
    Coolcat
    Coolcat

    2 abonnés 25 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 23 septembre 2024
    J'ai passé un très bon moment, j'ai beaucoup ri. Film d'apparence légère qui dit pas mal de vérités sur le monde du cinéma. Les acteurs sont top! Si vous aimez l'auto dérision, le décalé, vous apprécierez.
    Cadreum
    Cadreum

    3 abonnés 170 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 18 septembre 2024
    Chez Dupieux, la mise en abyme se déploie comme un miroir éclaté, où acteurs et actrices se plaisent à effriter leur propre reflet. Les ruptures narratives traversent l’écran, transcendent le cadre, offrant une authenticité désarmante dans chaque dialogue, flottant avec une alchimie insaisissable.

    Avec une malice tranquille, le cinéaste capte l'individu face à l'individu, laissant le surréalisme s’étirer, comme une blague suspendue dans l’air, jamais pressée d’éclater. Dommage que ce ne soit pas sous les sourires et les silences que se cachent les échos de notre époque, mais plutôt dans les dialogues brutes et exagérés que se trouve le #MeToo, la liberté de parole et son discours sur le cinéma.
    Benjamin F.
    Benjamin F.

    8 abonnés 2 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 18 septembre 2024
    J'aime bien le cinéma de Quentin Dupieux en général mais là, je n'ai pas réussi. C'est la première fois que j'arrête un de ses films avant la fin. Voir les personnages s'engueuler non-stop et surjouer à mort, ça m'a gonflé. J'ai trouvé ça malaisant, désagréable et pas drôle une seconde.
    Kowalski
    Kowalski

    2 abonnés 165 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 3 octobre 2024
    Dupieux, l’homme qui « filme » plus vite que son hombre, jouit d’une aura assez incompréhensible auprès de la critique (y compris à Cannes) tant la nullité de ses films devient à chaque fois et de plus en plus, évidente. Aveu d’impuissance à écrire (dialogues à pleurer) à filmer (comme en témoigne son pénible travelling), l’homme se contente d’adresser un bon gros doigt d’honneur au cinéma (français) avec la mise en abyme d’acteurs, de leur ego, de moqueries autour du plouc de service, et d’invectives liées à la cancel culture. Nul donc... et très fier de l’être.
    Diabloxrt
    Diabloxrt

    37 abonnés 1 441 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 17 septembre 2024
    "Le Deuxième acte" est le deuxième long-métrage de Quentin Dupieux à sortir en 2024. Un rythme assez élevé, qui semble vouloir symboliser une nouvelle direction dans la carrière du réalisateur. Les films sont toujours aussi courts, mais les concepts sont encore plus poussés à l'extrême, contrairement à ces premières années après son retour en France. Il semble avoir trouvé son rythme de croisière et il vient encore le démontrer au sein de ce projet. L'histoire de ce dernier est assez simple, et elle est dans la continuité de son travail. Nous ne sommes pas vraiment en face d'un scénario classique, le film est bien plus une histoire absurde pour pouvoir transposer les thématiques importantes portées par le réalisateur. Ici, le contexte de la comédie romantique est au service du concept des acteurs face à leur personnage et face à leur milieu. Durant tout le film, les personnages vont développer cette idée et l'exprimer en brisant la diégèse du récit. Grâce à cela, Quentin Dupieux a pu aborder beaucoup de thèmes qui sont assez intéressants à développer par rapport à l'envers du décor du cinéma. Que ce soit l'arrivée de l'intelligence artificielle dans ce milieu, l'ego des différents acteurs, la pression sur les figurants, etc... Le concept du film est intéressant et il est plutôt prenant sur le papier. Et très honnêtement, je trouve qu'il est réussi, il n'y a pas de problème. Le réalisateur laisse énormément de libertés à ses acteurs, ils sont en roue libre, et cela fait du bien à voir. Et globalement, plusieurs moments sont particulièrement drôles, j'ai notamment beaucoup aimé le moment où Florence téléphone à sa mère. Mais alors, pourquoi n'ai-je pas mis une note supérieure à ce projet si réussi ? La réponse est finalement assez simple et est purement subjective : je n'arrive plus à apprécier le style de Quentin Dupieux. Si j'avais réussi à trouver quelques films intéressants dans sa filmographie à une époque, depuis 2 ans, je n'y arrive plus du tout. Et c'est assez logique finalement, car c'est à partir de là qu'il a commencé à retourner dans ce concept du "non-film". On retourne à des histoires qui n'ont pas forcément de sens et l'objectif d'en être une, tout ce qui compte est le sous-texte. Mais personnellement, j'ai beaucoup de mal avec cette approche et je me retrouve donc à toujours m'ennuyer fermement face à ses films. Par conséquent, même si je trouve que celui-ci est intéressant, je n'ai jamais réussi à rentrer dedans. Je trouve que le temps est long, et que même si le récit est assez court, il reste bien trop étalé pour aussi peu de substances. C'est bien beau de voir de belles performances d'acteurs, mais aimant les histoires avant tout, je n'arrive plus à rentrer dans ce qu'il nous propose. Cet avis est donc purement de mon point de vue, mais c'est encore un peu endormi que je ressors de ce nouveau projet de Quentin Dupieux. Pour conclure, un film qui n'est toujours pas pour moi.
    inspecteur morvandieu
    inspecteur morvandieu

