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En titrant ainsi son film, Santiago Lozano Álvarez le place sous le signe du paradoxe tout en renvoyant au passage entre le monde des vivants et celui des morts.
Avec une douceur captivante, ce périple sensoriel, dans un territoire d’une stupéfiante beauté, immerge le spectateur dans la menace invisible de la guerre.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
C’est toute la troublante ambiguïté de la jungle que parvient à enregistrer la mise en scène de Santiago Lozano Álvarez. Aussi bien poumon précieux et dernier bouclier de l’écosystème terrestre qu’immense cimetière à ciel ouvert.
Mêlant onirisme et réalisme, ce long métrage arrive à fasciner avec une économie de moyens, et utilise avec habileté une expression poétique issue de la culture afro-colombienne.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Autour de la notion spirituelle de repos des âmes de ceux qui ont été victimes ici, des groupes armés qui contrôlent la forêt [...] le périple de José, lui-même quasi mort-vivant (c’est son « dernier voyage ») exprime le raz le bol de toute une population, d’être menacée et exploitée.
La critique complète est disponible sur le site Abus de Ciné
Les Fiches du Cinéma
Un envoûtant récit initiatique.
Cahiers du Cinéma
En titrant ainsi son film, Santiago Lozano Álvarez le place sous le signe du paradoxe tout en renvoyant au passage entre le monde des vivants et celui des morts.
Le Monde
Avec une douceur captivante, ce périple sensoriel, dans un territoire d’une stupéfiante beauté, immerge le spectateur dans la menace invisible de la guerre.
Les Inrockuptibles
C’est toute la troublante ambiguïté de la jungle que parvient à enregistrer la mise en scène de Santiago Lozano Álvarez. Aussi bien poumon précieux et dernier bouclier de l’écosystème terrestre qu’immense cimetière à ciel ouvert.
Libération
Un film d’une beauté tranquille.
Mad Movies
[...] une odyssée mystique aux indéniables qualités visuelles mais qui aurait gagné à être moins opaque.
aVoir-aLire.com
Mêlant onirisme et réalisme, ce long métrage arrive à fasciner avec une économie de moyens, et utilise avec habileté une expression poétique issue de la culture afro-colombienne.
Abus de Ciné
Autour de la notion spirituelle de repos des âmes de ceux qui ont été victimes ici, des groupes armés qui contrôlent la forêt [...] le périple de José, lui-même quasi mort-vivant (c’est son « dernier voyage ») exprime le raz le bol de toute une population, d’être menacée et exploitée.