Anna est serveuse dans un dancing parisien qu'elle quitte pour travailler dans un hôpital caritatif. Au fil des ans, elle se hisse à la tête de l'institution, mais lorsqu'un vieil habitué du dancing reconnaît sa photo, il tente de la faire chanter. La Tare est exemplaire des intentions de Louis Feuillade envers la ligne, tant esthétique que morale, de sa collection de films classés sous l’enseigne de « la Vie telle qu’elle est », équivalent cinématographique des romans de Zola et de Goncourt.