    37 abonnés 2 375 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 17 septembre 2024
    Le film commence par une longue et absurde discussion entre Louis Garrel et Raphaël Quenard, et cette entrée en matière frontale peut évoquer le style de Bertrand Blier.
    Dupieux n'en fait pas mystère longtemps: les personnages de son film sont simultanément des comédiens plus ou moins connus jouant un rôle et leurs propres figures de fiction. Dupieux place dans la même confusion le spectateur et ses acteurs-personnages, pareillement perturbés par une succession de mises en abyme. Le résultat est plaisant, extravagant comme le veut le cinéma de Quentin Dupieux,
    Les quatre acteurs principaux, Garrel et Quenard, vite rejoints par Vincent Lindon et Léa Seydoux, semblent bien s'amuser, surtout quand ils sont amenés à donner dans l'auto-dérision et à personnaliser les travers et caprices des acteurs-trices A ce jeu, Léa Seydoux est souvent irrésistible (de drôlerie et de charme).
    Les dialogues sont cinglants et l'interprétation très réussie. C'est un petit bonheur de cinéma dans lequel l'auteur se plait à triturer la narration. On est, grace à d'aimables numéros d'acteurs, pleinement dans la comédie -certes irrationnelle- davantage que dans le genre OVNI étrange auquel nous a habitués Quentin Dupieux. Et l'explication, au cours du film, que ce dernier donne à sa divagation est en soi un astucieux gag (en même temps qu'elle nous éclaire sur ces cadrages parfois approximatifs!).
    Le film est court, sa conclusion hâtive; je ne m'en étonne pas de la part du cinéaste Dupieux, mais je le regrette car le sujet semblait pouvoir proposer d'autres pistes et situations ludiques.
    Le vincent des vincent
    Le vincent des vincent

    2 abonnés 11 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 17 septembre 2024
    Ba perso je sais pas quoi en penser de ce film. Autant j ai adoré yannick surtout pour le dernier plan et daaaaali que j ai trouvé très drôle...là on se pose la question d'un dupieux qui fait du dupieux parce que dupieux maintenant c'est une marque de fabrique. Encore une fois chez lui certains plans racontent un truc. Le dernier plan montre vraiment à quel point on peut aussi s emmerder à faire ce qu'on doit faire. Dans.le cas de dupieux c'est du cinéma...est ce que dupieux n'en a pas marre de dupieux, du cinéma, des acteurs, de ce qui maintenant l'oblige ?...ou est-ce que c'est pas plutôt l'inverse ? ...est-ce que le quotidien de la vie n'est pas tellement chiant que le cinéma c'est mieux ?...oui certainement mais quand le cinema devient ton quotidien, il en devient chiant aussi ? Garel propose cet éclairage à la fin...voilà avec ce film en demie teinte on peut encore se poser quelques questions ...
    elriad
    elriad

    433 abonnés 1 859 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 16 septembre 2024
    Mais quelle jolie leçon de cinéma ! une écriture intelligente pour une succession de scènes réussies en tout point, plus drôles les unes que les autres, spirituelles, tout en taillant un costume aux wokisme, au cinéma lui-même, déstructurant les codes, inversant le travestissement d'acteur ( à l'image de la moustache de Vincent Lindon, ou aux prénoms des personnages ) absurde et décalé. Inconditionnel du cinéma de Bertrand Blier, difficile de ne pas voir un clin d'oeil au grand cinéaste.
    Un vrai coup de coeur !
    Vinz1
    Vinz1

