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"Riverboom" n'est pas simplement le documentaire le plus fou que vous verrez cette année, c'est également un très beau film de potes, que la comédie américaine de l'époque glorieuse de la troupe de Judd Apatow aurait pu nous envier. C'est dire à quel point ce film est immanquable.
La critique complète est disponible sur le site GQ
Rythmé comme un film de Scorsese, agrémenté de gags visuels dignes de Terry Gilliam, ce documentaire ouvertement comique réinvente le genre du voyage initiatique.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
Ces images ont dormi vingt ans dans un garage avant de resurgir et de fournir la matière à un récit rétrospectif hilarant, bourré d’inventivité et d’autodérision.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
C’est un documentaire singulier comme on en voit peu. Le ton surprend, voire désarçonne. Mais il amuse. Ni tout à fait sérieux, ni tout à fait humoristique, Riverboom est le premier film du réalisateur suisse Claude Baechtold.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Si « Riverboom » sort plus de vingt ans après son tournage, c’est parce que son réalisateur avait perdu ses cassettes. Il a choisi de raconter cette aventure journalistique en montant ses images de façon décalée ? et en les accompagnant d’une voix Off rigolote et d’une musique rock. Il immerge ainsi le spectateur dans le grand reportage et signe un documentaire original, drôle et savoureux.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
S'il en apprend beaucoup au spectateur sur l'Afghanistan, c'est surtout un formidable film sur l'amitié et un autoportrait sensible du réalisateur qui expose sans fard comment ce voyage l'a fait sortir d'une profonde dépression.
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Le documentaire vaut (...) pour l’incroyable préciosité de ses images : qui a déjà vu à quoi ressemble l’arrière-pays ? Qui savait qu’il était devenu l’un des premiers producteurs de haschich ? Les exemples abondent, et se mêlent en permanence à la voix naïve (...) du narrateur, qui tente de synthétiser la situation géopolitique de la région.
N’y allant pas avec le dos de la cuillère sur les effets [...], Baechtold trouve pourtant le ton juste pour filmer ceux qu’ils croisent : comme autant d’amis potentiels à qui l’on porte une attention réelle, même éphémère.
La critique complète est disponible sur le site Libération
[Un] documentaire dont l'ironie fait tout le sel et qui permet de comprendre pourquoi la "pax americana" échouera à s'imposer dans le pays durant les vingt ans qui suivront.
Drôle, vif, et espiègle, ce documentaire original permet enfin, dans une langue simple et abordable, de comprendre la grandeur et la complexité de l’État afghan tout en se marrant généreusement. Malgré lui, un réalisateur de cinéma est né.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Si le film parvient à raconter la grande aventure du reportage de guerre au ras d’un quotidien fait à la fois de moments déterminants et de trivialité du quotidien, on regrette que ce récit soit parasité par un attirail envahissant : une voix off surécrite à l’humour adolescent, un chapitrage peu utile, des éléments graphiques relevant d’une pop culture seventies de série Z dont on comprend mal la nécessité.
On peut parfois reprocher aux documentaristes modernes de trop se mettre en avant dans leurs œuvres, se donnant une importance qu’ils soustraient alors à leurs films ; la démarche de Baechtold, noyau de Riverboom, s’avère, elle, légitime : regard sur la pérennité des images, sur leurs évolutions dialectiques influencées par les effets du temps, réflexion sur la dimension historique des documents d’époque et sur la solennité toute relative de ceux-ci, le documentaire est avant toute chose le très joli exorcisme des deuils de son auteur.
On sourit fréquemment. On est même ému de la vertu cathartique d’une aventure ayant permis au réalisateur d’évacuer un trauma d’enfance. L’ovni de la semaine.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Ni précisément un documentaire de guerre ni exactement un film de journalisme, il est plutôt l’écho d’un de ces voyages entre amis qu’on aime se rappeler des années plus tard.
En 2002, trois reporters partent pour l’Afghanistan, un pays alors au centre de l’attention internationale. Vingt ans plus tard, l’un d’eux raconte ce voyage, dans un documentaire qui vise davantage à divertir qu’à interroger leur présence sur place.
Et si ce documentaire courait le risque d’offrir un point de vue nombriliste sur les tragédies vécues par le peuple afghan, la voix-off du cinéaste insuffle une poignante mélancolie à ces évènements datant d’il y a vingt ans. Comme une manière de redonner un soupçon d’innocence à un monde qui n’a cessé de sombrer depuis.
La critique complète est disponible sur le site Première
GQ
"Riverboom" n'est pas simplement le documentaire le plus fou que vous verrez cette année, c'est également un très beau film de potes, que la comédie américaine de l'époque glorieuse de la troupe de Judd Apatow aurait pu nous envier. C'est dire à quel point ce film est immanquable.
Bande à part
Rythmé comme un film de Scorsese, agrémenté de gags visuels dignes de Terry Gilliam, ce documentaire ouvertement comique réinvente le genre du voyage initiatique.
