Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
31 critiques presse
Les Fiches du Cinéma
par Thomas Fouet
Sous couvert d’une satire du monde du cinéma, un Dupieux souvent très drôle, parfois vertigineux, et comme toujours teinté d’inquiétude.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Télé 2 semaines
par Margot Loisel
Roi des concepts non dénués de fond, Quentin Dupieux livre avec Le Deuxième Acte un absolu de cinéma dont il est difficile de parler sans en dévoiler les surprises. Il y suit Vincent Lindon, Léa Seydoux, Louis Garrel et Raphaël Quenard qui jouent des versions d'eux-mêmes et questionnent le pouvoir du cinéma sur le réel.
Télé Loisirs
par Margot Loisel
Vincent Lindon, Léa Seydoux, Louis Garrel et Raphaël Quenard qui jouent des versions d'eux-mêmes et questionnent le pouvoir du cinéma sur le réel. Doit-il en être le reflet ou, au contraire, y rester imperméable ? C'est théorique peut-être, mais jamais barbant et toujours passionnant.
Cahiers du Cinéma
par Elie Raufaste
Dans ce moment de remise en question d’un système et des abus de pouvoir qu’il autorise, Dupieux n’opte pas pour les professionnels et leur petit théâtre de masques (...). Il se range, une nouvelle fois et un peu trop commodément, du côté de cette figure de raté génial synthétisant comme lui tous les corps de métiers – du figurant au chef décorateur en passant par le monteur, capable d’étirer le temps, de le suspendre d’un geste tremblant et fragile comme un rêve de débutant.
CinemaTeaser
par Renan Cros
Le nouveau Dupieux emprisonne la crème du cinéma d’auteur français dans un drôle de film en forme de palais des miroirs. Méchant, déroutant et mélancolique à souhait.
La critique complète est disponible sur le site CinemaTeaser
Elle
par Françoise Delbecq
Un film dans le film avec ses coulisses de tournage façon La Nuit américaine, dans lequel le réalisateur pointe du doigt avec humour les problèmes que traverse le 7ᵉ art : la désaffection des salles, l'arrivée de l'intelligence artificielle, l'ego surdimensionné des stars, la puissance de certains acteurs même en période post #MeToo, l'entre-soi, le rêve de Hollywood...
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
Comme il aime le faire – et y parvient bien souvent – Quentin Dupieux nous emmène sur des rives jusqu'au milieu du quai pour finalement nous emmener ailleurs, sans jamais pour autant nous lâcher.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
GQ
par Adam Sanchez
Le Deuxième Acte marque le retour de Quentin Dupieux à un cinéma drôle, insolent et labyrinthique.
La critique complète est disponible sur le site GQ
L'Humanité
par Cyprien Caddeo
Une succulente autopsie du cinéma où des acteurs se rebiffent contre un scénario qu’ils jugent médiocre.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
L'Obs
par Nicolas Schaller
Les dialogues sont aux petits oignons, les comédiens au diapason, la patte Dupieux – restoroute, extérieurs sans vie et vintage beigeasses – est intacte et le film, métaboulevardier, aussi malin qu’un gant de crin qui, retourné, se fait de velours.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
LCI
par Jérôme Vermelin
Une géniale comédie sur les coulisses d'un tournage où la réalité joue au chat et à la souris avec la fiction.
La critique complète est disponible sur le site LCI
La Croix
par Céline Rouden
La dernière comédie de Quentin Dupieux, réalisateur prolifique, nous plonge avec délice dans le vertige existentiel du métier d’acteur, à travers une mise en abyme virtuose et drôlissime.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
La Voix du Nord
par Christophe Caron
Cynique et roublard ? Bien sûr ! Mais sans aucune leçon. Les uns piocheront la réplique qui fait mouche tandis que les autres exulteront devant la manière dont le récit retourne cette même réplique comme une crêpe.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Figaro
par Eric Neuhoff
Dupieux détourne les clichés, balance des coups de pied dans la bien-pensance. Il est doué. Il est malin. Naturel et bouffonnerie lui tiennent lieu de style.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Journal du Dimanche
par Baptiste Thion
Bavard, il l’est, c’est certain. Il est aussi malin, pertinent et gentiment impertinent, drôlissime avant tout : là réside sa principale qualité.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Parisien
par Catherine Balle
"Tu te rends compte de l’image qu’on est en train de donner de nous ? interroge David-Louis Garrel. Déjà que les salles sont à moitié vides… Les gens vont nous détester !" Voir ces acteurs-là faire semblant de s’écharper avec conviction et une formidable autodérision se révèle totalement jouissif.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Le Point
par Philippe Guedj et Jean-Luc Wachthausen
Dans le registre du cinéma miroir : Vincent Lindon, Louis Garrel, Léa Seydoux et Raphaël Quenard sont, eux-mêmes, excellents, cash, servis par un scénario et des dialogues au cordeau.