    179 abonnés 2 432 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 16 septembre 2024
    Avec son dernier film, le prolifique Quentin Dupieux déclare une énième fois son amour au cinéma, plus particulièrement aux acteurs avec cette mise en abyme formidable qui interroge le spectateur sur différent thèmes actuels sans avoir l’air d’y toucher. Le quatuor d’acteurs est formidable avec une mention spéciale à Vincent Lindon, excellent en acteur imbus de sa personne. Proche de « Nonfilm » et de « Réalité » avec un soupçon de « Buffet froid » de Bertrand Blier, « Le deuxième acte » interroge également sur le cinéma en général et même si encore une fois, le réalisateur atypique pêche par une fin un peu obtuse, son long-métrage est bien plus malin qu’il n’y paraît et nous fait passer un agréable moment !
    Kubrock68
    Kubrock68

    42 abonnés 1 261 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 16 septembre 2024
    4 acteurs tournent dans un film particulier. On se croirait chez Blier avec des acteurs qui parlement à la caméra, qui partagent leurs états d'ames. On se régale du jeu des ces acteurs qui se mettent tous en déséquilibre avec des propos ou attitudes discutables. Dupieux joue avec le politiquement correct, il faut reconnaitre qu'il couvre tellement de choses que l'on se cogne vite contre. Intéressant
    Beephile
    Beephile

    3 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 14 septembre 2024
    Je suis sans doute passée à côté de l'aspect créatif de ce film mais j'ai trouvé ça chiant, bavard, sans intérêt. Le film est court mais c'est beaucoup trop long
    Leoj
    Leoj

    8 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 13 septembre 2024
    Du Quentin Dupieux comme on l'aime. Avec le temps, il se fait de plus en plus subtil et dérangeant. Le milieu du cinéma en prend pour son grade, c'est vraiment excellent !
    Culturevsnews
    Culturevsnews

    84 abonnés 229 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 12 septembre 2024
    Quentin Dupieux, connu pour ses œuvres audacieuses et ses explorations surréalistes du quotidien, nous offre avec "Le Deuxième Acte" une nouvelle incursion dans l'absurde et le décalé. Dans cette comédie romantique, il nous plonge dans l'univers troublant de Florence, interprétée avec une profondeur touchante par Léa Seydoux, qui tente de présenter son amant, David (Louis Garrel), à son père, Guillaume (Vincent Lindon). Cependant, le scénario prend une tournure inattendue lorsque David, loin de partager les sentiments de Florence, cherche à se défaire de cette relation en poussant sa partenaire vers son ami Willy.

    Le film se déroule presque entièrement dans un restaurant isolé, un choix de lieu qui joue un rôle essentiel dans la création de l’atmosphère du film. Ce restaurant, bien que visuellement élégant, devient un espace claustrophobe qui intensifie les conflits et les malentendus entre les personnages. Le cadre confiné sert de toile de fond parfaite pour une exploration des dynamiques de pouvoir, des faux-semblants et des désillusions amoureuses.

    L’Image :
    La direction artistique de Quentin Dupieux dans "Le Deuxième Acte" est empreinte de sa signature visuelle distincte. La photographie, souvent marquée par des éclairages subtils et des couleurs délibérément désaturées, accentue le caractère décalé et surréaliste du récit. Le décor du restaurant, bien que soigneusement conçu pour paraître élégant et raffiné, devient un lieu d’absurdité et de malaise. Les plans rapprochés sur les visages des acteurs capturent des expressions de désespoir et de frustration, tandis que les prises de vue plus larges soulignent l’isolement des personnages dans cet espace clos. Les transitions visuelles entre les moments de calme et les éclats émotionnels sont habilement orchestrées, mettant en lumière le contraste entre le quotidien et l’absurde.

    Le Son :
    La bande-son de "Le Deuxième Acte", à la fois discrète et omniprésente, joue un rôle crucial dans l’établissement du ton du film. La musique, signée par [Nom du compositeur], est subtile mais efficace, utilisant des motifs répétitifs et des arrangements orchestraux pour renforcer le surréalisme et la tension. Les effets sonores, tels que le murmure constant des conversations dans le restaurant ou les bruits de fond, sont soigneusement conçus pour amplifier l’ambiance claustrophobique et créer une sensation de malaise. Les dialogues, souvent chargés d’un humour noir et d’une ironie mordante, sont délivrés avec une précision qui accentue le caractère absurde et dramatique des interactions entre les personnages.

