L'Antilope d'or, la renarde et le lièvre : Critique presse
L'Antilope d'or, la renarde et le lièvre
Note moyenne
3,8
6 titres de presse
Culturopoing.com
La Croix
Le Monde
Le Parisien
Télérama
Les Fiches du Cinéma
Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
6 critiques presse
Culturopoing.com
par Eléonore Vigier
Entre anthropomorphisme au service de la satire humaine d’Atamanov, et symbolisme de Youri Norstein, en tant que comédie des apparences, L’Antilope d’or, la renarde et le lièvre offre une richesse fabuliste à la fois par la stylisation des images, du mouvement, et de la mise en scène, et par la posture du conteur : un hommage dépaysant à l’animation soviétique.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
La Croix
par Stéphane Dreyfus
Des œuvres qui n'ont rien à envier aux classiques Disney.
Le Monde
par Cl. F.
Quarante-trois minutes de poésie et d’aventures, c’est à prendre et à ne pas laisser. Le distributeur Malavida ressort deux joyaux de l’animation russe à destination du jeune public, La Renarde et le Lièvre (1973), de Youri Norstein, né en 1941, et L’Antilope d’or (1954), de Lev Atamanov (1905-1981). Ces deux auteurs sont issus des studios moscovites Soyuzmultfilm, créés en 1936, lesquels, pendant la guerre froide, rivaliseront d’inventivité avec Walt Disney.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Parisien
par Renaud Baronian
Regroupés dans un même programme, deux courts-métrages oubliés, qui vont ravir les plus jeunes, témoignent de l’excellence de l’animation soviétique entre 1930 et 1990, et de son influence sur le genre.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Télérama
par Nicolas Didier
Derrière L’Antilope d’or, la Renarde et le Lièvre, étrange titre en forme d’attelage animalier, façon fable de La Fontaine, se cachent deux pépites issues des studios moscovites Soiouzmoultfilm, dont le fabuleux La Renarde et le Lièvre (1973), de Youri Norstein.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Les Fiches du Cinéma
par Jef Marcadé
Très différents dans leur facture, les deux courts métrages ici réunis illustrent les qualités de l’animation soviétique dans les années 1950 et 1970. La vivacité de la réalisation pourrait séduire et capter l’attention des très jeunes spectateurs d’aujourd’hui.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Culturopoing.com
Entre anthropomorphisme au service de la satire humaine d’Atamanov, et symbolisme de Youri Norstein, en tant que comédie des apparences, L’Antilope d’or, la renarde et le lièvre offre une richesse fabuliste à la fois par la stylisation des images, du mouvement, et de la mise en scène, et par la posture du conteur : un hommage dépaysant à l’animation soviétique.
La Croix
Des œuvres qui n'ont rien à envier aux classiques Disney.
Le Monde
Quarante-trois minutes de poésie et d’aventures, c’est à prendre et à ne pas laisser. Le distributeur Malavida ressort deux joyaux de l’animation russe à destination du jeune public, La Renarde et le Lièvre (1973), de Youri Norstein, né en 1941, et L’Antilope d’or (1954), de Lev Atamanov (1905-1981). Ces deux auteurs sont issus des studios moscovites Soyuzmultfilm, créés en 1936, lesquels, pendant la guerre froide, rivaliseront d’inventivité avec Walt Disney.
Le Parisien
Regroupés dans un même programme, deux courts-métrages oubliés, qui vont ravir les plus jeunes, témoignent de l’excellence de l’animation soviétique entre 1930 et 1990, et de son influence sur le genre.
Télérama
Derrière L’Antilope d’or, la Renarde et le Lièvre, étrange titre en forme d’attelage animalier, façon fable de La Fontaine, se cachent deux pépites issues des studios moscovites Soiouzmoultfilm, dont le fabuleux La Renarde et le Lièvre (1973), de Youri Norstein.
Les Fiches du Cinéma
Très différents dans leur facture, les deux courts métrages ici réunis illustrent les qualités de l’animation soviétique dans les années 1950 et 1970. La vivacité de la réalisation pourrait séduire et capter l’attention des très jeunes spectateurs d’aujourd’hui.