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Les Echos
par Olivier De Bruyn
Le réalisateur français infatigable met en scène quatre acteurs égarés sur le tournage d'une fiction abracadabrante. Une réussite.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Marianne
par Olivier De Bruyn
La réalité et la fiction dansent un pogo frénétique dans ce film irrévérencieux sur le petit monde du cinéma qui, jusqu’à son terme, se distingue grâce à son mauvais esprit et à son humour intrépide.
La critique complète est disponible sur le site Marianne
Paris Match
par Yannick Vely
Le Deuxième acte est en tout cas l’un de ses meilleurs films, à la forme extrêmement élaborée, entre la direction d’acteur millimétrée et ce long travelling qui pourrait bien entrer dans le livre des records.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Positif
par Éric Derobert
Si Queneau me vient à l'esprit, c'est ce que se dessine, peu à peu, dans Le Deuxième Acte, un schéma oulipien de la contrainte, le récit faisant se succéder les dialogues, la plupart du temps filmés en travellings, entre les six binômes possibles parmi les quatre acteurs.
Sud Ouest
par Cédric Coppola
Dans la veine inventive de ses aînés, cette nouvelle comédie surprenante délaisse rapidement sa prétendue intrigue pour s’imposer comme une mise en abyme aussi drôle que brillante du monde...
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
Télérama
par Jacques Morice
Quatre acteurs en tournage en rase campagne, un restoroute et des échanges drôles-amers... Quentin Dupieux maîtrise l’art de la mise en abyme, ici au service d’une satire percutante.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Le Monde
par Mathieu Macheret
Le rire mi-potache mi-grinçant gratte la surface étrangement plane des choses pour en révéler la violence tapie. Le Deuxième Acte fait alors mouche lorsque la satire, sans crier gare, prend des airs de cauchemar éveillé.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Inrockuptibles
par Jean-Marc Lalanne
Rarement (jamais ?), un Festival de Cannes n’aura démarré avec un film qui scanne aussi précisément toutes les pensées qui trottent dans la tête de celles et ceux qui le regardent. Le Deuxième Acte offre au festival un premier acte aux airs de miroir sardonique.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Sandra Onana et Didier Péron
Il s’agit toujours de récits trop brefs pour qu’on ait vraiment le temps de regarder sa montre, mais qui ne peuvent exister et se déployer que dans l’espace contraint qu’ils se donnent, où l’agitation, les gags, les punchlines résonnent comme une chambre de contention sans écho ni perspective. Parfois, c'est dingue, parfois, c'est vain.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Ouest France
par Pascale Vergereau
Les dialogues et situations sont souvent hilarants. On peut déplorer deux ou trois longueurs sur la fin de ce qui s’apparente un peu à un film à sketchs, mais ce qui est sûr, c’est que l’intelligence de Dupieux n’a rien d’artificielle.
La critique complète est disponible sur le site Ouest France
Télé 7 Jours
par L. Djian
Quentin Dupieux brouille ici la frontière entre le jeu et la réalité. Il s'amuse avec le spectateur, qui devient le témoin du regard, ludique et effroyablement lucide, qu'il porte sur l'évolution de la société, sur les rapports homme-femme à l'ère du #MeToo, sur les dangers de l'intelligence artificielle, y compris dans la culture.
