Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
13 critiques presse
Bande à part
par Nadia Meflah
Œuvre chorale portée par l’extraordinaire Irène Jacob, Shikun est un immense film de la déambulation, où se croisent et s’interpellent les langues comme les désespérances. C’est aussi une fulgurante relecture du Rhinocéros de Ionesco, entre thriller philosophique et film de monstre.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
Transfuge
par Serge Kaganski
"Shikun" demeure pertinent et semble refléter non seulement le conflit Israël/Palestine mais aussi le monde déboussolé d’aujourd’hui.
Cahiers du Cinéma
par Ariel Schweitzer
Shikun (HLM en hébreu) est clairement un film d’architecte (première formation d’Amos Gitaï). C’est aussi son œuvre la plus abstraite, constituée de longs travellings balayant sans cesse l’espace et d’une série de monologues et de dialogues en diverses langues (hébreu, arabe, russe, yiddish et français) révélant la complexité culturelle de la société israélienne.
Critikat.com
par Adrien Mitterrand Munch
Gitaï signe un film curieux et hybride dont le principal intérêt tient à l’expression d’une impuissance (du personnage principal, et certainement d’Amos Gitaï lui-même) face à la généralisation d’un repli sur soi.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Franceinfo Culture
par Falila Gbadamassi
Ce film concept s'avère déroutant, particulièrement dans sa mise en scène.
L'Obs
par Sophie Grassin
Il est permis de râler devant sa théâtralité, mais quelle hauteur de vue dans ce film irrigué par le politique et l’intime subtilement mêlés !
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Monde
par Cl. F.
Inspiré de la pièce Rhinocéros, d’Eugène Ionesco (1909-1994), ce film conceptuel, dénonçant les totalitarismes et les dérives autoritaires, est porté par l’actrice Irène Jacob, qui installe une atmosphère d’étrangeté.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Télérama
par Frédéric Strauss
Sombre, parfois théorique mais vaillant, Shikun est aussi une étonnante rencontre entre l’intemporel et l’actuel.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Gérard Crespo
Cette libre adaptation de Ionesco permet à Amos Gitaï d’élaborer une métaphore politique subtile, dans la lignée de ses précédents films.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
La Croix
par Céline Rouden
Le réalisateur israélien adapte le Rhinocéros dans les couloirs d’un immeuble de Jérusalem et signe une fable antitotalitaire au dispositif trop conceptuel pour être intelligible.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Les Fiches du Cinéma
par Guillaume Ange
Un beau message de résistance desservi par une mise en scène le rendant trop opaque.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Libération
par Didier Péron
On défie quiconque de trouver matière là à quelque chose d’un tant soit peu utile vu les circonstances et la guerre en cours dans ce qui ressemble bien souvent à une caricature de projet d’auteur intello s’écoutant filmer et parler en pure perte.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Première
par Bastien Assié
Le nouveau projet d’Amos Gitai trouve un écho contemporain en traitant l’émergence de la haine au sein d’un groupe hybride et polyglotte. Pourtant, le film ne dépasse pas son concept et le défilé de personnages déclamant leur histoire par quelques traits d’esprit ne permet pas d’apprécier la poésie qu’il prétend atteindre.
La critique complète est disponible sur le site Première
Bande à part
Œuvre chorale portée par l’extraordinaire Irène Jacob, Shikun est un immense film de la déambulation, où se croisent et s’interpellent les langues comme les désespérances. C’est aussi une fulgurante relecture du Rhinocéros de Ionesco, entre thriller philosophique et film de monstre.
Transfuge
"Shikun" demeure pertinent et semble refléter non seulement le conflit Israël/Palestine mais aussi le monde déboussolé d’aujourd’hui.
Cahiers du Cinéma
Shikun (HLM en hébreu) est clairement un film d’architecte (première formation d’Amos Gitaï). C’est aussi son œuvre la plus abstraite, constituée de longs travellings balayant sans cesse l’espace et d’une série de monologues et de dialogues en diverses langues (hébreu, arabe, russe, yiddish et français) révélant la complexité culturelle de la société israélienne.
Critikat.com
Gitaï signe un film curieux et hybride dont le principal intérêt tient à l’expression d’une impuissance (du personnage principal, et certainement d’Amos Gitaï lui-même) face à la généralisation d’un repli sur soi.
Franceinfo Culture
Ce film concept s'avère déroutant, particulièrement dans sa mise en scène.
L'Obs
Il est permis de râler devant sa théâtralité, mais quelle hauteur de vue dans ce film irrigué par le politique et l’intime subtilement mêlés !
Le Monde
Inspiré de la pièce Rhinocéros, d’Eugène Ionesco (1909-1994), ce film conceptuel, dénonçant les totalitarismes et les dérives autoritaires, est porté par l’actrice Irène Jacob, qui installe une atmosphère d’étrangeté.
Télérama
Sombre, parfois théorique mais vaillant, Shikun est aussi une étonnante rencontre entre l’intemporel et l’actuel.
aVoir-aLire.com
Cette libre adaptation de Ionesco permet à Amos Gitaï d’élaborer une métaphore politique subtile, dans la lignée de ses précédents films.
La Croix
Le réalisateur israélien adapte le Rhinocéros dans les couloirs d’un immeuble de Jérusalem et signe une fable antitotalitaire au dispositif trop conceptuel pour être intelligible.
Les Fiches du Cinéma
Un beau message de résistance desservi par une mise en scène le rendant trop opaque.
Libération
On défie quiconque de trouver matière là à quelque chose d’un tant soit peu utile vu les circonstances et la guerre en cours dans ce qui ressemble bien souvent à une caricature de projet d’auteur intello s’écoutant filmer et parler en pure perte.
Première
Le nouveau projet d’Amos Gitai trouve un écho contemporain en traitant l’émergence de la haine au sein d’un groupe hybride et polyglotte. Pourtant, le film ne dépasse pas son concept et le défilé de personnages déclamant leur histoire par quelques traits d’esprit ne permet pas d’apprécier la poésie qu’il prétend atteindre.