Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
20 critiques presse
Cahiers du Cinéma
par Olivia Cooper-Hadjian
Plutôt que de chercher à singulariser un récit dont la direction semble vite tracée par un suprême degré de délicatesse, Silver transfigure les conventions en grossissant certains traits jusqu’au bizarre.
CinemaTeaser
par Aurélien Allin
Habitué à incarner ces garçons sensibles impossibles à ignorer – de Rushmore à Asteroid City –, Jason Schwartzman porte tout le film. Son élégance, même lorsque Ben touche le fond, rappelle que les plus grandes prestations sont rarement les plus démonstratives.
La critique complète est disponible sur le site CinemaTeaser
Konbini
par Manon Marcillat
Une comédie romantique, dépressive et surtout drôlissime portée par un duo absolument charmant.
Le Dauphiné Libéré
par Nathalie Chifflet
Ce Harold et Maude revisité par un humour juif corrosif est l'une de ces romances improbables que l'on adore, et quand il s'agit d'unir Jason Schwartzman et Carol Kane, on dit un grand oui pour la vie.
Le Monde
par J. Ma.
Entre mélancolie et réconfort, un portrait d’une douce cruauté du judaïsme américain contemporain.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Echos
par Olivier De Bruyn
Un film atypique et insolent qui mérite d'être découvert.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Les Fiches du Cinéma
par Gilles Tourman
Une délicieuse et vivifiante histoire d’amour en milieu juif new-yorkais libéral.
Les Inrockuptibles
par Jean-Baptiste Morain
Une comédie dépressive à mourir de rire et de tristesse, avec un Jason Schwartzman comme on ne l’avait jamais vu.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Marianne
par Olivier De Bruyn
Un film décapant.
La critique complète est disponible sur le site Marianne
Ouest France
par Thierry Chèze
Humour et émotion se marient aussi merveilleusement que les deux interprètes principaux.
Sud Ouest
par Cédric Coppola
Entre deuil et romance, Nathan Silver signe un film sensible, porté par un humour salvateur, où la relation entre les personnages évolue tout au long de l’histoire.
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
Télérama
par Hélène Marzolf
Hymne aux rencontres qui sauvent et au chaos qui réveille, Carla et moi nous délecte, avec ses dérapages tragi-comiques et son burlesque de situation.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Voici
par Daniel Bois
Carla et moi use d'un mélange des genres réjouissant.
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
Drôle, intelligent et totalement décalé, ce film sur des amours irrégulières dans une communauté de juifs américains pourrait tout à fait trouver sa place dans un autre univers religieux ou social, à raison de quelques changements scénaristiques. Une comédie savoureuse.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Bande à part
par Isabelle Danel
Un joli film indépendant au ton désespérément rigolard.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
L'Obs
par Nicolas Schaller
On est en terrains connus, celui du cinéma indépendant (gros plans, caméra portée) et de la comédie juive new-yorkaise. Sur les plates-bandes de Woody Allen, de Joan Micklin Silver et d’« Harold et Maude » mais sur un ton personnel, tendre et grinçant, volontiers freudien – la porte de sa chambre d’enfant où crèche Ben, chez ses parents, ne ferme pas !
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Nice-Matin
par Cédric Coppola
Tourné en pellicule 16 mm, grain d’image à l’appui, et dans le plus pur esprit des films indépendants américains, « Carla et moi » s’impose comme une fausse comédie romantique, inattendue dans son déroulé. Plutôt que de reprendre les codes du genre, le réalisateur filme la naissance de cet amour qui va éclore dans le final.
Paris Match
par Y.V
Cela pourrait être le point de départ d’un film des frères Coen, sur un registre plus comique, ou d’un drame majuscule, mais Nathan Silver place justement le curseur entre les deux, refusant les moqueries et les larmes. Et son couple de cinéma fonctionne à merveille, surtout lui, parfait clown blanc.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Première
par Thierry Chèze
Le fidèle complice de Wes Anderson, Jason Schwartzman et l’iconique héroïne de Terreur sur la ligne, Carole Kane, y trouvent deux des plus beaux rôles de leurs carrières.
