Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
20 critiques presse
Cahiers du Cinéma
par Olivia Cooper-Hadjian
Adoptant l’attitude placide mais déterminée de son héroïne, India Donaldson ne dicte rien des émotions qu’il faudrait ressentir, laisse la violence résonner.
Culturopoing.com
par Pierig Leray
A la fois brillant et désespéré, « Good One » explore dans une fausse mesure la toxicité d’un patriarcat « ordinaire » qui tuera, à petit feu, le peu d’innocence restant chez Sam. Donaldson nous interroge alors violemment : changeront-ils vraiment un jour ?
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Konbini
par Manon Marcillat
La prédation masculine et la lâcheté paternelle font prendre un tournant radical à ce Boyhood des grands espaces, laissant une colère sourde et féminine se répandre, tout en économie de mots, grâce notamment au talent de Lily Collias, jeune et très grande actrice.
Le Figaro
par É.S.
Le malaise s’insinue dans une nature paradisiaque. Sans long discours, avec une grande finesse, la réalisatrice met en scène tous les débats qui agitent les relations hommes-femmes depuis Metoo.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Les Fiches du Cinéma
par Paul Fabreuil
Du grand art de dire beaucoup en scrutant les personnages dans leurs moindres détails.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
par Robin Vaz
D’un récit d’abord paisible, émaillé de misogynie ordinaire, ce premier long fait surgir un sursaut féministe salvateur.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Camille Nevers
"Good One" offre ce plaisir de paresse et de ténuité, dans le simple appareil naturaliste des films modestes, contemplatifs et secrets.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Marie Claire
par Emily Barnett
Dans ce premier long-métrage délicatement filmé, la nature est un écrin splendide révélant les discrètes dissonances entre enfant et adulte, homme et femme, où une simple phrase peut bouleverser ces relations à jamais.
Ouest France
par Thierry Chèze
Une chronique du sexisme ordinaire, menée avec une finesse implacable.
Positif
par Yannick Lemarié
Un hommage à Kelly Reichardt en même temps que l’affirmation d’un talent singulier.
Rolling Stone
par Samuel Regnard
Conflit de générations, figure patriarcale et contemplation de la nature… Le premier film de India Donaldson, Good One, est d’une délicatesse inouïe.
La critique complète est disponible sur le site Rolling Stone
Télérama
par Samuel Douhaire
Virée sous la tente dans les Catskills aidant, l’influence du cinéma bucolique et minimaliste de Kelly Reichardt est évidente, mais India Donaldson signe bien mieux qu’une copie appliquée de bonne élève : Good One se révèle une chronique sensible, délicate et précise, des rapports fille-père mais aussi une évocation très juste du machisme ordinaire. Prometteur.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Voici
par V.C.
Subtil et émouvant.
Abus de Ciné
par Olivier Bachelard
Loin de tout manichéisme et amenant son sujet au travers d’un périple où la nature et les retrouvailles entre un père et sa fille ont autant d’importance, le long métrage permet au personnage de Sam d’exister dans sa solitude ou ses soutiens éloignés, mais aussi dans sa détermination à ne pas subir.
La critique complète est disponible sur le site Abus de Ciné
Critikat.com
par Jean-Pierre Delvolvé
Le film échappe progressivement à sa joliesse initiale un peu trompeuse pour épouser une esthétique plus composée, voire radicale.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Le Monde
par Ma. Mt.
Sous la joliesse un peu surjouée d’une certaine esthétique « indé », le film se creuse de longues plages de conversation où s’affinent considérablement les portraits psychologiques. On regrette toutefois que le point de vue s’abrite sous un absolu adolescent qui aboutit à la condamnation irrévocable des adultes.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Première
par Thierry Chèze
Good one raconte le sexisme ordinaire derrière la bonhommie de personnages masculins sur lequel la cinéaste fait évoluer le regard par petites touches, avec un minimalisme qui renforce la puissance de son propos dont la violence d’abord invisibilisée vous saute à la gorge.
La critique complète est disponible sur le site Première
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
Pour son premier film au cinéma, l’américaine Inia Donaldson réalise une œuvre absolument originale où le malentendu, l’ambiguïté des personnages emportent les spectateurs dans une comédie dramatique, sensible et mystérieuse.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Télé 2 semaines
par C.B.