aVoir-aLire.com
par Gérard Crespo
L’un des films les plus drôles et subtils de Quentin Dupieux, sarcastique mise en abyme sur les milieux du cinéma.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Critikat.com
par Josué Morel
Paradoxe étonnant : c'est au moment précis où Dupieux se voit pleinement assimilé par le cinéma français qu’il apparaît plus que jamais désynchronisé de son époque - à moins qu'il ne soit au contraire le reflet de sa part trouble.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Ecran Large
par Antoine Desrues
Sous ses airs de comédie légère et anecdotique, Le Deuxième acte voudrait prendre le pouls de l’époque, sans jamais mettre les pieds dans le plat. Un manque de positionnement lourd de sens pour cette ouverture cannoise.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Les Fiches du Cinéma
Sous couvert d’une satire du monde du cinéma, un Dupieux souvent très drôle, parfois vertigineux, et comme toujours teinté d’inquiétude.
Télé 2 semaines
Roi des concepts non dénués de fond, Quentin Dupieux livre avec Le Deuxième Acte un absolu de cinéma dont il est difficile de parler sans en dévoiler les surprises. Il y suit Vincent Lindon, Léa Seydoux, Louis Garrel et Raphaël Quenard qui jouent des versions d'eux-mêmes et questionnent le pouvoir du cinéma sur le réel.
Télé Loisirs
Vincent Lindon, Léa Seydoux, Louis Garrel et Raphaël Quenard qui jouent des versions d'eux-mêmes et questionnent le pouvoir du cinéma sur le réel. Doit-il en être le reflet ou, au contraire, y rester imperméable ? C'est théorique peut-être, mais jamais barbant et toujours passionnant.
Cahiers du Cinéma
Dans ce moment de remise en question d’un système et des abus de pouvoir qu’il autorise, Dupieux n’opte pas pour les professionnels et leur petit théâtre de masques (...). Il se range, une nouvelle fois et un peu trop commodément, du côté de cette figure de raté génial synthétisant comme lui tous les corps de métiers – du figurant au chef décorateur en passant par le monteur, capable d’étirer le temps, de le suspendre d’un geste tremblant et fragile comme un rêve de débutant.
CinemaTeaser
Le nouveau Dupieux emprisonne la crème du cinéma d’auteur français dans un drôle de film en forme de palais des miroirs. Méchant, déroutant et mélancolique à souhait.
Elle
Un film dans le film avec ses coulisses de tournage façon La Nuit américaine, dans lequel le réalisateur pointe du doigt avec humour les problèmes que traverse le 7ᵉ art : la désaffection des salles, l'arrivée de l'intelligence artificielle, l'ego surdimensionné des stars, la puissance de certains acteurs même en période post #MeToo, l'entre-soi, le rêve de Hollywood...
Franceinfo Culture
Comme il aime le faire – et y parvient bien souvent – Quentin Dupieux nous emmène sur des rives jusqu'au milieu du quai pour finalement nous emmener ailleurs, sans jamais pour autant nous lâcher.
GQ
Le Deuxième Acte marque le retour de Quentin Dupieux à un cinéma drôle, insolent et labyrinthique.
L'Humanité
Une succulente autopsie du cinéma où des acteurs se rebiffent contre un scénario qu’ils jugent médiocre.
L'Obs
Les dialogues sont aux petits oignons, les comédiens au diapason, la patte Dupieux – restoroute, extérieurs sans vie et vintage beigeasses – est intacte et le film, métaboulevardier, aussi malin qu’un gant de crin qui, retourné, se fait de velours.
LCI
Une géniale comédie sur les coulisses d'un tournage où la réalité joue au chat et à la souris avec la fiction.
La Croix
La dernière comédie de Quentin Dupieux, réalisateur prolifique, nous plonge avec délice dans le vertige existentiel du métier d’acteur, à travers une mise en abyme virtuose et drôlissime.
La Voix du Nord
Cynique et roublard ? Bien sûr ! Mais sans aucune leçon. Les uns piocheront la réplique qui fait mouche tandis que les autres exulteront devant la manière dont le récit retourne cette même réplique comme une crêpe.
Le Figaro
Dupieux détourne les clichés, balance des coups de pied dans la bien-pensance. Il est doué. Il est malin. Naturel et bouffonnerie lui tiennent lieu de style.
