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Bon film d'espionnage. A la James Bond sans tous les gadgets et durant la Seconde Guerre Mondiale. Des agents alliés infiltrent une base de lancement de fusées allemandes, lesquelles sont conçues dans le but de détruire Londres et, à terme, New York. Un bon film, même s'il prend de l'âge. Espionnage à l'ancienne et bonne immersion dans le film.
Redzing
Un film d'espionnage sympa qui a l'avantage de montrer le développement des fusées V1 et V2 chez les allemands et le début de leur utilisation. A part ça, le scénario n'est pas trop mal (la fin est par ailleurs assez peu orthodoxe pour l'époque) et ne prend les allemands pour des abrutis, chose rare dans les films de cette période. Il y a des rebondissement et de l'action, mais les acteurs ne sont pas inoubliables. En somme, un film qui divertit mais que l'on ne verra qu'une fois.
Un film de guerre sympathique malgré quelques longueurs et des scènes inutiles . Le scénario est crédible dans son ensemble, racontant le sacrifice d'espions britanniques pour empêcher l'expansion des V1 et des V2 allemands, avec une conclusion pour le moins atypique, mais le rôle et l'importance de Sophia Loren ne sont là que pour meubler ce long métrage qui met du mal à démarrer . A voir .
Un film de guerre divertissant à gros défaut d'apporter quelque chose au genre, "Opération Crossbow" manque sérieusement de personnalité, parfois de moyens car les scènes aériennes et les décors sont un peu cheaps et les personnages ne sont pas suffisamment approfondis. Par contre, les scènes d'explosions valent leur pesant d'or et le casting ne manque pas de prestige bien qu'on se doute, étant donné qu'elle apparaît que quelques minutes et dans un rôle peu indispensable pour ne pas dire pas du tout, que la présence de Sophia Loren ne sert uniquement qu'à mettre le nom prestigieux d'une star féminine sur l'affiche. Tout de même on ne s'ennuie pas une seconde, et c'est tant mieux, et les dernières scènes sont assez prenantes. "Opération Crossbow" est exactement le film de genre qu'on oublie très vite mais qui réussit à intéresser le spectateur pendant près de deux heures, le temps de sa vision.
Un film en deux parties, une d'une heure et demi devant laquelle on s'ennuie fortement et une seconde plus dynamique mais avec des scènes d'action ridicules. C'est un plaisir de voir George Peppard mais pas de suivre cette histoire qui tarde à démarrer, qui manque de vie, de rebondissements !!
Un bon film de guerre très plaisant qui se laisse suivre. Pas mal.
Michael Anderson est un cinéaste capable du pire (son très ennuyeux « tour du monde en 80 jours ») comme du meilleur (« lâge de cristal »). Ici on approche la seconde catégorie, avec cet honnête film de guerre dans la ligné des « Canons de Navarone » ou des « Héros de Telemark ». Réalisé et interprété sans génie, mais avec un minimum de savoir-faire nécessaire pour que lon passe un bon moment.
AMCHI
Le sujet est intéressant et le casting est de choix mais la réalisation n'est pas à la hauteur. A son époque le film devait être plaisant mais de nos jours Opération Crossbow ne se distingue pas des nombreux films sur la 2nde GM tourné durant les années 1950/60. L'histoire est peu palpitante et la réalisation sans saveur.
Un bon film de guerre, plutôt classique dans le genre mais qui se laisse suivre avec beaucoup de plaisir et sans ennuyer. Rien de mémorable mais plutôt plaisant.
Film typique de l'époque prenant comme point de départ un fait de la Seconde Guerre Mondiale, en général une bataille, içi le développement par les nazis des fameuses fusées V1 puis V2. Si la mise en scène où l'interprétation ne permettent pas à Opération Crossbow de se démarquer des autres films de guerre des 60's, son scénario, qui insiste sur le rôle majeur du renseignement et le sacrifice d'espions restés anonymes, s'avère surprenant, en particulier lors de sa conclusion.
L'histoire est basée sur des faits réels et est bien racontée, sobrement, trop sobrement parfois; mais cela a le mérite d'être très proche de la réalité de l'époque.
Les acteurs jouent bien mais les effets spéciaux sont largement dépassés. Par contre, la reconstitution des V1 et de leur mode de fonctionnement est pas mal
A voir pour le témoignage historique, certainement un peu romancé ici.
Les acteurs jouent bien mais les effets spéciaux sont largement dépassés. Par contre, la reconstitution des V1 et de leur mode de fonctionnement est pas mal
A voir pour le témoignage historique, certainement un peu romancé ici.
Un film d'espionnage assez classique, sur un fait de la Seconde Guerre Mondiale, typique des années 60. La reconstitution se veut fidèle mais trop "propre". L'intrigue se veut solide, mais ne respecte pas beaucoup la chronologie historique. Le casting est intéressant, mais les personnages manquent un peu de profondeur. Dommage que Sofia Loren soit en tête d'affiche pour un rôle somme toute assez mineur. Enfin, si on veut en savoir plus sur Pennemünde, allez voir "la Coupole", du côté de Saint Omer, une partie du musée y est consacrée.
