Je suis sortie mitigée... Prise en otage par ces personnages qui me ramènent trop à mon quotidien. Les sujets évoqués sont ceux d'aujourd'hui. Belle claque à notre société dans laquelle nous vivons... L'IA n'a rien inventé !
Un film dans le film.Déroutant mais hilarant par des dialogues au millimètre.4 bons acteurs nous font passer un bon moment.Original. Inoubliable? Marquant ?
Très déçu par ce film, pourtant loué par la critique. Pas de scenario, pas d’émotion, quelques minutes de dialogue drôle ne font pas un film. C’est une succession de 5 sketchs, entrecoupée par une scène complètement creuse sur l’intelligence artificielle… Les acteurs font ce qu’ils peuvent mais ne peuvent empêcher le naufrage de l’ensemble avec une fin complètement escamotée. A éviter
Très bon film, surprenant et atypique. Tendre, drôle, grinçant, on se retrouve en face d'acteurs qui jouent des rôles d'acteurs dont le quotidien ne réjouit pas toujours. Ce film est un ovni et les dialogues sont percutants. Casting et interprétation high level.
Film nul , mou et ennuyeux à souhait. Le scènes s'étirent en longueur. Pas d'action, pas de décors. Juste de dialogues sans grand intérêt. Quelle déception !
Depuis Yannick, Dupieux sort des films tout simplement incroyables. D'une intelligence rare, d'un humour ravageur, avec des dialogues brillantissimes... on ne sait pas où arrêter le panégyrique. Ses films ne ressemblent à rien, sauf à du Dupieux. Ils sont intelligents sans être intellos, légers tout en étant profonds, hilarants, rafraîchissants, à la fois fantasques et ancrés dans notre époque et ses travers... Tout ça avec une superbe économie de moyens... En fait, il est aussi fou et aussi génial que Nolan, mais avec trois bouts de ficelle. Et c'est encore meilleur. Devant Le deuxième acte, comme devant Yannick et Daaaaaali, on sourit en permanence, on rit beaucoup, et on ressort de la salle sur un petit nuage après cette douche absolue de neurones. Un réalisateur à son apogée. Vivement son prochain délire !
J'ai adoré ce film, du début à la fin. Certe la fin est longue, enfin on parle de 4min50 et surtout je comprends pas ceux qui ne la comprennent pas. Il s'agit de la longueur du rail utilisé pour les scènes quand les acteurs marchent. Les acteurs sont géniaux et mention spéciale pour Raphaël Quenard qui est incroyable à chacune de ses apparitions. La scène avec Louis Garel est magique, j'aurais voulu qu'elle dure encore plus longtemps. J'ai beaucoup ri du début à la fin en passant par la surprise (voir choc) pour une des scènes.
Mise en abîme sur le cinéma, le métier d’acteur et le monde qui s’écroule autour d’eux. Dupieux signe ici une comédie sombre qu’il met en scène du bout des doigts, à croire que c’est réellement une IA qui la tourne, quoiqu’elle l’aurait sans doute mieux réussie. Si certains dialogues font mouche, généralement ceux sortis de la bouche de Quénard, la dernière partie est sans intérêt et le film du haut de son petit 75 minutes paraît même long. Étonné qu’il ait été présenté en ouverture de Cannes, il y avait sans doute bien mieux à offrir aux festivaliers.
Ce film est déconcertant, et n'a pas d'histoire. C'est une succession de dialogue dont certains sont drôles. On a beaucoup de mal à comprendre l'intérêt du film. Pour ce qui est de la dernière scène, elle est beaucoup trop longue et n'apporte rien du tout au film.
À peine 1h20 d'un film sans histoire. Quelques scènes drôles heureusement mais qui ne suffisent pas à sauver ce film. Payer une place de cinéma au tarif actuel pour voir ça est plus que limite..
Quentin Dupieux est un petit malin. Et il a des idées, beaucoup. Certaines font mouche, d’autres tournent un peu en rond. Il y en a qui font carrément pschit spoiler: – ou bang, c’est selon . Et malgré ce foisonnement d’idées, malgré la distribution impressionnante, quelque chose manque : la finalité. Sur le sujet du film, les acteurs, que nous apprend Le Deuxième Acte que nous ne sachons déjà ? Où nous mène ce cinéma qui use et abuse des mises en abyme pour ne finalement rien révéler ? Dans la même veine, Coupez ! (Michel Hazanivicius, 2022) s’achevait sur la force et l’importance du collectif dans le processus de création cinématographique. Le film de Dupieux se clôt sur un plan interminable dont on se demande encore la signification (pour rallonger la durée d’un film qui atteint péniblement celle d’un long métrage ?) et un dialogue assez pauvre sur la différence entre réalité et fiction qui, sous couvert d’ironie, cache peut-être une conception plus que discutable : la réalité, pour les acteurs comme pour les autres, c’est que, sans la reconnaissance de ses illustres pairs, on aurait raté sa vie ? Quentin Dupieux cultive un certain art de l’ironie, mais ce qu’il en fait se révèle terriblement inconséquent.