Le Journal du Dimanche
Bavard, il l’est, c’est certain. Il est aussi malin, pertinent et gentiment impertinent, drôlissime avant tout : là réside sa principale qualité.
Le Parisien
"Tu te rends compte de l’image qu’on est en train de donner de nous ? interroge David-Louis Garrel. Déjà que les salles sont à moitié vides… Les gens vont nous détester !" Voir ces acteurs-là faire semblant de s’écharper avec conviction et une formidable autodérision se révèle totalement jouissif.
Le Point
Dans le registre du cinéma miroir : Vincent Lindon, Louis Garrel, Léa Seydoux et Raphaël Quenard sont, eux-mêmes, excellents, cash, servis par un scénario et des dialogues au cordeau.
Les Echos
Le réalisateur français infatigable met en scène quatre acteurs égarés sur le tournage d'une fiction abracadabrante. Une réussite.
Marianne
La réalité et la fiction dansent un pogo frénétique dans ce film irrévérencieux sur le petit monde du cinéma qui, jusqu’à son terme, se distingue grâce à son mauvais esprit et à son humour intrépide.
Paris Match
Le Deuxième acte est en tout cas l’un de ses meilleurs films, à la forme extrêmement élaborée, entre la direction d’acteur millimétrée et ce long travelling qui pourrait bien entrer dans le livre des records.
Positif
Si Queneau me vient à l'esprit, c'est ce que se dessine, peu à peu, dans Le Deuxième Acte, un schéma oulipien de la contrainte, le récit faisant se succéder les dialogues, la plupart du temps filmés en travellings, entre les six binômes possibles parmi les quatre acteurs.
Sud Ouest
Dans la veine inventive de ses aînés, cette nouvelle comédie surprenante délaisse rapidement sa prétendue intrigue pour s’imposer comme une mise en abyme aussi drôle que brillante du monde...
Télérama
Quatre acteurs en tournage en rase campagne, un restoroute et des échanges drôles-amers... Quentin Dupieux maîtrise l’art de la mise en abyme, ici au service d’une satire percutante.
Le Monde
Le rire mi-potache mi-grinçant gratte la surface étrangement plane des choses pour en révéler la violence tapie. Le Deuxième Acte fait alors mouche lorsque la satire, sans crier gare, prend des airs de cauchemar éveillé.
Les Inrockuptibles
Rarement (jamais ?), un Festival de Cannes n’aura démarré avec un film qui scanne aussi précisément toutes les pensées qui trottent dans la tête de celles et ceux qui le regardent. Le Deuxième Acte offre au festival un premier acte aux airs de miroir sardonique.
Libération
Il s’agit toujours de récits trop brefs pour qu’on ait vraiment le temps de regarder sa montre, mais qui ne peuvent exister et se déployer que dans l’espace contraint qu’ils se donnent, où l’agitation, les gags, les punchlines résonnent comme une chambre de contention sans écho ni perspective. Parfois, c'est dingue, parfois, c'est vain.
Ouest France
Les dialogues et situations sont souvent hilarants. On peut déplorer deux ou trois longueurs sur la fin de ce qui s’apparente un peu à un film à sketchs, mais ce qui est sûr, c’est que l’intelligence de Dupieux n’a rien d’artificielle.
Télé 7 Jours
Quentin Dupieux brouille ici la frontière entre le jeu et la réalité. Il s'amuse avec le spectateur, qui devient le témoin du regard, ludique et effroyablement lucide, qu'il porte sur l'évolution de la société, sur les rapports homme-femme à l'ère du #MeToo, sur les dangers de l'intelligence artificielle, y compris dans la culture.
aVoir-aLire.com
L’un des films les plus drôles et subtils de Quentin Dupieux, sarcastique mise en abyme sur les milieux du cinéma.
Critikat.com
Paradoxe étonnant : c'est au moment précis où Dupieux se voit pleinement assimilé par le cinéma français qu’il apparaît plus que jamais désynchronisé de son époque - à moins qu'il ne soit au contraire le reflet de sa part trouble.
Ecran Large
Sous ses airs de comédie légère et anecdotique, Le Deuxième acte voudrait prendre le pouls de l’époque, sans jamais mettre les pieds dans le plat. Un manque de positionnement lourd de sens pour cette ouverture cannoise.