La critique complète est disponible sur le site Première
Libération
par Sandra Onana
La rom com platonique entre un cantor dépressif et son ancienne prof coche toutes les cases d’un cinéma indé new-yorkais vieillissant, fidèle à lui même.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Cahiers du Cinéma
Plutôt que de chercher à singulariser un récit dont la direction semble vite tracée par un suprême degré de délicatesse, Silver transfigure les conventions en grossissant certains traits jusqu’au bizarre.
CinemaTeaser
Habitué à incarner ces garçons sensibles impossibles à ignorer – de Rushmore à Asteroid City –, Jason Schwartzman porte tout le film. Son élégance, même lorsque Ben touche le fond, rappelle que les plus grandes prestations sont rarement les plus démonstratives.
Konbini
Une comédie romantique, dépressive et surtout drôlissime portée par un duo absolument charmant.
Le Dauphiné Libéré
Ce Harold et Maude revisité par un humour juif corrosif est l'une de ces romances improbables que l'on adore, et quand il s'agit d'unir Jason Schwartzman et Carol Kane, on dit un grand oui pour la vie.
Le Monde
Entre mélancolie et réconfort, un portrait d’une douce cruauté du judaïsme américain contemporain.
Les Echos
Un film atypique et insolent qui mérite d'être découvert.
Les Fiches du Cinéma
Une délicieuse et vivifiante histoire d’amour en milieu juif new-yorkais libéral.
Les Inrockuptibles
Une comédie dépressive à mourir de rire et de tristesse, avec un Jason Schwartzman comme on ne l’avait jamais vu.
Marianne
Un film décapant.
Ouest France
Humour et émotion se marient aussi merveilleusement que les deux interprètes principaux.
Sud Ouest
Entre deuil et romance, Nathan Silver signe un film sensible, porté par un humour salvateur, où la relation entre les personnages évolue tout au long de l’histoire.
Télérama
Hymne aux rencontres qui sauvent et au chaos qui réveille, Carla et moi nous délecte, avec ses dérapages tragi-comiques et son burlesque de situation.
Voici
Carla et moi use d'un mélange des genres réjouissant.
aVoir-aLire.com
Drôle, intelligent et totalement décalé, ce film sur des amours irrégulières dans une communauté de juifs américains pourrait tout à fait trouver sa place dans un autre univers religieux ou social, à raison de quelques changements scénaristiques. Une comédie savoureuse.
Bande à part
Un joli film indépendant au ton désespérément rigolard.
L'Obs
On est en terrains connus, celui du cinéma indépendant (gros plans, caméra portée) et de la comédie juive new-yorkaise. Sur les plates-bandes de Woody Allen, de Joan Micklin Silver et d’« Harold et Maude » mais sur un ton personnel, tendre et grinçant, volontiers freudien – la porte de sa chambre d’enfant où crèche Ben, chez ses parents, ne ferme pas !
Nice-Matin
Tourné en pellicule 16 mm, grain d’image à l’appui, et dans le plus pur esprit des films indépendants américains, « Carla et moi » s’impose comme une fausse comédie romantique, inattendue dans son déroulé. Plutôt que de reprendre les codes du genre, le réalisateur filme la naissance de cet amour qui va éclore dans le final.
Paris Match
Cela pourrait être le point de départ d’un film des frères Coen, sur un registre plus comique, ou d’un drame majuscule, mais Nathan Silver place justement le curseur entre les deux, refusant les moqueries et les larmes. Et son couple de cinéma fonctionne à merveille, surtout lui, parfait clown blanc.
Première
Le fidèle complice de Wes Anderson, Jason Schwartzman et l’iconique héroïne de Terreur sur la ligne, Carole Kane, y trouvent deux des plus beaux rôles de leurs carrières.
Libération
La rom com platonique entre un cantor dépressif et son ancienne prof coche toutes les cases d’un cinéma indé new-yorkais vieillissant, fidèle à lui même.