Ce premier long métrage habile mais qui aurait mérité d'être resserré, illustre intelligemment le fossé qui sépare les générations et les sexes.
L'Obs
par Xavier Leherpeur
Présentée à la Quinzaine des Cinéastes, cette fiction amorphe copie (mal) le cinéma naturaliste de Kelly Reichardt et bâcle son prétendu message féministe.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Cahiers du Cinéma
Adoptant l’attitude placide mais déterminée de son héroïne, India Donaldson ne dicte rien des émotions qu’il faudrait ressentir, laisse la violence résonner.
Culturopoing.com
A la fois brillant et désespéré, « Good One » explore dans une fausse mesure la toxicité d’un patriarcat « ordinaire » qui tuera, à petit feu, le peu d’innocence restant chez Sam. Donaldson nous interroge alors violemment : changeront-ils vraiment un jour ?
Konbini
La prédation masculine et la lâcheté paternelle font prendre un tournant radical à ce Boyhood des grands espaces, laissant une colère sourde et féminine se répandre, tout en économie de mots, grâce notamment au talent de Lily Collias, jeune et très grande actrice.
Le Figaro
Le malaise s’insinue dans une nature paradisiaque. Sans long discours, avec une grande finesse, la réalisatrice met en scène tous les débats qui agitent les relations hommes-femmes depuis Metoo.
Les Fiches du Cinéma
Du grand art de dire beaucoup en scrutant les personnages dans leurs moindres détails.
Les Inrockuptibles
D’un récit d’abord paisible, émaillé de misogynie ordinaire, ce premier long fait surgir un sursaut féministe salvateur.
Libération
"Good One" offre ce plaisir de paresse et de ténuité, dans le simple appareil naturaliste des films modestes, contemplatifs et secrets.
Marie Claire
Dans ce premier long-métrage délicatement filmé, la nature est un écrin splendide révélant les discrètes dissonances entre enfant et adulte, homme et femme, où une simple phrase peut bouleverser ces relations à jamais.
Ouest France
Une chronique du sexisme ordinaire, menée avec une finesse implacable.
Positif
Un hommage à Kelly Reichardt en même temps que l’affirmation d’un talent singulier.
Rolling Stone
Conflit de générations, figure patriarcale et contemplation de la nature… Le premier film de India Donaldson, Good One, est d’une délicatesse inouïe.
Télérama
Virée sous la tente dans les Catskills aidant, l’influence du cinéma bucolique et minimaliste de Kelly Reichardt est évidente, mais India Donaldson signe bien mieux qu’une copie appliquée de bonne élève : Good One se révèle une chronique sensible, délicate et précise, des rapports fille-père mais aussi une évocation très juste du machisme ordinaire. Prometteur.
Voici
Subtil et émouvant.
Abus de Ciné
Loin de tout manichéisme et amenant son sujet au travers d’un périple où la nature et les retrouvailles entre un père et sa fille ont autant d’importance, le long métrage permet au personnage de Sam d’exister dans sa solitude ou ses soutiens éloignés, mais aussi dans sa détermination à ne pas subir.
Critikat.com
Le film échappe progressivement à sa joliesse initiale un peu trompeuse pour épouser une esthétique plus composée, voire radicale.
Le Monde
Sous la joliesse un peu surjouée d’une certaine esthétique « indé », le film se creuse de longues plages de conversation où s’affinent considérablement les portraits psychologiques. On regrette toutefois que le point de vue s’abrite sous un absolu adolescent qui aboutit à la condamnation irrévocable des adultes.
Première
Good one raconte le sexisme ordinaire derrière la bonhommie de personnages masculins sur lequel la cinéaste fait évoluer le regard par petites touches, avec un minimalisme qui renforce la puissance de son propos dont la violence d’abord invisibilisée vous saute à la gorge.
aVoir-aLire.com
Pour son premier film au cinéma, l’américaine Inia Donaldson réalise une œuvre absolument originale où le malentendu, l’ambiguïté des personnages emportent les spectateurs dans une comédie dramatique, sensible et mystérieuse.
Télé 2 semaines
Ce premier long métrage habile mais qui aurait mérité d'être resserré, illustre intelligemment le fossé qui sépare les générations et les sexes.
L'Obs
Présentée à la Quinzaine des Cinéastes, cette fiction amorphe copie (mal) le cinéma naturaliste de Kelly Reichardt et bâcle son prétendu message féministe.