CinemaTeaser
Touchant, drôle et inventif : à ne pas rater.
La Croix
Ces images ont dormi vingt ans dans un garage avant de resurgir et de fournir la matière à un récit rétrospectif hilarant, bourré d’inventivité et d’autodérision.
Le Figaro
C’est un documentaire singulier comme on en voit peu. Le ton surprend, voire désarçonne. Mais il amuse. Ni tout à fait sérieux, ni tout à fait humoristique, Riverboom est le premier film du réalisateur suisse Claude Baechtold.
Le Parisien
Si « Riverboom » sort plus de vingt ans après son tournage, c’est parce que son réalisateur avait perdu ses cassettes. Il a choisi de raconter cette aventure journalistique en montant ses images de façon décalée ? et en les accompagnant d’une voix Off rigolote et d’une musique rock. Il immerge ainsi le spectateur dans le grand reportage et signe un documentaire original, drôle et savoureux.
Le Point
S'il en apprend beaucoup au spectateur sur l'Afghanistan, c'est surtout un formidable film sur l'amitié et un autoportrait sensible du réalisateur qui expose sans fard comment ce voyage l'a fait sortir d'une profonde dépression.
Les Echos
Une belle histoire d'aventure et surtout d'amitié.
Les Inrockuptibles
Le documentaire vaut (...) pour l’incroyable préciosité de ses images : qui a déjà vu à quoi ressemble l’arrière-pays ? Qui savait qu’il était devenu l’un des premiers producteurs de haschich ? Les exemples abondent, et se mêlent en permanence à la voix naïve (...) du narrateur, qui tente de synthétiser la situation géopolitique de la région.
Libération
N’y allant pas avec le dos de la cuillère sur les effets [...], Baechtold trouve pourtant le ton juste pour filmer ceux qu’ils croisent : comme autant d’amis potentiels à qui l’on porte une attention réelle, même éphémère.
Ouest France
Un film joyeusement déjanté.
Positif
"Riverboom" enrichit le spectateur que nous sommes.
Télé Loisirs
[Un] documentaire dont l'ironie fait tout le sel et qui permet de comprendre pourquoi la "pax americana" échouera à s'imposer dans le pays durant les vingt ans qui suivront.
aVoir-aLire.com
Drôle, vif, et espiègle, ce documentaire original permet enfin, dans une langue simple et abordable, de comprendre la grandeur et la complexité de l’État afghan tout en se marrant généreusement. Malgré lui, un réalisateur de cinéma est né.
Cahiers du Cinéma
Si le film parvient à raconter la grande aventure du reportage de guerre au ras d’un quotidien fait à la fois de moments déterminants et de trivialité du quotidien, on regrette que ce récit soit parasité par un attirail envahissant : une voix off surécrite à l’humour adolescent, un chapitrage peu utile, des éléments graphiques relevant d’une pop culture seventies de série Z dont on comprend mal la nécessité.
Culturopoing.com
On peut parfois reprocher aux documentaristes modernes de trop se mettre en avant dans leurs œuvres, se donnant une importance qu’ils soustraient alors à leurs films ; la démarche de Baechtold, noyau de Riverboom, s’avère, elle, légitime : regard sur la pérennité des images, sur leurs évolutions dialectiques influencées par les effets du temps, réflexion sur la dimension historique des documents d’époque et sur la solennité toute relative de ceux-ci, le documentaire est avant toute chose le très joli exorcisme des deuils de son auteur.
L'Obs
Démarrée sur un ton caustique, cette histoire d’amitié (et d’engueulades) sur fond de géopolitique se mue en un touchant voyage initiatique.
La Voix du Nord
On sourit fréquemment. On est même ému de la vertu cathartique d’une aventure ayant permis au réalisateur d’évacuer un trauma d’enfance. L’ovni de la semaine.
Le Dauphiné Libéré
Ni précisément un documentaire de guerre ni exactement un film de journalisme, il est plutôt l’écho d’un de ces voyages entre amis qu’on aime se rappeler des années plus tard.
Les Fiches du Cinéma
En 2002, trois reporters partent pour l’Afghanistan, un pays alors au centre de l’attention internationale. Vingt ans plus tard, l’un d’eux raconte ce voyage, dans un documentaire qui vise davantage à divertir qu’à interroger leur présence sur place.
Paris Match
Un instantané de la fraternité, iconoclaste et inclassable. Donc forcément intéressant.
Première
Et si ce documentaire courait le risque d’offrir un point de vue nombriliste sur les tragédies vécues par le peuple afghan, la voix-off du cinéaste insuffle une poignante mélancolie à ces évènements datant d’il y a vingt ans. Comme une manière de redonner un soupçon d’innocence à un monde qui n’a cessé de sombrer depuis.
Sud Ouest
Une immersion dans l'Afghanistan des années 2000 doublée d'une épopée humaine émouvante, autour de trois pieds nickelés attachants.
Télérama
Un documentaire malin.