Un film "divertissant", du genre de la plupart de ceux qui se faisaient dans les années '60, mais se démarquant par le fait que, POUR UNE FOIS - et une fois n'est pas coutume -, les Allemands ne sont pas pris pour des CONS, des VAINCUS résignés ou des SALAUDS : par exemple, la personnalité héroïque de Hanna Reitsch, aviatrice des plus célèbres , est bien mise en valeur (l'histoire du commando suicide où elle se porte volontaire pour l'essai des V1 est authentique ; le 26 avril 1945, elle parvint à atterrir dans Berlin assiégée dans l'espoir de persuader Hitler de fuir la cité - comme l'on sait, celui-ci refusera -) !!!
Toute la section "hollandaise" pour utile qu'elle soit - elle sert à montrer le rôle et l'étendue du réseau d'espionnage et de résistance intérieure des pays occupés ainsi que le côté impitoyable de la "guerre secrète" - est beaucoup trop longue et le rôle incarné par Sophia Loren, INUTILE en substance. Seule, la fin se réanime (après la section "allemande" de départ) pour finir dans l'apothéose "classique" de tout film consacré à la seconde guerre mondiale : la défaite du plan allemand de la fabrication de la fusée V3 ... ce qui est historiquement faux : les Américains ont pu faire leurs fruits des travaux TRES AVANCES de la géniale équipe de physiciens et d'ingénieurs de Werhner von Braun en dérobant la science allemande ... ce qui n'est pas le cas des Soviétiques qui disposaient du "von Braun" russe : Sergueï Korolev, créateur de la science spatiale russe ...
Ce n'était pas l'objet du film, mais il est regrettable que ne soit pas effleuré - même par allusion - l'ignominie dont a fait preuve tout au long de la guerre le professeur Lindemann, Juif allemand naturalisé anglais, "honorabilisé" en tant que Lord Cherwell, et pris d'une haine viscérale, mégalo-maniaque envers sa patrie d'origine (il est né à Baden Baden et a fait se études à Darmstadt puis à Berlin où il passera sa thèse de doctorat en physique). "Conseiller scientifique de Churchill, Jörg Friedrich définit comme il convient son rôle et celui de son "Boss" dans son célèbre livre "Der Brand" ("L'incendie"). Il est l'auteur du "plan Lindemann" de bombardement massif des cités allemandes avec pour point essentiel les "raids de terreur" sur les populations, et d'un plan de guerre bactériologique et au gaz qui, s'il avait été appliqué, aurait causé la mort de millions et de millions de civils ... plans qui eussent dû lui valoir une condamnation au moins morale de CRIMINEL de GUERRE et contre l'HUMANITE si, comme Churchill, il ne s'était trouvé dans le camp des "vainqueurs". Tous deux ont d'ailleurs soutenu "d'enthousiasme" l'ignoble "plan Morgenthau" ... mis "discrètement" en pratique dans les camps de détention des prisonniers de guerre allemands ... Le crétinisme dont l'affuble le film sert sans doute à passer sous silence cette ignominie crasse ...
Toute la section "hollandaise" pour utile qu'elle soit - elle sert à montrer le rôle et l'étendue du réseau d'espionnage et de résistance intérieure des pays occupés ainsi que le côté impitoyable de la "guerre secrète" - est beaucoup trop longue et le rôle incarné par Sophia Loren, INUTILE en substance. Seule, la fin se réanime (après la section "allemande" de départ) pour finir dans l'apothéose "classique" de tout film consacré à la seconde guerre mondiale : la défaite du plan allemand de la fabrication de la fusée V3 ... ce qui est historiquement faux : les Américains ont pu faire leurs fruits des travaux TRES AVANCES de la géniale équipe de physiciens et d'ingénieurs de Werhner von Braun en dérobant la science allemande ... ce qui n'est pas le cas des Soviétiques qui disposaient du "von Braun" russe : Sergueï Korolev, créateur de la science spatiale russe ...
Ce n'était pas l'objet du film, mais il est regrettable que ne soit pas effleuré - même par allusion - l'ignominie dont a fait preuve tout au long de la guerre le professeur Lindemann, Juif allemand naturalisé anglais, "honorabilisé" en tant que Lord Cherwell, et pris d'une haine viscérale, mégalo-maniaque envers sa patrie d'origine (il est né à Baden Baden et a fait se études à Darmstadt puis à Berlin où il passera sa thèse de doctorat en physique). "Conseiller scientifique de Churchill, Jörg Friedrich définit comme il convient son rôle et celui de son "Boss" dans son célèbre livre "Der Brand" ("L'incendie"). Il est l'auteur du "plan Lindemann" de bombardement massif des cités allemandes avec pour point essentiel les "raids de terreur" sur les populations, et d'un plan de guerre bactériologique et au gaz qui, s'il avait été appliqué, aurait causé la mort de millions et de millions de civils ... plans qui eussent dû lui valoir une condamnation au moins morale de CRIMINEL de GUERRE et contre l'HUMANITE si, comme Churchill, il ne s'était trouvé dans le camp des "vainqueurs". Tous deux ont d'ailleurs soutenu "d'enthousiasme" l'ignoble "plan Morgenthau" ... mis "discrètement" en pratique dans les camps de détention des prisonniers de guerre allemands ... Le crétinisme dont l'affuble le film sert sans doute à passer sous silence cette ignominie crasse ...
Il est dommage que l'histoire ne soit pas respectée, cela nous aurait fait découvrir le personnage étonnant qu'est Jacques Bergier résistant, savant Français faisant partie du réseau Marco Polo, réseau qui a averti Londres de la fabrication de ces fusées sauvant en même temps le débarquement.
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