    Les Performances :
    Léa Seydoux, dans le rôle de Florence, incarne avec finesse une femme désemparée, déchirée entre son désir d’amour et la réalité cruelle de la situation. Louis Garrel, en David, dépeint avec une nuance troublante un homme qui manipule les sentiments d’autrui pour échapper à ses propres responsabilités. Vincent Lindon, en Guillaume, apporte une gravité et une intensité qui contrastent avec le caractère plus léger et désinvolte des autres personnages. Les interactions entre ces acteurs sont empreintes de tension et de subtilité, contribuant à l’impact émotionnel du film.
    Iloonoyeil
    Iloonoyeil

    27 abonnés 227 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 6 septembre 2024
    Bonjour tout le monde,

    Quentin Dupieux est un cinéaste prolifique et il livre ici une œuvre cinématographique qui interroge le réel , la fiction, le cinéma et son influence. Il est absolument indispensable de ne pas écrire quoi que ce soit sur le contenu de cet O.F.N.I. ( Objet Filmé Non Identifiable) qui interroge le monde et pointe le "rétrécissement" inquiétant de la liberté de faire,de créer et de parler et qui insiste sur le danger des intolérances qui pullulent face à toute démarche artistique ( ou non ) originale et, trop souvent, vouée aux " bûchers " médiatiques des procureurs de pacotille qui proposent une société anesthésiée , un peu comme un alliage entre " le meilleur des mondes " d' Aldous Huxley avec " la ferme des animaux " et "1984" de Georges Orwell en y ajoutant certains romans d'Alain Damasio ..............notamment " La zone du dehors" et " Les furtifs" .

    Une vraie dialectique et une analyse ouverte et positive ,ici et maintenant et ici et là - bas, sont indispensables pour modifier les lignes idéologiques et les échanges par trop prévisibles, abscons et parfois intolérants actuellement..........dans la vie quotidienne ou en politique par exemple..........

    Voici une jubilation vivifiante et ludique mais aussi philosophique que vous propose Quentin Dupieux............

    Comment va évoluer l' art cinématographique avec , pour partie , les outils liés aux " intelligences" artificielles génératives ?

    Qu'est- ce que le réel ?
    La fiction?
    L' art ?
    La fiction de la fiction ?
    Le réel fictif ?
    Le virtuel réaliste ?
    Comment suivre un chemin cohérent , émouvant et vivant avec ces nouvelles technologies ?

    La malice et le surréalisme sont aussi de mise dans cette œuvre cinématographique et Quentin Dupieux continue son chemin créatif , libre et profond ...........

    Cet O.F.N.I. nous place face à nos conditionnements de chaque jour. Cet O.F.N.I. ouvre des perspectives pour d ' autres créations à venir !

    Il est vivifiant de constater que la place des femmes grandit dans les œuvres cinématographiques depuis le mouvement # MeToo...... Mouvement nécessaire mais non suffisant pour encore plus effriter le patriarcat sans mettre le matriarcat à la place et en évitant tout retour " de bâton "...........

    Un important mouvement féministe est né et nous , hommes ou femmes , devons , chaque jour, le nourrir , le faire croître, chemin faisant avec le sens de la nuance , de la lucidité et sans anathème ni amalgame. Voici un beau défi pour l ' humanité et qui me semble indispensable et , naturellement, en s ' inspirant du taoïsme mais aussi en imaginant du nouveau face aux situations actuelles qui nous concernent toutes et tous......

    Cet O.F.N.I. comporte de nombreux et réussis plans séquences et un énigmatique travelling arrière se déroule pour " clore " ce film mais, évidemment, Quentin Dupieux, au sortir de la salle , nous invite à méditer puis à agir ensemble ici , maintenant et partout .

    Que puis - je créer ?

    Que ferez- vous et que voudrez - vous créer ?

    Amicalement.

    Gérard Michel
    Bertie Quincampoix
    Bertie Quincampoix

    103 abonnés 1 830 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 5 septembre 2024
    Porté par des acteurs géniaux (Léa Seydoux, Vincent Lindon, Raphaël Quenard, Louis Garrel, Manuel Guillot) qui ont tout le temps d’exprimer leur talent dans des plans séquences concoctés spécialement pour eux, Le deuxième acte nous plonge avec une malice de chaque instant dans les coulisses du tournage d’un film. Toujours inspiré par son maître Luis Buñuel, Quentin Dupieux s’amuse à brouiller les pistes entre réalité et fiction, multipliant les mises en abîme et les retournements de situation improbables. Et nous offre, dans un subtile mélange de légèreté et de gravité dont il est familier, une petite matière à réflexion sur la société du spectacle et sur les travers de l’époque. Fort sympathique.
    Les meilleurs films de tous les temps
    • Meilleurs films
    • Meilleurs films selon la presse
    Back to Top